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    Top of the Lake
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    4,0
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    108 critiques spectateurs

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    soulman
    soulman

    92 abonnés 1 227 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 5 juillet 2014
    Peut-être la meilleure série jamais tournée ; en tous cas, une des plus originales, une des plus belles. La mise en scène est magnifique, le scénario captivant même si on devine le dénouement (ce qui n'a aucune importance) et les acteurs, comme toujours chez J. Campion, admirablement dirigés. La beauté des décors naturels y est pour beaucoup mais, ce qui compte, c'est leur utilisation et la façon dont ils deviennent un élément de l'intrigue. Du grand art...
    Nico591
    Nico591

    47 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,5
    Publiée le 18 octobre 2014
    Palmé à Cannes pour "La Leçon De Piano", Jane Campion créée sa propre série qui nous emmène sur ses terres néo zélandaises pour nous raconter une histoire de disparition d'enfant qui va nous procurer pas mal d’émotions.
    Grâce tout d'abord à l’écriture qui malgré un début tranquille où tous les éléments se mettent en place s’avère prodigieuse sur l'ensemble.
    La tension et le suspense montent crescendo tout au long des sept épisodes, nous offrant pas mal de rebondissements.
    Le décor de cette bourgade plantée à coté d'un lac sert de personnage à part entière dans lequel Jane Campion en profite pour en dépeindre ses mœurs par le biais de personnages très travaillés, interprétés par des acteurs de renom tel que Peter Mullan, Holly Hunter ou l’exceptionnelle Elisabeth Moss qui confirme qu'elle est une grande actrice.
    En somme une série très sombre, sondant les plus bas instincts de l'homme qui nous rappellent d'excellents thrillers.
    virginie L.
    virginie L.

    17 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 22 mai 2017
    Une série très dépaysante tournée dans de beaux décors néo-zélandais.
    Le personnage d'Elisabeth Moss est juste un peu trop agaçante avec ses maladresses.
    L'histoire est assez sombre, le suspense plutôt moyen, mais j'ai passé un bon moment
    Anne M.
    Anne M.

    75 abonnés 643 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 10 octobre 2015
    Robin Griffin, policière spécialiste de la protection des mineurs est détachée en Nouvelle Zélande, à Lake Top et seconde Al Parker pour retrouver Tui, une jeune adolescente qui disparaît après une tentative de suicide.

    Pendant l’enquête, Robin qui a grandi ici, doit faire face à des souvenirs terribles. Elle a affaire à Matt Mitcham, le père de l’adolescente, un baron de la drogue qui maintient la ville sous son joug. Sur la terre de Paradise, une communauté de femmes avec son gourou tente de s’implanter.

    Cette région magnifique, à l’autre bout du monde, n’obéit à aucune loi d’état et est peuplée de personnes atypiques, marginales voire dégénérées, que relie entre eux la loi du silence.

    Cette série me fait penser à « true detective » ou encore aux films « Dans la brume électrique », « winter bones » ou « la isla minima », en tant que film essentiellement d’atmosphère, atmosphère poisseuse et délétère, émanant d’un monde clos coupé de tout, où personne n’est innocent.

    C’est captivant, et le rythme lent participe à cette atmosphère enivrante.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 15 novembre 2013
    N'étant pas du tout un adepte des séries télé, mais grand admirateur du cinéma de Jane Campion, j'ai jeté un oeil du côté de cette série et je dois dire qu'elle m'a vraiment séduit, par sa dimension à la fois ultra mélancolique et son intensité dramatique.
    Alors oui bien sûr, mieux vaut être fan du cinéma de l'auteur de la "Lecon de Piano" ou de "Bright Star" que des dernières réalisations de Ridley Scott !
    Ce "Top of the Lake" est une grande réussite d'une part par la temporalité qu'il installe et par le tempo qui marque le déroulement des évènements, une lenteur qui laisse tout le temps au film d'imprégner le spectateur et de vraiment caractériser les personnages, mais aussi une lenteur qui permet au drame de prendre beaucoup de profondeur et d'intensité au fil de la série.
    Un scénario parfaitement bien écrit, un enchainement dramatique très bien agencé, un intrigue millimétrée, une musique vraiment envoutante et des acteurs extrêmement naturels et crédibles, notamment l'actrice principale qui est incroyable de naturel à l'écran !, tous ces éléments qui font de ces 6 heures de film une longue mélopée dramatique suspendue à l'intrigue dont à aucun moment on ne devine l'issue dernière !
    En prime, Jane Campion nous offre un sublime panorama de son Ile et ses paysages fantastiques, un décor grandiose et mélancolique où se joue la fresque terrible des rapports humains de la Nouvelle Zélande, à la fois brutaux, machistes et presque tribaux !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 12 février 2014
    Bonne surprise kiwi, on se laisse facilement emporter par cette nouvelle série, qui doit beaucoup à son magnifique cadre, la Nouvelle Zélande et son ambiance sombre à souhait. Le jeu d'acteur est parfait, le scénario souffre de quelques longueurs et le dénouement de l'intrigue peut être quelque peu rapide et simpliste. À voir.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 7 avril 2017
    mais quel ennnuuuuuiiiiii !
    Cette série avait tout pour me plaire. Ambiance sombre, personnages interessants, une jeune flic dans un milieu d'hommes machos et ploucs et puis la réalisation n'est pas à la hauteur. Tout est lent, sans rythme, esthétisant sans but... Il manque un vrai réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 10 novembre 2013
    Bonne série mais c'est looooooonnngg……
    Bon jeu d'acteur, bon scénario (un peu "déjà vue")
    Les paysage sont magnifique
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 8 août 2015
    Quel gâchis ! Cette série avait un grand potentiel : paysages magnifiques, plongée dans un monde rural intriguant, acteurs qui ne sont pas tous des mannequins professionnels... Tout cela apparaît donc fort crédible dans un premier temps. Au final, c'est pourtant un vrai manque de vraisemblance qui vient anéantir les espoirs du cinéphile quelque peu attentif.

    On se rend vite compte que la série tente tant bien que mal de porter un message féministe. L'ennui, c'est qu'il ne s'agit pas d'un féminisme intelligent, nuancé, qui invite à s'interroger sur des questions essentielles. Ici, il s'agit plutôt d'un féminisme un peu bête, manichéen et naïf. On a beau se trouver dans la campagne la plus profonde, notre héroïne, fiancée mais en proie au doute, spoiler: se verra offrir un cunnilingus dans les toilettes d'un bar un peu glauque par son nouveau prince charmant.
    La scène fait sourire, mais elle n'est qu'un des multiples exemples qui viennent transformer cette série en nanar: personne n'est dupe, personne n'y croit. Explosion de rire quand la série nous apprend spoiler: qu'une gamine de 12 ans, enceinte, peut survivre plusieurs semaines dans la montagne puis accoucher seule, en quelques secondes, presque sans souffrir et surtout sans aucune complication pour le bébé ou elle-même.
    Oui, dans Top of the Lake, les femmes sont des surhommes.

    La fin aurait pu sauver l'oeuvre, corriger le tir. En réalité, elle vient renforcer le ridicule qui se dégage de Top of The Lake. Les hommes sont encore plus méchants qu'on ne l'imaginait. On dirait bien qu'ils sont pour la plupart pédophiles, incestueux ou adeptes du viol en réunion. La réalisatrice tente de dépeindre un univers glauque, mais ça ne prend pas. C'est déjà trop tard, on n'y croit plus, on s'ennuie.

    La saison 2 ? Sans moi. Top of the Lake démontre une fois de plus que la qualité technique et un jeu d'acteur correct ne suffisent pas, seuls, à produire une oeuvre de qualité.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 22 janvier 2014
    Nul doute que nous entendrons beaucoup parler de Jane Campion en 2014, puisqu'elle sera la présidente du jury du prochain Festival de Cannes. Mais en 2013, la réalisatrice néo-zélandaise nous a déjà régalés d'une mini-série de six épisodes, totalement haletante et très immergente dans des paysages de l'autre bout du monde.
    En Nouvelle-Zélande, aux abords d'un lac immense entouré d'une nature somptueuse, gigantesque et inquiétante de si peu d'humanité, Tui, une jeune adolescente de 12 ans mystérieusement enceinte, disparaît. Laketop, la ville à proximité du lac, n'est guère plus humaine que les sombres forêts alentours: entre trafiquants de drogue dérangés, bikers imbibés et notables cyniques, on comprend peu à peu la terreur de la gamine à défaut de ce qui l'aurait poussé à fuir. Car s'ils boivent encore du thé, il semble que les descendants des sujets de sa gracieuse majesté soient retournés à l'état sauvage dans cette petite bourgade repliée sur elle-même. Un camp presque sectaire, du nom de Paradise, fait la liaison entre la ville et les espaces naturels. Aménagé de quelques containers, il est peuplé de femmes à la dérive évoluant dans une pseudo-spiritualité autour d'un gourou interprété avec beaucoup de talent par Holly Hunter. Ce lieu des vérités révélées laisse tout autant les hommes livrés à eux-même. Tui y passe, mais disparaît très vite une fois encore.
    Comme ange et démon, seules deux personnes se soucient réellement de retrouver la gamine dont les chances de survie sont minces dans la forêt: son père, parrain de la drogue ultra-violent, instable et menaçant, et une femme flic de Sydney, native de Laketop, Robin Griffin. Perdue dans une vie qui pourrait être rangée mais qui ne lui correspond pas, Robin est hantée par les traumatismes de son adolescence auxquels elle doit faire face du fait de son retour. Attirée par la marge plus qu'elle n'ose se l'avouer, l'histoire de Tui a pour elle un écho très personnel. Retrouver, sauver la petite devient une question de vie ou de mort, et pas seulement pour l'adolescente, loin s'en faut. Elisabeth Moss, déjà très remarquée dans Mad Men, compose ici un personnage complexe et très crédible. Elle vient d'ailleurs de remporter pour ce rôle le prix de la meilleure actrice dans une mini-série lors des derniers Golden Globes. Amplement mérité !
    Top of the lake captive et inquiète. On navigue sans cesse entre les faits bruts et les obsessions des personnages, ce qui donne parfois un étrange sentiment de distorsion de la réalité. Et quand on pense être à deux doigts de basculer dans quelque chose de presque mystique, le polar revient imposer ses codes.
    Les paysages néo-zélandais sont à couper le souffle. Ils m'ont d'ailleurs amenée à m'interroger sur ce pays dont je me suis rendue compte que je ne connaissais rien si ce n'est deux ou trois clichés, comme le rugby ou les moutons. Cette nature extraordinaire et le sentiment d'immensité inquiétante qu'elle véhicule sont pour beaucoup dans l'ambiance très aboutie de cette série. Jane Campion dit s'être inspirée de The Killing version US, réalisation elle-même inspirée du Forbrydelsen danois que j'adore. Les atmosphères de ces séries policières, extrêmement travaillées, sont une indéniable réussite et resteront je pense comme une signature.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 10 novembre 2013
    je viens de voir les 3 premiers épisodes et j ai hâte de voir la suite jeudi prochain sur Arte que je remercie au passage. Cette série est bien réalisée : de bons acteurs, de tres beaux paysages, une ambiance mysterieuse et une intrigue autour de la disparition d une fillette. Ce climat qu ressemble à ceux que l on ressent duand on lit les polars suédois.... Super merci
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 22 novembre 2013
    Tout simplement la mini-série de l'année : irréelle, crue, somptueuse, des personnages qui sonnent vrai, une réussite totale!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,5
    Publiée le 28 juin 2017
    Une vraie déception : il y avait tous les ingrédients pour faire une bonne série mais la mayonnaise n'a pas pris à cause d'un scénario qui repose sur de trop nombreuses invraisemblances. De ce fait, on a du mal à adhérer à l'histoire. Pourtant le jeu des acteurs y est excellent mais ne parvient pas hélas à faire oublier le parti pris scénaristique, et ce, dès le début : exemple d'un postulat complètement foireux dès le départ : spoiler: pourquoi la police demande l'aide à l'héroïne alors qu'en fait elle ne veut pas d'elle tout du long et refuse bien souvent de coopérer? A quoi ça sert ? Si la police n'avait pas fait cette requête incongrue, Robin ne se serait pas mêlée de l'enquête et tout le monde aurait été content dans ce bled incroyable qui ressemble plus à une dictature mafieuse qu'un pays des droits de l'homme (Nouvelle Zélande = Corée du Nord ???) ou pourquoi le supérieur de Robin demande cette dernière en mariage sans jamais être sorti avec elle et sans la connaître véritablement ??? Ou pourquoi le grand manitou Matt tout puissant n'arrive pas à chasser la bande d'illuminées qui squattent son paradise alors qu'il arrive à obtenir des choses bien plus difficiles par ailleurs ? Et Tui qui accouche sans mal toute seule alors qu'elle n'a que 12 ans, combien y avait-il de chances sur un million pour que ça se passe aussi bien ???
    C'est vraiment un pêle-mêle d'un grand n'importe quoi : les incohérences se succèdent ( je ne peux pas toutes les énumérer tellement il y en a) et bien souvent on devine facilement ce qui va suivre (aucun effet de suspense ou presque)
    J'ai regardé tous les épisodes de la saison 1 ( il y en a 6 d'une durée de quasi 1 heure chacun) et je sais d'ores et déjà que je boycotterai la saison 2. Marre de ce genre de farce qui prend les téléspectateurs pour de sombres idiots. Mention spéciale pour le ridicule incommensurable de la femme gourou, c'était le clou du spectacle : ça a achevé de m'énerver...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 23 septembre 2014
    "Top of the lake" nous offre une photographie froide, une atmosphère oppressante et remplie de secrets. Les magnifiques paysages sont considérés, ici, comme un personnage à part entière et sont utilisés pour transmettre des messages.

    Les acteurs incarnent de façon extrêmement juste leurs personnages respectifs travaillés à la base en profondeur : David Wenham (le capitaine de police Al Parker) réussit le tour de force de donner le sentiment de cacher un secret explosif sans éveiller le moindre soupçon et ce, malgré la connivence qui le lie au personnage de Peter Mullan (Matt Mitcham). Elisabeth Moss arrive à nous faire ressentir les failles, les doutes, les douleurs et les faiblesses de Robin Griffin, inspectrice spoiler: victime d'un sombre événement dans son adolescence
    . Holly Hunter joue à merveille, entre humour et philosophie, G.J., cette "éclairée" menant un groupe de femmes afin qu'elle reprennent leurs vies en main.

    "Top of the lake" comporte certes quelques moments de faiblesses mais cela n'entache en rien la trame policière très bien menée sur un rythme entretenant notre curiosité ( spoiler: plus à savoir "qui est le père de l'enfant de Tui ?" que son "meurtrier"
    ) sans jamais tomber dans le glauque ou le sanguinolant.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 18 mai 2014
    Belle série, beaux paysages, bons acteurs...qui ne me laissera cependant pas un souvenir absolument mémorable. Cela aurait pu être un merveilleux film de 2h...A voir, cependant...
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