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Vinz1
177 abonnés
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Critique de la saison 2
4,5
Publiée le 23 septembre 2022
Bande-originale formidable, guest stars incroyables (Tom Hardy en tête), scénario en béton, et bien sûr, personnage principal charismatique hyper classe, font le sel de cette saison 2 se terminant en apothéose avec un dernier épisode haletant tendu jusqu'aux dernières minutes. Proprement génial !
La saison 1 de « Peaky Blinders » (plus ou moins inspirée d'une histoire vraie) est une excellente surprise en 6 épisodes. D’une part, parce qu’elle traite d’une période peu montrée sur les écrans, celle d’une Angleterre prolétaire qui peine à se remettre de la Première Guerre Mondiale ayant laissé de nombreux traumatismes et en proie à une grande pauvreté, à la montée du communisme et du conflit irlandais et d’autre part car elle propose un casting exceptionnel quant à son personnage principal (Thomas Shelby, brillamment interprété par le sous-estimé Cillian Murphy, véritable « gueule » au charisme redoutable), mais aussi chez ses protagonistes secondaires (superbe Sam Neill également). Alors quand tout ça est accompagné de splendides décors et d’une bande-son géniale (Nick Cave, The White Stripes…), on se dit qu’on tient-là une très bonne série dont on a hâte de voir la suite !
Sans grande surprise, je me joins à mes camarades qui ont mis la note parfaite à cette série. Je ne vois pas comment on peut légitimement mettre moins de 5/5 à Peaky Blinders tant cette série est légendaire à tous les niveaux. Les acteurs sont parfaits, le scénario également, la réalisation est somptueuse, la bande originale est mythique. Peaky Blinders fait partie des meilleures séries de tous les temps sans nul doute. Vivement le film qui va venir conclure ce chef d'oeuvre.
Peaky Blinders est une énième série de mafia se passant dans les années 20, j'adore ce genre mais pourtant j'ai trouvé la série ennuyeuse. Dommage car Thomas Shelby interprété par Cillian Murphy joue parfaitement mais j'ai trouvé le scénario peu convaincant et assez redondant. Je me rappellerai en tout cas très bien du générique et de la musique très singulière de Nick Cave and The Bade Seeds.
Encore une série qui ne m'attirait pas spécialement mais que j'ai adoré ! Les décors sont vraiment bien faits, on se retrouve bie ndans l'époque. Ce côté gris et industriel qui à la base me rebuttait dégae finalement un côté artistique visuellement parlant. Cillian Murphy, au visage atypique démontre là tout son talent, un grand dans le milieu télévisuel ou du cinéma !
Moins palpitant, moins intense et beaucoup trop de longueurs. Cette saison est un cran en dessous des autres. A voir comment ils vont finaliser cette histoire : film ou série ?!
Très bonne série. J'avais vu les de premières saisons à leurs sorties, puis j'avais arrêté. J'ai repris récemment et enchaîné les quatre autres saisons. La série garde un bon niveau tout au long des épisodes. Le créateur a bien fait d'arrêter à la saisons six pour ne pas faire la ou les saisons de trop.
Il est anglais, parle avec un accent à couper au couteau, a des rasoirs dissimulés sur la visière de sa casquette, est dangereux, mais terriblement charismatique... Son nom ? Thomas Shelby. Sa profession ? Chef des Peaky Blinders. On entend souvent dire que les séries anglaises sont les meilleures. J'en doutait fortement, moi, spectateur lambda et fan de "Game Of Thrones", avant de découvrir cette petite merveille de la BBC. Très stylisée, cette série fait cependant parfois trop dans le "too much". Du moins c'est une impression qu'elle donne... Mais à part ce trop-plein d'esthétisme et quelques petites longueurs, "Peaky Blinders" démarre de très belle manière avec cette première saison passionnante et immersive. Portée par d'excellents comédiens (Cillian Murphy en tête), elle fascine autant qu'elle ravit. Ajoutez à cela un contexte politico-historique très présent et une photographie très aboutie, surtout pour une série, et vous obtenez l'une des meilleures séries du moment. Le final clôt avec puissance et virtuosité cette saison 1, tout en donnant encore plus envie de découvrir la suite !
Après une première saison qui était très bonne ; la suite est pratiquement du même niveau. En effet, la deuxième saison est bien et propose une mise en scène constante avec une excellente face à un scénario intéressant mais qui prend un peu trop son temps.
Brièvement, la mise en scène se place dans un réalisme déconcertant. La photographie grisâtre est totalement marquante et les plans nous donnent la sensation d'être avec les protagonistes dans l'action. Avec une imagerie et un univers sonore qualitatifs, la seconde saison de “Peaky Blinders” maintient son ambition et sa volonté de marquer les esprits.
Concernant le scénario, il reste intéressant avec une narration prenante et excellente. Cependant, je trouve que certains épisodes (notamment le cinquième) restent contingents et oubliables. L'ensemble reste d'une qualité, les protagonistes ont un développement cohérent et l'ensemble de la saison incite à regarder la suite qui s'annonce assez exceptionnelle.
En bref, je recommande cette seconde saison malgré une préférence pour la première saison.
Cette série m’a été très longtemps conseillée. Fort heureusement, les saisons sont courtes. En l’occurrence, la première saison se consomme très rapidement et avec grand plaisir. Elle est très bonne avec une mise en scène excellente malgré un scénario qui pourrait être en dents-de-scie.
Effectivement, malgré une image un peu trop sombre ; la direction photographique est picturale, marquante et magnifique. Les quelques jeux de couleurs sont tout de même très beaux et ont le mérite de rester en tête. Concernant la musique, elle se marie avec l’image et rend chaque séquence parfaitement culte.
En ce qui concerne le scénario, il est intéressant et prenant. Par contre, j’estime que les premiers épisodes nous offrent probablement trop d'informations ce qui peut perdre rapidement le spectateur. Les protagonistes sont attachants et ont chacun une chouette évolution mais tous les épisodes ne se valent pas.
Évidemment, je chipote et je recommande cette première saison qui annonce que du bien pour la suite de la série.
on est plus sur la gestion des états d’âmes, plus de politiques et un fin familiale qui ne prend pas suffisamment sur les protagonistes , mais une fin évidente et brutale. au fur mesure on s’est éloigné de la saison 1 mais les acteurs ont tenu le rôle jusqu’au bout
excellent mais comme beaucoup de séries, les 3 premières saisons furent les plus intéressantes et animées. la violence est fortement présente et décroît au fur à mesure des saisons remplacées par plus de politique ,de palabres par moments unitiles et de psychologie de plus en plus des états d’âmes de chacun, les femmes de la série poussant les hommes à s’interroger . trop peut être qui fait perdre à cette série prenante sa propre ame
Après trois ans d’absence, la géniale série historique « Peaky Blinders » diffusée outre-manche sur la BBC est de retour dans une sixième et dernière saison marquer également par le destin tragique d’Helen McCrory décèder peu avant le tournage et qui a du forcer le scénariste Steven Knight (Spencer) à tout réécrire. Dire qu’une pression particulière pour ce sixième volet des aventures Shelby était présente, ne serais donc pas un euphémisme. Globalement la saison est très bien réussi et à contrario des critiques émises par d’autres, je l’ai trouver dans l’ensemble très réussie. Steven Knight réussissant même dans ses intrigues, ses dialogues toujours ciselés et son étude de l’entre-deux guerres à renouer avec la gloire passée des premiers temps (2015). Bien qu’Helen McCrory fus magistrale et lumineuse dans le rôle de Polly voir même le meilleur rôle féminin à la télévision avec celui de Maggie Smith dans «Downton Abbey» (2010-2022)- et que sa présence à l’écran nous manque terriblement, il faut avouez que le créateur du show historique arrive à parfaitement se renouveler en donnant plus d’épaisseur à des personnages féminins qui faisait plus godiches qu’autres choses. Et l’un d’entre eux n’est autre que celui de Gina Grey superbement ici interpréter par la «futur Meryl Streep des années 2020» : Anya Taylor Joy. Jusqu’ici son personnage avait servit de touche luxueuse ou de faire-valoir lors de la saison précédente. Ici, le personnage est plus développer et à un rôle plus important – même si il resterait à le creuser. On est enfin devant un personnage qui s’affirme. A l’instar de Lizzie toujours très présente à l’écran mais sans de véritable axes. Ici le personnage de Natasha O’Koffee qui prends elle aussi beaucoup d’assurance et arrive à nous émouvoir par moment, bénéficie d’un véritable arc narratif qui permettent de mettre en lumière l’immense talent de son interprète. Le personnage d’Ada remplace à peu de chose près celui de Polly même si on aurait pu espérer que Sophie Ruddle est un plus gros os à ronger. En dehors de cela, c’est le personnage de Diana Mitford qui s’impose à nous et ceux dès les premières minutes. Elle est sans doute la plus grande méchante de la série. Un personnage historique complexe dont l’étude psychologique serait aussi intéressante que l’étude de jeu de son interprète. Un rôle qui donc aurait pu tomber dans la facilité scénaristique, ou le cliché mais qui n’en est rien.
Il y a de toute façon plus de place pour les femmes dans cette saison et vraiment tant mieux. Mais ce que j’ai préférais dans cette saison c’est l’absence qu’impose le personnage de Polly. Ainsi nous sommes face à une famille divisée plus que jamais. C’est une saison ou les personnages sont tous en déconstruction surtout Thomas et bizzarement c’est fascinant. C’est bien réaliser dans l’ensemble, ça renoue un peu par moment avec l’esprit des premiers temps mais cela reste aussi consensuel : la fougue de la série a disparut et on reste un peu sur sa fin. Malgré tout une bonne dernière saison qui prouve que la 6e saison était le bon moment pour arrêter en espèrant que le film nous offre la conclusion badasse qu’on attends tous parce que là on en est loin quand même.
Une des séries où le mot "charisme" devrait être dédié à cette série uniquement. La série Peaky Blinders est une série au combien excellente. Après un début très dur où j'ai failli décroché à plusieurs moments, la série dès la saison 2, est une merveille ! Les saisons 2, 3, 4 et 5 sont parfaites en termes d'histoire et d'écritures avec des enjeux au combien important pour la suite.
Malgré ce niveau si haut, la saison 6, qui est la dernière, est décevante. Une histoire trop rushé (problème dans la production et annulation de la saison 7, remplacer par un film).