Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Los Angeles Times
Vera Farmiga est une raison suffisante pour regarder Bates Motel, le prequel bizarre, tordu, glauque et brillamment dément de Psychose (...) Le début de la série est étrange, un peu trop dramatique, et volontairement ouvert à l'interprétation, et tel est précisément le but. Et Farmiga a simplement besoin de fixer la caméra avec ce regard délicieusement suranné - des yeux azurs cachant une troublante nature... mais laquelle ? De la folie ? Du mensonge ? Son héroïsme maternel ? - et il est impossible de regarder ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
The Hollywood Reporter
Il ne s'agit pas ici d'American Horror Story, où lé téléspectateur aime être effrayé, à chaque scène, jusqu'à la douleur. Cette série est beaucoup plus subtile et n'a pas besoin de faire de cette mère et de son fils des monstres de foire (...) Attendez-vous à un départ relativement lent pour Bates Motel, les deux premiers épisodes servant avant tout à introduire les personnages et les lieux, avant que le rythme ne s'accélère à partir du 3ème épisode. Mais il y a suffisamment d'intrigues et de divertissement - en plus de la performance exceptionnelle de Farmiga - pour pousser à en vouloir plus, plus de cette série qui n'est pas vraiment un hommage à Psychose.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Hitfix
Les performances des acteurs principaux, et la façon dont la relation mère-fils est écrite, sont excellentes et constituent un argument pour persévérer, dans l'espoir que Bates Motel dans son ensemble devienne plus intéressante. Mais tout cela dépendra aussi ce que Carlton Cuse et Kerry Ehrin [ndlr: les producteurs délégués] réservent à Norman Bates, et de la rapidité de la transformation du personnage.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
Time
Ce qu'il y a de plus prometteur à propos de cette fascinante mais imparfaite série autour de la jeunesse de Norman Bates c'est que, dans une époque où les shows sont désormais fondés sur des intrigues rapides aux multiples rebondissements, Bates Motel prend son temps pour apporter des réponses. Cela ne veut pas dire qu'il ne se passe rien dans les premiers épisodes de cette légende modernisée, mais les curieux s'attendront sans doute à ce qu'on leur raconte l'histoire de Bates telle qu'on la connait, alors que les premiers épisodes s'attachent d'abord à installer le ton et l'atmosphère.
La critique complète est disponible sur le site Time
Variety
Le défi, apparemment, est de débuter lentement par la relation pathologique entre la mère et le fils, que nous connaissons déjà à travers le film, sans rendre leur lien trop exagéré et faire ainsi dérailler la mécanique de la série. En ce sens, la sympathie et la vulnérabilité émanentes de Freddie Highmore (plus que crédible dans la peau de ce jeune Anthony Perkins) deviennent presque des handicaps par rapport à l'histoire qu'on doit nous raconter, faisant de son inévitable destin une source de gêne, versant même dans la dépression la plus aiguë.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Huffington Post
Le problème de Bates Motel est que tout ce qui la rend si excitante d'un point de vue marketing est également ce qui la rend inefficace d'un point de vue dramatique (...) Malgré une bonne distribution, cet hybride étrange est au final sans cesse diminué par le fait que nous connaissons tous la fin de cette histoire (...) Ce que j'ai vu de la série confirme que nous sommes face à une illustration du "syndrome Boba Fett" : concernant certains personnages, parfois moins nous en savons, mieux c'est.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post
Slant Magazine
Bates Motel est au final tellement décevante pour la simple raison qu'elle n'a rien à voir de près ou de loin avec une version re-visitée du mythe (...) Pour dire vrai, la série n'est pas complètement stupide et certaines scènes, comme le cliffhanger concluant le 3ème épisode, laisse entrevoir ce que ce soap macabre et mélodramatique aurait pu être ou pourrait devenir. De plus grands outrages ont été commis à l'endroit de Psychose, comme le très regrettable Psychose III, mais on pourrait beaucoup moins pardonner à la série d'avoir gâché tant de talent et de possibilités.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
Miami Herald
Après trois suites et une remake plan par plan inutile mis en scène par Gus Van Sant, je ne pensais pas qu'on pouvait salir encore davantage le chef d'oeuvre d'Alfred Hitchcock. Je me trompais (...) Bates Motel est comme un oeuf de Pâques rempli de méchants caricaturaux. Des violeurs idiots ! Des narcotrafiquants ! Des esclaves sexuels ! Priez pour que nous stoppions ce massacre avant la saison 2, qui pourrait s'intituler : Bates Motel: Hitler et les Kardashian.
La critique complète est disponible sur le site Miami Herald
Los Angeles Times
Vera Farmiga est une raison suffisante pour regarder Bates Motel, le prequel bizarre, tordu, glauque et brillamment dément de Psychose (...) Le début de la série est étrange, un peu trop dramatique, et volontairement ouvert à l'interprétation, et tel est précisément le but. Et Farmiga a simplement besoin de fixer la caméra avec ce regard délicieusement suranné - des yeux azurs cachant une troublante nature... mais laquelle ? De la folie ? Du mensonge ? Son héroïsme maternel ? - et il est impossible de regarder ailleurs.
The Hollywood Reporter
Il ne s'agit pas ici d'American Horror Story, où lé téléspectateur aime être effrayé, à chaque scène, jusqu'à la douleur. Cette série est beaucoup plus subtile et n'a pas besoin de faire de cette mère et de son fils des monstres de foire (...) Attendez-vous à un départ relativement lent pour Bates Motel, les deux premiers épisodes servant avant tout à introduire les personnages et les lieux, avant que le rythme ne s'accélère à partir du 3ème épisode. Mais il y a suffisamment d'intrigues et de divertissement - en plus de la performance exceptionnelle de Farmiga - pour pousser à en vouloir plus, plus de cette série qui n'est pas vraiment un hommage à Psychose.
Hitfix
Les performances des acteurs principaux, et la façon dont la relation mère-fils est écrite, sont excellentes et constituent un argument pour persévérer, dans l'espoir que Bates Motel dans son ensemble devienne plus intéressante. Mais tout cela dépendra aussi ce que Carlton Cuse et Kerry Ehrin [ndlr: les producteurs délégués] réservent à Norman Bates, et de la rapidité de la transformation du personnage.
Time
Ce qu'il y a de plus prometteur à propos de cette fascinante mais imparfaite série autour de la jeunesse de Norman Bates c'est que, dans une époque où les shows sont désormais fondés sur des intrigues rapides aux multiples rebondissements, Bates Motel prend son temps pour apporter des réponses. Cela ne veut pas dire qu'il ne se passe rien dans les premiers épisodes de cette légende modernisée, mais les curieux s'attendront sans doute à ce qu'on leur raconte l'histoire de Bates telle qu'on la connait, alors que les premiers épisodes s'attachent d'abord à installer le ton et l'atmosphère.
Variety
Le défi, apparemment, est de débuter lentement par la relation pathologique entre la mère et le fils, que nous connaissons déjà à travers le film, sans rendre leur lien trop exagéré et faire ainsi dérailler la mécanique de la série. En ce sens, la sympathie et la vulnérabilité émanentes de Freddie Highmore (plus que crédible dans la peau de ce jeune Anthony Perkins) deviennent presque des handicaps par rapport à l'histoire qu'on doit nous raconter, faisant de son inévitable destin une source de gêne, versant même dans la dépression la plus aiguë.
Huffington Post
Le problème de Bates Motel est que tout ce qui la rend si excitante d'un point de vue marketing est également ce qui la rend inefficace d'un point de vue dramatique (...) Malgré une bonne distribution, cet hybride étrange est au final sans cesse diminué par le fait que nous connaissons tous la fin de cette histoire (...) Ce que j'ai vu de la série confirme que nous sommes face à une illustration du "syndrome Boba Fett" : concernant certains personnages, parfois moins nous en savons, mieux c'est.
Slant Magazine
Bates Motel est au final tellement décevante pour la simple raison qu'elle n'a rien à voir de près ou de loin avec une version re-visitée du mythe (...) Pour dire vrai, la série n'est pas complètement stupide et certaines scènes, comme le cliffhanger concluant le 3ème épisode, laisse entrevoir ce que ce soap macabre et mélodramatique aurait pu être ou pourrait devenir. De plus grands outrages ont été commis à l'endroit de Psychose, comme le très regrettable Psychose III, mais on pourrait beaucoup moins pardonner à la série d'avoir gâché tant de talent et de possibilités.
Miami Herald
Après trois suites et une remake plan par plan inutile mis en scène par Gus Van Sant, je ne pensais pas qu'on pouvait salir encore davantage le chef d'oeuvre d'Alfred Hitchcock. Je me trompais (...) Bates Motel est comme un oeuf de Pâques rempli de méchants caricaturaux. Des violeurs idiots ! Des narcotrafiquants ! Des esclaves sexuels ! Priez pour que nous stoppions ce massacre avant la saison 2, qui pourrait s'intituler : Bates Motel: Hitler et les Kardashian.