Je tiens à prévenir que même si je vais tenter de ne pas tout spolier, il risque d'y avoir des révélation sur la teneur de certains épisodes.
Cinq épisodes, 2 étoiles, une pour chaque épisode qui a réussi à me faire vivre un moment Black Mirror.
J'avais tellement hâte de dévorer cette série sur mon canapé avec un bon verre de vin, mais j'ai été pour la première fois très déçue de la saison. Le premier épisode, une ode au féminisme au vu du casting et de toutes les femmes qui ont travailler sur cet épisode. Mais cela veut-il vraiment dire de supprimer tous les hommes et les réduire à des personnages qui ne servent à... rien ? Ou les remplacer par des communautés gay, trans, non binaire (ou tout autres communautés minoritaire) ? Etait-il réellement nécessaire de mettre les femmes à des postes puissant et les hommes réduit au secrétariat ou à l'assistanat? Certes c'est généralement l'inverse qui est produit, les hommes sont des cadres et les femmes des répondeur téléphonique sur talons, mais ici tout est poussé à l'extrême, ce qui en devient lassant avec tout ce qui nous entour, les féministe extrémiste voulant écraser les hommes pour dominer le monde. Le féminisme n'est-il pas là pour qu'on trouve un juste-milieu? Qu'autant de femmes que d'hommes soient CEO? Que les hommes ait le droit d'être homme au foyer, ou avoir des emplois moins prestigieux mais tout autant NECESSAIRE (car hommes, comme femme, quel cadre dirigeant arriverait à s'en sortir sans une secrétaire?) L'épisode se porte sur les algorithmes, sur les deviance que peuvent avoir l'écoute téléphonique automatique, ou le pute-a-clic des titre choc, des vie banale qui en deviennent chambouler, de voir le désespoir quitter les gens quand leur petit monde et confort éclates en morceau ! Pour moi tout à été effacer, amoindri, afin de parler d'une autre problématique qui aurait dû passer en catimini, avec une certaines dextérité, avec subtilité, pour nous faire comprendre ce double messages. Mais il a prit le pas sur l'histoire, et ça m'a un peu gâcher mon épisode.
L'épisode 2 est un de mes favoris. Voir jusqu'où on peut aller dans le morbide, à l'époque où il est rependu d'avoir des séries ou des docu-serie sur tous les plus grand tueur en série des dernières décennies (pour par dire le dernier siècle). Des Dahmner, Ted Bundy, des séries sur le profilage, s'inspirant d'histoire vraie, les plus grand tueur en série de divers pays (et oui j'adore regarder ce genre de divertissement, et je suis la première à aller cliquer sur ce genre de contenu) donc l'épisode m'a clairement prit au tripes. J'ai adorer découvrir petit à petit le dérouler de l'intrigue, comprendre au moment des fait (et pas prédire avec justesse ce qui va se produire), me laisser porter par le flot, comme Black Mirror à réussi à me faire vibrer depuis ses débuts (après encore, étions forcément obliger de mettre des couples mixte à chaque épisode? Oublions pas que ça reste des cas rare, tout le monde n'est pas en couple avec une ethnicite differente, mais ça c'est du chipotage). Grâce à cet épisode j'avais repris confiance en la saison et je pense qu'il restera mon épisode favori.
L'épisode 3 aussi est une belle découverte. Un épisode bien glauque comme on les aime. Vivre l'horreur avec le personnage qui voit sa famille se faire massacrer alors qu'il est à des année lumière d'elle, le voir dépérir et comprendre l'envie de son coéquipier (Aaron Paul, quel plaisir de le voir ici!) de le remettre sur patte. De voir à quel point tout peut dégénérer. J'avais imaginer beaucoup de possibilite pour la fin, mais clairement pas celle qui nous a été offert. Et le coup de la chaise pour l'accueil après la découverte de Aaron Paul dans sa maison! Un vrai délice !
Et à partir de la, tout est parti en cacahuète. Habituellement j'ai environ 1 épisode que j'apprécie moins que les autres par saison très très rarement plus (je crois qu'il y a eu juste une autre saison où je n'ai pas apprécier un épisode et un deuxième qui était bon mais qui ne m'avait pas convaincu autant que les autre) mais à partir de l'épisode 4, on sort complètement de la Masterclass que nous offrait habituellement Black Mirror. L'envie de se détacher de la tech pour nous offrir autre chose ? Pourquoi pas, mais nous l'amener comme un nanar, ou quelque chose d'aussi prévisible, c'est très décevant. Sans parler de l'épisode 5 qui est du même gabari, on part davantage dans la fantaisie que dans la science fiction, le virage est trop brusque, mal amener. (Et pour revenir au sujet de qui me crispé à tous les épisodes, les blancs sont donc maintenant forcément des violeur, des meurtrier ou des voleur ? Et les personnes d'ethnicites minoritaire dans les pays où les episode se trouvent sont forcement des hero ? Et aussi, si il fallait absolument utiliser une personne de couleur pour le demon, il n'a avait pas assez de groupe dans les annee 70 poir ne pas changer l'éthnicite integrale du groupe Boney M ? C'était une question de droit d'images? Ou juste pour faire le lien avec la guerre froide, ou les tension que les pays avaient avec la Russie ? Dans ce cas, pourquoi ne pas prendre une personne de même origine que le groupe ? Apres 4 ans d'attente j'aurais aimer voir quelque chose de plus travailler. Dans les deux derniers episode, tout me semble bâcler, comme si c'était une adolescente en manque de Twilight qui l'avait écrite. Bien dommage ! J'espère que cette saison ne signera pas la fin de Black Mirror, que ça a été un test, qui c'est avérer peu concluant mais au moins, ils ont essayer quelque chose !
Ps: je m'excuse des fautes d'orthographe, j'ai tenté de faire au mieux mais sur téléphone c'était compliqué, le site n'est pas super bien prévu à cet effet 😅