Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Washington Post
"Résumer la série me fait réaliser combien Red Widow peut paraître tiède ou ridicule, voire les deux en même temps. Mais la performance sous-estimée et naturelle de Radha Mitchell rend l'ensemble plus crédible et donne envie de laisser sa chance à l'héroïne pour voir dans quelle direction elle se dirige (...) Quelqu'un dans l'équipe -peut-être Melissa Rosenberg, l'ancienne scénariste en chef de Dexter- a un sens de la nuance dans le portrait des personnages, un talent pour l'écriture de longs arcs et d'intrigues multi-couches."
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Entertainment weekly
Les éléments de thriller sont pour la plupart peu engageants, mais le show offre quelques moments plaisants grâce au casting surqualifié.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Zap2It
Le doux et mystérieux ton de Goran Visnjic dans une poignée de scènes émerge comme la meilleure chose qui soit arrivée à Red Widow. C'est soit le signe d'une série avec des faiblesses fondamentales, soit les racines d'une série qui va s'améliorer avec le temps.
La critique complète est disponible sur le site Zap2It
Denver Post
Le pilote est bien fait techniquement, la distribution est bonne, et pourtant, l'entreprise dans sa totalité paraît trop forcée. De plus, imaginer poursuivre la série sans Anson Mount à l'écran, même pas en flashbacks, n'est pas motivant. Ajoutez à cela les intrigues des enfants, déroutantes... Le plus jeune fils est soumis à plus de tourments psychologiques en deux heures que la plupart des êtres humains dans toute une vie, et cela sans qu'il n'y ait des conséquences.
La critique complète est disponible sur le site Denver Post
Philadelphia Inquirer
Il manque quelque chose. Appelez ça une âme. Son absence rend cette histoire creuse.
La critique complète est disponible sur le site Philadelphia Inquirer
Newsday
Pas une seule fois au cours des deux premiers épisodes, on a la sensation de comprendre le passé de Marta. Ainsi, en mère mafieuse, elle ne peut pas être entièrement crédible, ou reconnaissable, ou attachante, à quelque niveau que ce soit. Sans créer d'empathie, cette Red Widow n'a pas grand intérêt
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Pittsburg Post-Gazette
Insipide et sans mordant, ce drama sur une mère qui se met à travailler pour le crime organisé tente de mêler l'histoire typique d'une femme au foyer de banlieue à une intrigue de mafieux : il n'y a rien à en retirer d'intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
USA Today
Ce qu'ABC veut est très clair. La chaîne veut que vous voyez Marta comme une nouvelle Carmella, et Red Widow comme un Soprano au féminin. Désolé, mais rapprocher Les Soprano à Red Widow parce qu'elles évoquent toutes les deux des mafieux, c'est comme lier Hamlet à Marmaduke parce que ce sont deux grands Danois !
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Slant Magazine
Red Widow ne tient pas sa promesse d'offrir une anti-héroïne attachante à la télévision de network (...), Marta, quoi qu'il en soit, ne s'approche même pas d'une caricature de la femme compliquée et ne montre aucune preuve d'une vie intérieure riche : sa période de deuil est si courte et superficielle que l'on se demande si elle n'aura pas oublié son mari d'ici à la fin de la saison.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
Washington Post
"Résumer la série me fait réaliser combien Red Widow peut paraître tiède ou ridicule, voire les deux en même temps. Mais la performance sous-estimée et naturelle de Radha Mitchell rend l'ensemble plus crédible et donne envie de laisser sa chance à l'héroïne pour voir dans quelle direction elle se dirige (...) Quelqu'un dans l'équipe -peut-être Melissa Rosenberg, l'ancienne scénariste en chef de Dexter- a un sens de la nuance dans le portrait des personnages, un talent pour l'écriture de longs arcs et d'intrigues multi-couches."
Entertainment weekly
Les éléments de thriller sont pour la plupart peu engageants, mais le show offre quelques moments plaisants grâce au casting surqualifié.
Zap2It
Le doux et mystérieux ton de Goran Visnjic dans une poignée de scènes émerge comme la meilleure chose qui soit arrivée à Red Widow. C'est soit le signe d'une série avec des faiblesses fondamentales, soit les racines d'une série qui va s'améliorer avec le temps.
Denver Post
Le pilote est bien fait techniquement, la distribution est bonne, et pourtant, l'entreprise dans sa totalité paraît trop forcée. De plus, imaginer poursuivre la série sans Anson Mount à l'écran, même pas en flashbacks, n'est pas motivant. Ajoutez à cela les intrigues des enfants, déroutantes... Le plus jeune fils est soumis à plus de tourments psychologiques en deux heures que la plupart des êtres humains dans toute une vie, et cela sans qu'il n'y ait des conséquences.
Philadelphia Inquirer
Il manque quelque chose. Appelez ça une âme. Son absence rend cette histoire creuse.
Newsday
Pas une seule fois au cours des deux premiers épisodes, on a la sensation de comprendre le passé de Marta. Ainsi, en mère mafieuse, elle ne peut pas être entièrement crédible, ou reconnaissable, ou attachante, à quelque niveau que ce soit. Sans créer d'empathie, cette Red Widow n'a pas grand intérêt
Pittsburg Post-Gazette
Insipide et sans mordant, ce drama sur une mère qui se met à travailler pour le crime organisé tente de mêler l'histoire typique d'une femme au foyer de banlieue à une intrigue de mafieux : il n'y a rien à en retirer d'intéressant.
USA Today
Ce qu'ABC veut est très clair. La chaîne veut que vous voyez Marta comme une nouvelle Carmella, et Red Widow comme un Soprano au féminin. Désolé, mais rapprocher Les Soprano à Red Widow parce qu'elles évoquent toutes les deux des mafieux, c'est comme lier Hamlet à Marmaduke parce que ce sont deux grands Danois !
Slant Magazine
Red Widow ne tient pas sa promesse d'offrir une anti-héroïne attachante à la télévision de network (...), Marta, quoi qu'il en soit, ne s'approche même pas d'une caricature de la femme compliquée et ne montre aucune preuve d'une vie intérieure riche : sa période de deuil est si courte et superficielle que l'on se demande si elle n'aura pas oublié son mari d'ici à la fin de la saison.