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Uniquement la saison 3
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Oubliées les enquêtes des saisons précédentes, on repart sur un nouveau crime. Exit donc les longueurs de la saison 2 à cause de la vieille affaire d'Alec et du procès qui n'en finissait pas ! Cependant cette saison 3 ne fait pas table rase du passé car on suit toujours nos chers détectives Alec et Ellie (Olivia Colman, quelle actrice talentueuse !), les parents de Danny Latimer ainsi que les tous les autres personnages de Broadchurch. Et ce avec délectation ! Le charme de Broadchurch opère toujours grâce à une mise en scène impeccablement soignée qui permet de restituer les émotions et les sentiments sans jamais tomber dans la mièvrerie. Plus qu'un policier, Broadchurch est une très bonne série dramatique réaliste et intimiste comme les Anglais savent le faire si bien !
Xavi_de_Paris
Cette troisième et dernière saison se termine sur une très bonne note, après une deuxième un peu décevante pour beaucoup. L'enquête autour du viol est plus que passionnante, avec une liste de suspects plutôt étoffée, c'est le moins que l'on puisse dire. Les ficelles sont parfois un peu grosses pour nous amener vers de fausses pistes, mais le final est plutôt surprenant et en tout cas loin d'être décevant. Le duo de flic, qui aura fait le sel de cette série, est particulièrement tenace sur cette saison.
Quelle déception ! après une saison 1 extraordinaire, une 2 moins réussie et trop longue, je ressens celle ci comme un ratage. D'abord, le crime, un viol qui monopolise toute la police et une victime franchement pas sémillante, ça ne sent pas le réel.
Ensuite, des personnages dont beaucoup (trop?) sont un peu fêlés. Restent les deux flics, toujours impeccables et dans l'ensemble des acteurs à la hauteur. Mais une série dont j'ai zappé les épisodes du milieu, ça ne fait pas envie, et j'ai trouvé le dénouement assez peu crédible. Bref, pas envie d'une saison 4. Les réalisateurs auraient-ils pris le melon, après le succès de la saison 1 ?
Ensuite, des personnages dont beaucoup (trop?) sont un peu fêlés. Restent les deux flics, toujours impeccables et dans l'ensemble des acteurs à la hauteur. Mais une série dont j'ai zappé les épisodes du milieu, ça ne fait pas envie, et j'ai trouvé le dénouement assez peu crédible. Bref, pas envie d'une saison 4. Les réalisateurs auraient-ils pris le melon, après le succès de la saison 1 ?
Assez déçu par cette troisième saison calquée sur un modèle assez conventionnel : Toutes les pistes avant le dernier épisode ne sont que des fausses pistes (schéma déjà utilisé par ailleurs par la série Meurtres au paradis).
Tout est révélé dans le dernier épisode avec finalement une explication plausible mais peu originale et surtout un peu sortie du chapeau.
Et surtout dont l'intrigue n'a rien à voir avec les épisodes successifs (qui, je le répète n'est qu'une succession de fausses pistes). Autrement dit, on peut passer du 1er au dernier épisode sans louper aucun élément de l'enquête.
On rajoute un soupçon de l'histoire précédente avec la famille du défunt garçon qui n'a toujours pas fait son deuil pour le coté mélo (Dallas pour être caricatural).
Un zest de harcèlement entre ados pour le coté chébran et à la mode.
Mais finalement, cela n'apporte rien à l'histoire, ni à l'intrigue, mais on a un peu rallongé la sauce.
Alors certes, il y a une ambiance assez prenante qui fait qu'on se laisse porter mais au final, le schéma de construction du scénario est assez simpliste. Pas de rebondissements (à part les fausses pistes). On dévoile des petits secrets ici ou là des différents suspects, mais sans aucun intérêt pour l'avancement de l'enquête, finalement.
Il faudra réfléchir un jour à faire des séries dont on ne dévoile pas à l'avance le nombre d'épisodes...
Et éviter les suspects dès le premier épisode ! On n'y croit pas évidemment.
Tout est révélé dans le dernier épisode avec finalement une explication plausible mais peu originale et surtout un peu sortie du chapeau.
Et surtout dont l'intrigue n'a rien à voir avec les épisodes successifs (qui, je le répète n'est qu'une succession de fausses pistes). Autrement dit, on peut passer du 1er au dernier épisode sans louper aucun élément de l'enquête.
On rajoute un soupçon de l'histoire précédente avec la famille du défunt garçon qui n'a toujours pas fait son deuil pour le coté mélo (Dallas pour être caricatural).
Un zest de harcèlement entre ados pour le coté chébran et à la mode.
Mais finalement, cela n'apporte rien à l'histoire, ni à l'intrigue, mais on a un peu rallongé la sauce.
Alors certes, il y a une ambiance assez prenante qui fait qu'on se laisse porter mais au final, le schéma de construction du scénario est assez simpliste. Pas de rebondissements (à part les fausses pistes). On dévoile des petits secrets ici ou là des différents suspects, mais sans aucun intérêt pour l'avancement de l'enquête, finalement.
Il faudra réfléchir un jour à faire des séries dont on ne dévoile pas à l'avance le nombre d'épisodes...
Et éviter les suspects dès le premier épisode ! On n'y croit pas évidemment.
Malheureusement la dernière saison de la série. La famille Latimer est toujours présente ce qui est agréable. Un grand bravo pour ces trois saisons dans un cadre intimiste de la côte britannique avec un casting parfait et des enquêtes plausibles.
Une troisième et dernière saison époustouflante ! Tant par le jeu des acteurs que par les thèmes abordés dans la série. J'ai commencé à me douter de l'identité du violeur tardivement mais le dénouement est resté poignant.
Sudhir
Saison 3 + que 2 mais - que 1...histoire d'un viol d'une mère divorcée conduite par la paire d'inspecteurs (le duo fonctionne)...Vu et revu mais les petites histories secondaires, le suspense nous tiens au final (qui aurait pu être plus percutant
Saison 3 soporifique et absolument pas crédible, une nana super moche et vieille que tous les mecs de la ville veulent se taper franchement c'est du n'importe quoi
Une troisième saison passionnante du début jusqu'à la fin. Véritable cluedo, la série possède beaucoup de rebondissements et de surprises. Mais on sent aussi qu'il est temps d'en arrêter là avec Broadchurch. Ça commence à sentir glauque pour une si petite ville.
Des acteurs toujours aussi impeccables pour une excellente série. Cette saison-ci, plus proche des fondamentaux ayant participés à la justesse et au succès de la saison 1, est également très bien ficelée. Surtout, elle aborde plusieurs sujets très délicats avec une grande finesse, en premier lieu, celui du viol et des femmes qui en sont victimes. Encore une fois très bien faite et documentée, les épisodes émeuvent énormément et dénoncent avec beaucoup de subtilité, sans clichés, sans manichéisme. Merci aux scénaristes et au créteur de Broadchurch : une série de cet acabit, où l'enquête policière est le prétexte à la dénonciation politique et socile méritent d'être là pour parler, faire parler, et pounter du doigt les gros problèmes de notre société. Et ça, cela vaut toutes les récompenses du monde.
Audrey L
D'un côté vraiment triste que l'on ne revoie plus nos chers inspecteurs Miller et Hardy, mais également soulagée que l'on s'arrête avant de tout gâcher (pas une saison poussive, ni de trop, peu de séries peuvent s'en vanter, chapeau !). Car, même avec l'indéniable plaisir, que dis-je, le trépignement impatient de retrouver cette série unique par sa sobriété et son approfondissement des personnages, on remarque que la série était un peu mieux avant. Un crime qui, au premier épisode, nous fait nous demander comment on va pouvoir aller jusqu'à huit épisodes (pour caricaturer, "s'il n'y a pas de morts"), mais qui nous prouve qu'il dispose d'une multitude (trop ?) de rebondissements. C'est d'ailleurs ce surplus de pistes qui m'a fait deviner le/la/les coupable/s bien en avance de la fin (
spoiler:
en partant du principe qu'on savait absolument tout des suspects de la ville, la révélation finale aurait été beaucoup moins spectaculaire si cela avait été un des hommes " multi-interrogés"... Donc en cherchant "de qui on ne sait absolument rien", il n'y avait qu'un candidat...
). Et, dernier petit défaut : beaucoup de séquences pas très utiles, qui font un peu "remplissage" (le rendez-vous galant de Alec, l'intrigue entre Joe et Mark qui nous détache de l'enquête, le curé et la journaliste qui ont leurs petits projets...). Heureusement, les acteurs sont toujours très attachants et crédibles dans leur rôle : Coleman fait une maman excédée par son fils qui tourne mal très inspirée (on ré-entend quelques vieilles disputes avec nos propres mères en écho lointain...) et Tennant fait un papa inquiet pour sa "petite" fille très touchant (la séquence dans laquelle il menace une bande de loubards qui harcèlent sa fille, absolument délicieuse !). La victime au début m'avait inquiétée car dans l'imagerie populaire, on pourrai dire que ce "n'est pas vraiment le genre de femme à qui ça arriverait" pour les mauvaises langues... Mais après réflexion, qui donc peut se vanter d'être intouchable ? La beauté a-t-elle réellement à voir dans cet acte aussi ignoble qu'inommable ? Définitivement convaincue que le sujet et sa victime tombent bien dans une société qui est en pleine remise en questions. Une enquête encore délicieuse grâce à ses décors splendides, ses acteurs qui vont nous manquer en Miller et Hardy, et une sobriété exemplaire : une chouette série dont je chérirai le souvenir.
). Et, dernier petit défaut : beaucoup de séquences pas très utiles, qui font un peu "remplissage" (le rendez-vous galant de Alec, l'intrigue entre Joe et Mark qui nous détache de l'enquête, le curé et la journaliste qui ont leurs petits projets...). Heureusement, les acteurs sont toujours très attachants et crédibles dans leur rôle : Coleman fait une maman excédée par son fils qui tourne mal très inspirée (on ré-entend quelques vieilles disputes avec nos propres mères en écho lointain...) et Tennant fait un papa inquiet pour sa "petite" fille très touchant (la séquence dans laquelle il menace une bande de loubards qui harcèlent sa fille, absolument délicieuse !). La victime au début m'avait inquiétée car dans l'imagerie populaire, on pourrai dire que ce "n'est pas vraiment le genre de femme à qui ça arriverait" pour les mauvaises langues... Mais après réflexion, qui donc peut se vanter d'être intouchable ? La beauté a-t-elle réellement à voir dans cet acte aussi ignoble qu'inommable ? Définitivement convaincue que le sujet et sa victime tombent bien dans une société qui est en pleine remise en questions. Une enquête encore délicieuse grâce à ses décors splendides, ses acteurs qui vont nous manquer en Miller et Hardy, et une sobriété exemplaire : une chouette série dont je chérirai le souvenir.
Saison 3 Catastrophique. Intrigue inexistante, sans enjeu palpable, acteur a la ramasse, personnage réduit a des stéréotypes, dialogue creux, rythme absent, la musique a disparu, thème de la pornographie chez les adolescents abordé avec la subtilité d'un éléphant dans un magasin de porcelaine, et d'un point de vue atrocement puritain qui plus est.
Autant la saison 1 était intéressante, avec son atmosphère british, sa communauté coincée dans une petite localité, autant celle-ci peine à convaincre. Les deux enquêteurs ne croient pas un instant à leur rôle, ils sont comme nous, ils semblent attendre que le temps passe. Pourtant Olivia Coleman est une actrice incroyable, à voir dans de vrais films.
Une réalisation paresseuse digne d'un mauvais feuilleton TV suit tour à tour les différents suspects jusqu'au dénouement final. Le scénario ne parvient pas, malgré l'addition d'ingrédients, à nous immerger dans l'histoire, à susciter le moindre suspense. Et que dire que de la victime, peu séduisante et carrément antipathique. Ou peut-être est-ce là l'originalité de cette série, montrer que la police doit défendre même les personnes acariâtres ? Non, sérieusement, pas grand chose à sauver. Dommage.
Une réalisation paresseuse digne d'un mauvais feuilleton TV suit tour à tour les différents suspects jusqu'au dénouement final. Le scénario ne parvient pas, malgré l'addition d'ingrédients, à nous immerger dans l'histoire, à susciter le moindre suspense. Et que dire que de la victime, peu séduisante et carrément antipathique. Ou peut-être est-ce là l'originalité de cette série, montrer que la police doit défendre même les personnes acariâtres ? Non, sérieusement, pas grand chose à sauver. Dommage.
J'ai eu du mal à accrocher à cette saison. Pourtant le tout premier épisode est intense, avec le silence de la victime qui est très pesant, mais aussi dû à un très bon jeu d'acteur. On retrouve ce qu'il y avait dans la saison 1, avec la suspicion que l'on peut avoir à l'égard des différents personnages. Des éléments pris comme ça, reliant le suspect à la victime, pouvant nous faire tirer des conclusions hâtives. La série remplit son rôle de série policière.
Mais pourtant, quand l'identité du violeur est révélée, le final m'a paru peu crédible, limite expéditif. Autant, même si j'ai trouvé le final de la saison 1 surprenant, les personnages et leurs relations étaient suffisamment bien posés pour que la révélation du coupable du meurtre de Dany Latimer paraisse possible. Cependant, le déroulement du viol, présenté dans le dernier épisode, n'est pas incohérent avec les éléments fournis par la victime.
Je me demande si on frise pas le cliché, on se retrouve avec des personnages masculins quasiment tous obsédés spoiler: ( Ed Burnett obsédé par Trish, Ian son ex-mari épie Trish à travers un logiciel espion, Jim Atwood est un coureur de jupon accro au sexe qui cache magazines et dvd porno dans son bureau, Clive Lucas a lui aussi du porno sur son ordinateur, Michael Lucas influencé par Leo Humphries regarde du porno, Michael va à son tour fournir du porno à Tom Miller ).
À part Alec Hardy qui semble être un homme sain, et encore, il dit dans un épisode avoir honte d'être un homme, même si à la fin, il dépeint le violeur comme une aberration et que tous les hommes ne sont pas comme le violeur, ce n'est pas la vision de l'homme qu'on nous a présenté tout au long de la saison.
À moins qu'il y ait un côté moralisateur ? ( de l'anti-porno ? ). On aborde le phénomène de la pornographie chez les adolescent à travers les téléphones portables. Elle apparaît à travers la vie privée de Ellie Miller et Alec Hardy spoiler: ( avec la photo "osée" de sa fille que le lycée fait circuler )
. Elle n'est cependant pas centrale, et je dirais même presque anecdotique. spoiler: C'était finalement peut-être que pour justifier le final ?
Même si le choix de la victime, à savoir une personne qui ne soit pas une bimbo ( pour faire taire les mauvaises langues ), est judicieux, fallait-il vraiment que l'on soit obligé d'intégrer plusieurs éléments qui me semblent vouloir rendre incontestable le fait que la victime soit victime ? spoiler: ( à savoir les autres viols sur le même mode opératoire, et le fait de baîlloner et lier les mains de la victime )
À cet élément s'ajoute le profil du violeur spoiler: ( donc fana du porno ). Il n'aurait donc pas été crédible que l'ex de Trish, Ian, soit le violeur ( alors que le viol conjugale est une réalité ).
Par ailleurs, j'ai trouvé aucunes scènes inutiles dans les saisons précédentes, alors que dans cette saison, plusieurs.
Le journalisme ( avec Maggie ) et le respect de la vie privée est lui, carrément anecdotique et même inutile.
spoiler: Le rencart de Alec Hardy arrangé par sa fille via un site de rencontre n'a servi à rien ( d'autant plus qu'on n'en connaît pas la suite ).
On retrouve la famille Latimer, ça pourrait être logique puisque qu'ils étaient présents dans les saisons précédentes. Mais pour parler de quoi, que même 3 ans ( ou plus ) après la mort de leur fils, la douleur est encore présente ? ( ce qui n'est pas commun, et assez original pour une série de traiter cet aspect ).
Pourquoi pas connaître ce que vit la famille à travers Beth? Mais faire revenir le personnage de Mark Latimer spoiler: ( et même de Joe Miller )
non.
Du coup, le temps consacré à Mark Latimer spoiler: ( sa recherche et rencontre avec Joe Miller, sa tentative de suicide )
, aurait pu être utilisé pour l'intrigue principale, prendre le temps de présenter l'ensemble des personnages liés de près au de loin à l’enquête du viol de Trish.
Finalement, le réalisateur s'est éparpillé à droite et à gauche, et n'a pas autant pris le temps de poser l'intrigue comme dans la saison 1. Néanmoins, la musique, et l'esthétisme de l'image, ainsi que le jeu des acteurs sont toujours de qualité. Et comme dit plus haut, cette saison remplit son rôle de série policière.
Mais pourtant, quand l'identité du violeur est révélée, le final m'a paru peu crédible, limite expéditif. Autant, même si j'ai trouvé le final de la saison 1 surprenant, les personnages et leurs relations étaient suffisamment bien posés pour que la révélation du coupable du meurtre de Dany Latimer paraisse possible. Cependant, le déroulement du viol, présenté dans le dernier épisode, n'est pas incohérent avec les éléments fournis par la victime.
Je me demande si on frise pas le cliché, on se retrouve avec des personnages masculins quasiment tous obsédés spoiler: ( Ed Burnett obsédé par Trish, Ian son ex-mari épie Trish à travers un logiciel espion, Jim Atwood est un coureur de jupon accro au sexe qui cache magazines et dvd porno dans son bureau, Clive Lucas a lui aussi du porno sur son ordinateur, Michael Lucas influencé par Leo Humphries regarde du porno, Michael va à son tour fournir du porno à Tom Miller ).
À part Alec Hardy qui semble être un homme sain, et encore, il dit dans un épisode avoir honte d'être un homme, même si à la fin, il dépeint le violeur comme une aberration et que tous les hommes ne sont pas comme le violeur, ce n'est pas la vision de l'homme qu'on nous a présenté tout au long de la saison.
À moins qu'il y ait un côté moralisateur ? ( de l'anti-porno ? ). On aborde le phénomène de la pornographie chez les adolescent à travers les téléphones portables. Elle apparaît à travers la vie privée de Ellie Miller et Alec Hardy spoiler: ( avec la photo "osée" de sa fille que le lycée fait circuler )
. Elle n'est cependant pas centrale, et je dirais même presque anecdotique. spoiler: C'était finalement peut-être que pour justifier le final ?
Même si le choix de la victime, à savoir une personne qui ne soit pas une bimbo ( pour faire taire les mauvaises langues ), est judicieux, fallait-il vraiment que l'on soit obligé d'intégrer plusieurs éléments qui me semblent vouloir rendre incontestable le fait que la victime soit victime ? spoiler: ( à savoir les autres viols sur le même mode opératoire, et le fait de baîlloner et lier les mains de la victime )
À cet élément s'ajoute le profil du violeur spoiler: ( donc fana du porno ). Il n'aurait donc pas été crédible que l'ex de Trish, Ian, soit le violeur ( alors que le viol conjugale est une réalité ).
Par ailleurs, j'ai trouvé aucunes scènes inutiles dans les saisons précédentes, alors que dans cette saison, plusieurs.
Le journalisme ( avec Maggie ) et le respect de la vie privée est lui, carrément anecdotique et même inutile.
spoiler: Le rencart de Alec Hardy arrangé par sa fille via un site de rencontre n'a servi à rien ( d'autant plus qu'on n'en connaît pas la suite ).
On retrouve la famille Latimer, ça pourrait être logique puisque qu'ils étaient présents dans les saisons précédentes. Mais pour parler de quoi, que même 3 ans ( ou plus ) après la mort de leur fils, la douleur est encore présente ? ( ce qui n'est pas commun, et assez original pour une série de traiter cet aspect ).
Pourquoi pas connaître ce que vit la famille à travers Beth? Mais faire revenir le personnage de Mark Latimer spoiler: ( et même de Joe Miller )
non.
Du coup, le temps consacré à Mark Latimer spoiler: ( sa recherche et rencontre avec Joe Miller, sa tentative de suicide )
, aurait pu être utilisé pour l'intrigue principale, prendre le temps de présenter l'ensemble des personnages liés de près au de loin à l’enquête du viol de Trish.
Finalement, le réalisateur s'est éparpillé à droite et à gauche, et n'a pas autant pris le temps de poser l'intrigue comme dans la saison 1. Néanmoins, la musique, et l'esthétisme de l'image, ainsi que le jeu des acteurs sont toujours de qualité. Et comme dit plus haut, cette saison remplit son rôle de série policière.
j'ai aimé cette saison par rapport à la saison 2 que j'ai trouvé ennuyeuse. Ici on retrouve une histoire bien menée .