Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Entertainment weekly
Un drama soapy très divertissement et bien interprété qui ne fera peut-être pas la lumière sur le 'code Clinton' dont il s'inspire largement mais qui offre malgré tout un regard amusant et crédible sur les liens étroits et compliqués entre l'amour, le genre et la politique (...) Il est difficile d'imaginer que tous ces personnages et leurs relations complexes puissent trouver une conclusion satisfaisante en seulement six épisodes. Ils auraient plutôt besoin de six saisons !
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Huffington Post
L'un des principaux plaisirs que Political Animals procurent est celui d'assister aux scènes confrontant les deux personnages féminins principaux, qui ne s'apprécient guère, les voir s'enflammer avec de longues tirades rythmées que les deux actrices semblent prendre beaucoup de plaisir à interpréter (...) Je ne me souviens pas de tels dialogues récemment sur le petit écran. S'il y a une chose que la télévision a très bien fait depuis des années constamment, c'est de transformer les femmes ambitieuses en des méchantes, des catins ou des monstres, des créatures qu'il faut craindre.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post
Los Angeles Times
Un drama superficiellement politique, dans lequel des choses d'ordre politique surviennent -comme une crise autour de la prise en otage de journalistes américains en Iran- mais uniquement dans le but de définir le caractère des personnages et mettre en avant leur rapport au pouvoir. Au plus profond, c'est un drama familial, plus proche de Dallas que d'À la Maison blanche, très classieux, relativement naturaliste (...) un soap opera qui joue de manière évidente mais touchante sur l'espace qui sépare la vie publique et la vie privée, les peines que cela engendre, le tout servi par une distribution excellente
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Miami Herald
L'insistance que toute ressemblance entre Elaine et Hilary Clinton est purement fortuite est la seule chose qui ne soit pas intelligente dans Political Animals. Ses personnages finement écrits et leurs dialogues percutants en font LE show de l'été (...) Comme les deux précédentes séries de Berlanti qui tournaient autour de la politique -la réinvention de l'enfance des Kennedy dans Jack & Bobby et le soap familial Brothers & Sisters- Political Animals peut être un peu trouble quand il s'agit d'évoquer certains sujets et certaines idéologies. Mais quand il faut traiter du microcosme politique, des machinations et des coups fourrés des politiciens pour satisfaire leurs propres ambitions et contrecarrer celles des autres, la série est unique en son genre.
La critique complète est disponible sur le site Miami Herald
New York Daily News
Plus encore qu'À la Maison blanche, la dernière série a avoir su prouver que la politique pouvait marcher à la télévision si tant est que l'on s'attache aux personnages, Political Animals plonge au coeur de la relation complexe entre les politiciens et les médias (...) la ligne étroite entre le bénéfice personnel et le bien du plus grand nombre et l'impact de la vie publique sur ceux qui se retrouvent sur le devant de la scène contre leur gré. La série propose aussi des moments plus légers, souvent grâce à Elaine Barrish ou à sa mère, jouée par Ellen Burstyn. Les dialogues peuvent être croustillants, ciselés et plein d'esprit, notamment de la part des collègues à la Maison Blanche et au Globe.
La critique complète est disponible sur le site New York Daily News
Denver Post
Ce n'est pas du grand art, mais le but d'USA n'est certainement pas de proposer un drama politique complexe, plutôt une sympathique diversion pour l'été. Pensez aux Clintons propulsés dans l'univers de Dallas. Et six épisodes sont probablement suffisants
La critique complète est disponible sur le site Denver Post
New York Times
Ce soap opera mi-comique mi-sérieux aurait pu être horrible, mais il est finalement amusant, contre toutes attentes : il s'agit d'une vision fictive qui mélange à la fois une histoire de "Et si...?" à un fantasme de l'auteur. Si seulement les choses s'étaient vraiment déroulées ainsi...
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Vulture
Dans ce rôle de Secrétaire d'Etat, ex-Première Dame, la magnifique Sigourney Weaver propose une performance qu'il conviendrait de définir comme 'héroïque', pas simplement parce que le personnage est noble et bon, mais aussi parce qu'elle porte la série sur ses épaules. Mais son dévouement ne suffit pas pour sauver cet appréciable mais moyen programme.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
New York Post
Les acteurs sont bons, mais pas la série.
La critique complète est disponible sur le site New York Post
Philadelphia Inquirer
Political Animals est le genre de série qui essaye de vous garder avec des moments chocs où les personnages jouent les candides et se mettent à crier trop fort, ou avec des scènes de sexe vigoureuse. Elle aurait été bien meilleure en s'appuyant davantage sur le premier mot du titre plutôt que sur le second
La critique complète est disponible sur le site Philadelphia Inquirer
San Francisco Chronicle
Greg Berlanti n'est pas intéressé par la profondeur. Il voulait du soap et de la crasse -beaucoup de crasse- il propose donc quelque chose qui n'est regardable que si l'on parvient à se détacher de toute notion de crédibilité. La politique dans la 'vraie vie' ressemble peut-être parfois à un soap opera mais, au moins, c'est mieux écrit que ça !
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Entertainment weekly
Un drama soapy très divertissement et bien interprété qui ne fera peut-être pas la lumière sur le 'code Clinton' dont il s'inspire largement mais qui offre malgré tout un regard amusant et crédible sur les liens étroits et compliqués entre l'amour, le genre et la politique (...) Il est difficile d'imaginer que tous ces personnages et leurs relations complexes puissent trouver une conclusion satisfaisante en seulement six épisodes. Ils auraient plutôt besoin de six saisons !
Huffington Post
L'un des principaux plaisirs que Political Animals procurent est celui d'assister aux scènes confrontant les deux personnages féminins principaux, qui ne s'apprécient guère, les voir s'enflammer avec de longues tirades rythmées que les deux actrices semblent prendre beaucoup de plaisir à interpréter (...) Je ne me souviens pas de tels dialogues récemment sur le petit écran. S'il y a une chose que la télévision a très bien fait depuis des années constamment, c'est de transformer les femmes ambitieuses en des méchantes, des catins ou des monstres, des créatures qu'il faut craindre.
Los Angeles Times
Un drama superficiellement politique, dans lequel des choses d'ordre politique surviennent -comme une crise autour de la prise en otage de journalistes américains en Iran- mais uniquement dans le but de définir le caractère des personnages et mettre en avant leur rapport au pouvoir. Au plus profond, c'est un drama familial, plus proche de Dallas que d'À la Maison blanche, très classieux, relativement naturaliste (...) un soap opera qui joue de manière évidente mais touchante sur l'espace qui sépare la vie publique et la vie privée, les peines que cela engendre, le tout servi par une distribution excellente
Miami Herald
L'insistance que toute ressemblance entre Elaine et Hilary Clinton est purement fortuite est la seule chose qui ne soit pas intelligente dans Political Animals. Ses personnages finement écrits et leurs dialogues percutants en font LE show de l'été (...) Comme les deux précédentes séries de Berlanti qui tournaient autour de la politique -la réinvention de l'enfance des Kennedy dans Jack & Bobby et le soap familial Brothers & Sisters- Political Animals peut être un peu trouble quand il s'agit d'évoquer certains sujets et certaines idéologies. Mais quand il faut traiter du microcosme politique, des machinations et des coups fourrés des politiciens pour satisfaire leurs propres ambitions et contrecarrer celles des autres, la série est unique en son genre.
New York Daily News
Plus encore qu'À la Maison blanche, la dernière série a avoir su prouver que la politique pouvait marcher à la télévision si tant est que l'on s'attache aux personnages, Political Animals plonge au coeur de la relation complexe entre les politiciens et les médias (...) la ligne étroite entre le bénéfice personnel et le bien du plus grand nombre et l'impact de la vie publique sur ceux qui se retrouvent sur le devant de la scène contre leur gré. La série propose aussi des moments plus légers, souvent grâce à Elaine Barrish ou à sa mère, jouée par Ellen Burstyn. Les dialogues peuvent être croustillants, ciselés et plein d'esprit, notamment de la part des collègues à la Maison Blanche et au Globe.
Denver Post
Ce n'est pas du grand art, mais le but d'USA n'est certainement pas de proposer un drama politique complexe, plutôt une sympathique diversion pour l'été. Pensez aux Clintons propulsés dans l'univers de Dallas. Et six épisodes sont probablement suffisants
New York Times
Ce soap opera mi-comique mi-sérieux aurait pu être horrible, mais il est finalement amusant, contre toutes attentes : il s'agit d'une vision fictive qui mélange à la fois une histoire de "Et si...?" à un fantasme de l'auteur. Si seulement les choses s'étaient vraiment déroulées ainsi...
Vulture
Dans ce rôle de Secrétaire d'Etat, ex-Première Dame, la magnifique Sigourney Weaver propose une performance qu'il conviendrait de définir comme 'héroïque', pas simplement parce que le personnage est noble et bon, mais aussi parce qu'elle porte la série sur ses épaules. Mais son dévouement ne suffit pas pour sauver cet appréciable mais moyen programme.
New York Post
Les acteurs sont bons, mais pas la série.
Philadelphia Inquirer
Political Animals est le genre de série qui essaye de vous garder avec des moments chocs où les personnages jouent les candides et se mettent à crier trop fort, ou avec des scènes de sexe vigoureuse. Elle aurait été bien meilleure en s'appuyant davantage sur le premier mot du titre plutôt que sur le second
San Francisco Chronicle
Greg Berlanti n'est pas intéressé par la profondeur. Il voulait du soap et de la crasse -beaucoup de crasse- il propose donc quelque chose qui n'est regardable que si l'on parvient à se détacher de toute notion de crédibilité. La politique dans la 'vraie vie' ressemble peut-être parfois à un soap opera mais, au moins, c'est mieux écrit que ça !