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Uniquement la saison 3
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Troisième et dernier acte de la confrontation entre la commissaire-divisionnaire Stella Gibson et le tueur en série, l’étrangleur de Belfast, Paul Spector. Une dernière saison, oui, qui fait suite à la chasse, à l’enquête, à l’arrestation et aux évènements surprenants ayant clos la deuxième saison. Une nouvelle volée de 6 épisodes dans la lignée des précédents, ou il s’agira pour la police d’aboutir et pour le tueur de sauver les meubles, autant que faire se peut. Mais tout n’est pas simple, tout n’est ni noir ni blanc, plus globalement gris. Les conséquences des actes passés, de nouvelles découvertes, l’usure d’une enquête, d’un face-à-face éreintant, le tout dans un climat politico-judiciaire volatile, qu’adviendra-t-il donc du monstre et des individus impliqués jusqu’à la psychose dans sa poursuite judiciaire?
Allan Cubitt, en bon showrunner qu’il est, nous réserve bien évidemment quelques surprises, prenant des chemins de traverses certes assez étonnants mais toujours convaincants pour nous mener vers un final relativement puissant, tel qu’attendu. Le rythme est lent, très lent, là où la série préfère miser sur les longs face-à-face, la clarification par le parole. The Fall, dans sa dernière cuvée, c’est un peu comme si tout le monde se mettait autour de la table et faisait le point sur ce qui les a amenés là. Notons que par la force des choses, les différents protagonistes du show se confrontent ici à un univers médical remarquablement documenté, précis.
Soignée, habile, au suspens indéniable, cette troisième et ultime saison répond parfaitement aux deux précédentes. La qualité persiste, les comédiens sont excellents, Gillian Anderson et Jamie Dornan en tête. Indéniablement une réussite de la part de la BBC Two, une série policière nord-européenne, britannique, froide, austère, mais toujours passionnante. 16/20
Allan Cubitt, en bon showrunner qu’il est, nous réserve bien évidemment quelques surprises, prenant des chemins de traverses certes assez étonnants mais toujours convaincants pour nous mener vers un final relativement puissant, tel qu’attendu. Le rythme est lent, très lent, là où la série préfère miser sur les longs face-à-face, la clarification par le parole. The Fall, dans sa dernière cuvée, c’est un peu comme si tout le monde se mettait autour de la table et faisait le point sur ce qui les a amenés là. Notons que par la force des choses, les différents protagonistes du show se confrontent ici à un univers médical remarquablement documenté, précis.
Soignée, habile, au suspens indéniable, cette troisième et ultime saison répond parfaitement aux deux précédentes. La qualité persiste, les comédiens sont excellents, Gillian Anderson et Jamie Dornan en tête. Indéniablement une réussite de la part de la BBC Two, une série policière nord-européenne, britannique, froide, austère, mais toujours passionnante. 16/20
Chaque saison est différente des deux autres mais c'est la troisième que je préfère. Elle nous donne les clefs pour comprendre Paul Spector, mais aussi d'autres personnages. C'est ce qui s'avère exceptionnel dans cette série, cette capacité à prendre du temps pour démêler les ressorts psychologiques.
La saison de trop. C’est lent, lent, lent…2 épisodes complets sur l’opération de l’ablation de la rate du tueur qui a pris une balle dans l’abdomen dans la saison précédente. Et on suit de surcroît les soins post-opératoires. Une infirmière dont on ne sait si elle est enamourée et dont on peut s’imaginer par ses mimiques qu’elle fomente un mauvais coup tant la manière dont elle est filmée est outrée. La cheffe de la police qui s’exprime d’un ton doucereux et larmoyant les yeux baignés de larmes telle une mater dolorosa. Des interrogatoires où l’on reprend les mêmes déclarations et où l’on revoit les mêmes photos.Il ne se passe en fait que peu de choses par épisode. Et puis, que de bla-bla, que de prêchi-prêcha. Estimant sans doute que ce n’était pas assez lent le réalisateur a pris le parti de filmer quelquefois les personnages au ralenti. J’ai souvent eu envie de prendre la manette pour accélérer. Quant au tueur on le voit se laver, plier sa serviette, rouler des yeux, faire des exercices de gym. Pfff…que c’est pénible ! Bref j’ai regardé jusqu’au bout car je voulais savoir jusqu’où cette bouillie allait aller
spoiler:
et je dois dire que j’ai eu peur qu’à la fin ils n’arrivent à le sauver. Je n’aurais absolument pas pu supporter une 4ème saison et une autre opération chirurgicale.
Après un premier épisode vraiment laborieux (On a l'impression que toutes les scènes dans l'hôpital de ce premier épisode ne servent qu'à faire du remplissage) le thriller psychologique prend enfin forme à partir du deuxième épisode, avec la confrontation morbide entre Stella Gibson (la très hitchcockienne héroïne de la série) et le démoniaque Paul Spector. A ce jeu trouble on se demande jusqu'où ira la perversion de Paul Spector ? C'est un véritable manipulateur qui installe un jeu particulièrement nuisible. D'un autre côté Stella Gibson n'est pas dupe, pourtant il semble qu'elle encourage ce jeu malsain pour entretenir sa relation pour le moins déséquilibrée de fascination et de répulsion envers le tueur en série. Dans ce contexte glacial on pense par moment à la série Hannibal. Un bémol pourtant, cette seconde saison manque cruellement de scènes d'action, et le bavardage constant (même s'il est par moment passionnant) le jeu de rôle et de manipulation psychologique réciproque des 2 personnages principaux dans leur infernale partie d'échec, peut être lassant et apporte quelques longueurs. Gillian Anderson est superbe toute en blondeur et trouve sans doute son meilleur rôle. Jamie Dornan se démarque de son rôle de Christian Grey. Mais il a certainement accepté le rôle de Paul Spector pour cette raison.
Vu l'intégralité de cette saison 3.
Malgré un changement d'univers et un rythme encore plus lent et pesant. La série reste toujours aussi forte. L'interpretation est toujours irréprochable, Gillian Anderson est magnifique, touchante et glaciale.
Le dernier épisode plutôt difficile à encaisser, nous laisse sous le choc. Une excellente série.
Malgré un changement d'univers et un rythme encore plus lent et pesant. La série reste toujours aussi forte. L'interpretation est toujours irréprochable, Gillian Anderson est magnifique, touchante et glaciale.
Le dernier épisode plutôt difficile à encaisser, nous laisse sous le choc. Une excellente série.
3/5 Pas mal. La première saison était très bonne, la seconde un peu inférieure et celle-ci est encore un ton en-dessous. C’est long, ça ne bouge pas, on s’ennuie par moment. Cette saison aurait gagné à être plus courte.
La saison de trop ! Tout est basé sur une seule idée (dont nous ne saurons pas l'aboutissement). Non pas que ce soit mauvais, mais que de digressions, de lenteurs, de blablas et de pleurnicheries. A la limite on ne regarde pas cette troisième saison comme une saison mais comme un bonus boiteux.
Super saison 3 ! J'ai commencé à regarder cette série dans le désordre en fait. J'ai commencé par la saison 2... Du coup j'avais compris ce qui c'était passé mais quand la saison 3 est sortie j'ai vraiment adoré. C'est tourné d'une façon tellement étouffante, oppressante, mystérieuse, qu'on est obligé de se mettre dans la peau du personnage principal pour comprendre son cheminement, la façon dont il est arrivé là. C'est très obsessionnel pour le téléspectateur (enfin pour moi).
spoiler:
Je pense effectivement qu'il était amnésique mais au fur et à mesure qu'il appris ce que Spector avait fait et que le psy lui ai fait remonter les souvenirs de son passé, sa violence est revenue beaucoup plus forte qu'elle n'e l'était avant son amnésie. C'est pour cela qu'il a frappé Gibson je pense, pour voir ce que la violence lui faisait, et il en a éprouvé de l'excitation. Quand le psy lui a dit qu'il ne pourrait guérir il a préféré mettre un plan pour en finir car il savait qu'il serait quelqu'un de violent, sadique et malade avec des pensées perverses toute sa vie. Je pense qu'il a su qu'avoir une vie normale comme avec sa femme serait de nouveau impossible, ses pulsations sont revenues encore plus fortes, il ne peut lutter. C'est la saison la mieux réussie.
Poussif, trop psy, j ai trouvé les épisodes longuets. Plus les episodes avancaient, moins çà m intéressait
Difficile de se détacher de cette série addictive. Le debut de la saison 3 si lent , s'attardant longuement sur des détails, laisse penser à la saison de trop mais le dernier episode efface cette impression et clôt l'enquête ne laissant que les dégâts co-latéraux qu'elle a engendrés
La saison de trop ... comme souvent: si les acteurs sont remarquables et admirables (au sens propre), les circonvolutions psychologiques n'ont que peu d'intérêt et il est évident que Spector continue de manipuler son monde avec sa psychopathie (pour ceux que cela intéresse il est intéressant de comprendre ce qu'est un psychopathe à la différence d'un psychotique). Les états d'âme des uns et des autres me font penser à une perversité du scénario qui permet de déclencher un voyeurisme malsain à l'instar des tabloïds anglais. Les emprises que subissent les unes et les autres sont crédibles au début mais ensuite ... (cela ressemble aux femmes amoureuses des tueurs ou braqueurs)
Cela n'apporte pas grand chose (sauf aux acteurs et au producteur ... £££) à l'inverse des 2 premières saisons où on peut comprendre 1/ ce qu'est le psychopathe tueur bien conscient de sa "surpuissance" et de sa façon d'améliorer la qualité de ses meurtres et de détruire les preuves (par manipulation) et 2/ le travail de la police dans son enquête avec des détails techniques et de construction du dossier.
Bon la saison est finalement rigolotte et prévisible... j'ai bien ri.
Cela n'apporte pas grand chose (sauf aux acteurs et au producteur ... £££) à l'inverse des 2 premières saisons où on peut comprendre 1/ ce qu'est le psychopathe tueur bien conscient de sa "surpuissance" et de sa façon d'améliorer la qualité de ses meurtres et de détruire les preuves (par manipulation) et 2/ le travail de la police dans son enquête avec des détails techniques et de construction du dossier.
Bon la saison est finalement rigolotte et prévisible... j'ai bien ri.
La saison dont on pouvait se passer...
J'ai eu l'impression de suivre une ennuyeuse psychothérapie, avec aucune action. Autant les deux premières saisons faisaient un tout cohérent, autant la troisième n'est que pur remplissage. Enfin, on ne comprend pas toujours les actions et motivations des unes et des autres...
J'ai eu l'impression de suivre une ennuyeuse psychothérapie, avec aucune action. Autant les deux premières saisons faisaient un tout cohérent, autant la troisième n'est que pur remplissage. Enfin, on ne comprend pas toujours les actions et motivations des unes et des autres...
Super serie j'adore. Bien joué pour une serie anglaise. En attendant la suite avec impatience ..."".........