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    Bates Motel
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    Thibox_
    Thibox_

    52 abonnés 265 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 22 septembre 2013
    Très surpris des notes qu'a eu cette série (7.8/10 sur IMDb), elle mérite tellement mieux! L'intrigue est prenante, les décors sont magnifiques et les personnages sont bien développés. Mais le duo que forme Vera Farmiga (saisissante) et Freddie Highmore (étonnant) est le pilier de cette série, les deux acteurs livrent des prestations impeccables à chaque épisode ce qui rend la relation entre leurs personnages vraiment intéressante. Une série pleines de mystères et de rebondissements dont il me tarde de voir la suite.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 6 décembre 2013
    Après le visionage de la première saison, je n'arrive pas trop à me faire un avi concret sur cette série.
    La première saison (selon moi) sert juste à décrire les personnages et l'ambiance de la série qui est assez sombre.

    La famille attire systématiquement les problèmes (un peu trop même?), en espérant que ça change car ça peut vite devenir lourd à la longue.

    Norman est sensé être le protagoniste psychopathe et pourtant on ne lui accorde pas énormément d'attention?
    A se poser la question de son utilité dans la série? spoiler: Psychopathe parce qu'il a tué son père et qu'il a perdu la mémoire? limite sa mère l'est encore plus que lui..

    Certaine scène nous met mal-à-l'aise (à chaque fois je me disais "Bordel Norman va se taper sa mère").

    Série à suivre pour pouvoir donner un véritable avis..
    Psydered
    Psydered

    49 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    4,0
    Publiée le 22 octobre 2015
    Avec un final digne des plus grands blockbusters pour la première saison, c'est donc avec beaucoup d’enthousiasme que j'ai entrepris cette seconde partie. Les personnages se dévoilent de plus en plus et leurs vraie nature est révélée au grand jours. Le business autour de la vente de cannabis est plus présent et on est plus au cœur du trafic. On en apprends plus aussi sur Norman et sur ses occupations morbides dans la cave. Quelques têtes connus pour les seconds rôle comme Kenny Johnson (Sons of Anarchy). Le final nous liasse une fois de plus sur le cul, et le regard de Norman nous donne plus qu'envie de voir la saison suivante...
    Psydered
    Psydered

    49 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,0
    Publiée le 22 octobre 2015
    Le premier épisode nous plonge dans un univers sombre et malsain dès les premières minutes... univers qui m'a beaucoup fais penser à celui de la première saison de American Horror Story. On découvre les personnages principaux d'ailleurs très charismatiques surtout max Thieriot (que j'avais pu découvrir dans La Maison au Bout de la Rue). Le jeune Noman Bates met quand à lui plus de temps à dévoiler son charisme vu que son intrigue est plus longue à se mettre en place. Une première saison plus que réussie autant côté psychologique que visuel. Le mélange du côté policier mêler au côté du thriller psychologique me plait bien. Le final de cette première saison promet de grand retournements de situations pour la seconde saison...
    Psydered
    Psydered

    49 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 3
    4,0
    Publiée le 27 octobre 2015
    Une saison plus sombre, plus noir, plus attirante que la précédente. L'histoire est plus concentré sur Norman, et je trouve ça dommage d'ailleurs car ils auraient pu faire quelque chose de plus intense. L'arrivée de nouveaux personnages secondaires, le retour de certains autres. On retrouve dans cette saison une autre vedette de la série Sons of Anarchy (Ryan Hurst) qui est d'ailleurs irréprochable dans le rôle de "fermier dérangé". Le final m'a vraiment refroidis car j'adorais vraiment le personnage de Bradley Martin. Je trouve que les dédoublements de personnalité de Norman sont un peu exagéré, par contre la mise en scène de ses moments sont visuellement très réussis. Une saison une fois de plus réussis, impatient de voir la quatrième...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 20 septembre 2014
    Une série pourrie par la volonté de plaire à un public d'adolescents boutonneux à la recherche d'histoires d'amours bien niaises. L'oeuvre d'Hitchcock est détruite par cette série sans queue ni tête... Non mais Norman Bates en 2014...???!!!??? Sérieux ?
    anton2
    anton2

    11 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 7 août 2016
    Bates motel, étant un grand fan du film "Psychose" avec Anthony Perkins je ne pouvais que tenter cette série. L'époque est transposé à nos jours et nous montre un Norman adolescent et sa mère possessive Norma achetant le fameux motel. Les deux acteurs principaux sont excellents et nous offre des scènes poignantes, dérangeantes, émouvantes et angoissantes. Les autres personnages principaux et récurrents ne sont pas en reste. L'ajout d'un frère à Norman qui n'arrive pas à trouver sa place offre de bonnes scènes familiales glaçantes et touchantes. Le shérif Alex Roméro imbuvable, froid et suspicieux se révèle sous un autre jour au fil des saisons. Emma Decody la jeune lycéenne malade avec qui se lie Norman est hyper attachante et s’immisce dans la famille Bates en recherche d'une vraie famille. Ces cinq personnages sont les plus important des quatre magnifique saisons. La série insuffle un souffle très moderne à l'oeuvre Hitchcock en y modifiant certains éléments pour transformer cette fantastique série en petit bijoux. Bates Motel est une de mes séries préférés de mon top 10 qui privilégient la qualité avant tout pour offrir le meilleur aux téléspectateurs. Pendant ces quatre saisons on a finit par s'attacher à ces personnages dont Norma en tête pour ma part. Chaque épisode est intense nous amenant pas à pas jusqu'au moment fatidique ou Norman tue Marion Crane et finit enfermé en pensant être sa mère. Tout au long de la série on constate l'évolution de la folie de Norman qui ne fait que s’accroître. Plus qu'une saison avant la fin de cette enivrante série. Attendant avec impatience la sortie de la 4 en DVD pour continuer ma collection et cette saison 5 au mois de Mars pour voir la suite.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 8 juin 2014
    UNE PSYCHOSE BIEN ADDICTIVE :

    Bates Moral se déroule de nos jours. Une volonté de décontenancer le spectateur, de ne pas miser uniquement sur les artifices du prequel du film "Psychose" mais de puiser ailleurs.
    La série s'ouvre au moment où Norma et Norman (déjà un détail étrange et annonciateur d'une relation très forte entre la mère et son fils) déménagent dans une région portuaire après la mort suspecte du père de famille. La mère rêve d'un nouveau départ, elle place ses économies et l'argent de l'assurance-vie de feu son mari dans un motel de bord de rue et son manoir avoisinant. Une reconstitution parfaite du décor de Psychose.

    Malgré le décor rétro, l'étrange garde-robe de cette mère de famille, la série fait ce pied de nez contemporain. Dans un manoir victorien et une atmosphère "à la Conjuring" , la famille utilise leurs smartphones, des ordinateurs portables et autres objets d'aujourdhui. Le jeune garçon se rend en soirée de lycée en décapotable, avec ses nouvelles amies, pimbêches lookées et filles à papa. Et cela fonctionne.

    L'essentiel de cette première saison se fonde sur la relation de la mère au fils, relation œdipienne et torturée. De façon très progressive, la série installe ce que l'on suspecte. Norma Bates est une femme impulsive, colérique, parfois tyrannique. Dès le pilot, spoiler: elle tue l'ancien propriétaire du motel venu l'agresser.


    Alors que Norman Bates, lui, n'est pas d'emblée un garçon solitaire et normopathe, sa personnalité se veut plus subtile, plus ombragée. Dans les rôles respectives, Vera Farmiga (The Departed, Conjuring) et Freddie Highmore, le petit Charlie paradant dans la chocolaterie, apportent une solidité à leurs personnages. Si Vera épate par son jeu fort, noir, teinté d'amour mal placé, c'est le jeune Norman Bates qui réussit à surprendre le plus. Un jeu tout en complexités, de frustrations, d'innocence et d'affection, ballotté par un désir de plaire et de quitter la mainmise maternelle.

    Grâce à son casting principal et cette relation mère/fils qui s'effrite, s'intensifie, s'abîme d'épisode en épisode, Bates Motel dérange par sa conduite spectaculaire mais lente, ses rebondissements répétés allant crescedo, et s'éloigne volontiers des sentiers battus.

    Les dix épisodes de cette saison jonglent entre l'héritage de Psychose, ses influences à la Twin Peaks, son aura étrange et une cadence de série publique où les enquêtes et les meurtres se superposent en couches parfois complexes mais intelligentes. Assassinats, pressions, menaces, et choses qui ne tournent pas rond, veillent à faire de Bates Motel un thriller moderne et intense.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    289 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 24 mai 2013
    Un jour, un mec s’est levé en se disant :”J’adore le film Psychose. Les bouquins sont sympathiques. Et si je créais une série qui raconte ce dont tout le monde se fout, les origines de Norman Bates ?”. Banco !

    La beauté et la réussite de Psychose résidait dans l’inconnu de la situation de Norman Bates, le film se terminant avant qu’on puisse en savoir plus sur le motif et les circonstances atténuantes d’un homme devenu fou. Evidemment, des hérétiques ont voulu l’expliquer avec une série TV, qui devint Bates Motel. Avec un casting plutôt sympathique sur le papier (Freddie Highmore en Norman, Vera Farmiga en mère ultra possessive, Max Thieriot en fils rebelle…). Malheureusement, au-delà de ce très bon casting, les autres acteurs ont des rôles vraiment nuls, entre la bimbo fragile et la malade au grand cœur, évidemment vrai amour de Norman, la professeur tendancieuse (interprétée par la revenante Keegan Connor Tracy), les policiers corrompus et surtout l’homme mystérieux qui sait tout… Rien de bien nouveau sous le soleil d’Oregon. La storyline de Dylan est la plus intéressante, avec un trafic et une culture de marijuana, économie principale de la petite ville, alors que Norma et son fils tournent franchement en rond. Bates Motel réalise un début intéressant, mais très loin des débuts espérés.

    Disons que si on pense à Psychose pendant la vision, c’est lamentable. Si on regarde la série comme une œuvre originale, c’est plus qu’acceptable. La deuxième saison sera très importante.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 2
    4,5
    Publiée le 22 octobre 2015
    C'est dérangeant, c'est noir, mais terriblement prenant.....j'adore !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 4 novembre 2013
    Dans un premier temps j’étais sceptique face à Bates Motel, mais très vite mon scepticisme s’est transformé en curiosité. Le point de vue des scénaristes sur la naissance du tueur peut être sujet à débat mais si vous aimez les séries qui dérangent et qui vous laissez un goût amer dans la bouche n’hésitez pas à aller regarder par le trou de la serrure du Bates Motel.
    Caine78
    Caine78

    6 839 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,0
    Publiée le 30 juillet 2015
    Idée surprenante que celle d'imaginer la jeunesse du mythique héros de « Psychose » à travers une série, mais après tout, pourquoi pas ! Rapidement, on voit d'ailleurs les atouts et les faiblesses du projet. D'une part, impossible d'égaler le niveau du classique d'Alfred Hitchcock, cette saison s'alourdissant de sous-intrigues pas toujours passionnantes, nous laissant l'impression qu'il ne se passe en définitive pas tant de choses. Cela dit, le cadre est bien exploité et l'on retrouve sans mal le décor d'origine, la réalisation appliquée et les clins d'œil discrets permettant de rester fidèle au film tout en gardant une personnalité propre. Surtout, Anthony Cipriano a soigné l'écriture de ses personnages, principaux comme secondaires, chacun apparaissant un minimum complexe et nuancé, à l'image d'un Norman Bates aussi intelligent que timoré (Freddie Highmore, plutôt convaincant) et surtout d'une mère étouffante, manipulatrice et pourtant presque attachante (Vera Farmiga, remarquable), sans oublier la révélation Olivia Cooke dans un très joli second rôle. On est donc loin du chef-d'œuvre de 1960, mais ne serait-ce que pour cette atmosphère bien rendue et ses protagonistes séduisants, on se plongera avec intérêt dans la deuxième saison, surtout après un dénouement habilement accrocheur. Pas mal.
    Caine78
    Caine78

    6 839 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    3,0
    Publiée le 20 octobre 2015
    Après un premier épisode assez poussif (comme souvent lors de la reprise d'une nouvelle saison), « Bates Motel » revient vite à un niveau plus conforme aux attentes : une réalisation toujours soignée, un univers visuel séduisant et une sorte d'angoisse sourde, presque invisible quand aux différents événements se déroulant dans la ville, que Carlton Cuse parvient à renouveler un minimum avec une certaine habileté. Les intrigues secondaires, sans être captivantes, sont d'ailleurs un peu mieux menées et certains nouveaux seconds rôles font assez bonne impression (Michael O'Neill, Rebecca Creskoff et Michael Vartan en tête), certains rebondissements s'avérant bien trouvés. Dommage alors que la relation mère-fils devienne nettement moins ambigu et surtout beaucoup plus poussive que précédemment, Norman changeant un peu trop brutalement de caractère tandis que Norma apparaît presque comme une mère « normale », pour ne pas dire positive, même le jeu de la splendide Vera Farmiga perdant de sa complexité... Une seconde saison d'assez bonne facture donc, mais toutefois un peu décevante dans ce qui était le moteur et l'atout principal du volet précédent.
    ffred
    ffred

    1 739 abonnés 4 028 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 8 octobre 2015
    Bonne idée que ce prequel au Psychose d'Hitchcock. L'action est transposée à notre époque. Freddie Highmore est très bien, Vera Farmiga terrible. Pas mal...
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 159 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 31 octobre 2014
    Préquel du monument cinématographique qu'est Psychose et qu'il ne faut pas regarder avant d'avoir vu ce dernier (tout comme cette critique, au risque d’éventer le suspense de cette œuvre majeure), Bates motel est une série plutôt réussi mais souffre de son affiliation avec le chef-d’œuvre d'Alfred Hitchcock. En effet, l'interprétation est juste et les épisodes sont rythmés mais on regrette que les rebondissements policiers nous éloigne du véritable sujet et de la raison d'être de la série : à savoir l'évolution de la folie chez Norman Bates. Ainsi, on est surpris de voir la ville où se situe le motel Bates reposer essentiellement sur le crime, ce qui est en contradiction avec la petite ville paisible ne pouvant pas cacher de tels faits qui est montrée dans le film d'origine. De même, on est surpris qu'avec tous les évènements qui se sont déroulés dans le motel, Norman Bates n'ait pas été soupçonné pendant des années jusqu'aux faits relatés dans le film du maitre du suspense. On est également étonné de voir une mère moins castratrice que celle à qui on s'attendait (certes, elle couvre beaucoup son enfant mais elle n'hésite pas à essayer de le rapprocher d'Emma). Enfin, on ne comprend pas que la série se déroule dans un univers contemporain alors que le film, où Norman est adulte et non plus adolescent, se déroule en 1960 (Hollywood penserait-il que les téléspectateurs ne sont pas capables de regarder une série se déroulant dans les années 40 ou 50 ?).
    Cependant, une fois toutes ces réserves liées à son origine cinématographique notées, la série est assez plaisante et les personnages sont assez bien décrits. Espérons juste que les rebondissements annexes ne se multiplient pas trop, au risque de nuire à sa crédibilité, et que l'on s'axe plus sur la folie naissante de son personnage central (ce que le dernier plan de cette première saison laisse espérer). L'exemple type de la série qu'il ne faut pas prolonger trop longtemps pour conserver toute crédibilité.
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