Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Newsday
Le Florence de "Demons" ressemble un peu à un Gotham City de la Renaissance -sombre et bouillonnant, rempli de complots, de beauté, de débauche et de forces mystérieuses. Cela rend la série somptueuse à regarder, mais la question se pose : est-ce encore une autre manière ambitieuse de proposer du sexe et de la violence en utilisant un contexte historique chez Starz ? En fait, pour le moment, elle s'annonce plus riche et profonde que cela.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Boston Globe
Le ton global du show ne satisfaira pas tout le monde, surtout ceux qui espérent voir une approche historique sérieuse de l'époque. Da Vinci's Demons est une série dviertissante avec un gros avantage qui joue en sa faveur : contrairement à la plupart des choses que la télévision nous propose, elle cherche à être différente.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
Wall Street Journal
Le personnage de Leonardo et la Renaissance apportent des moments d'une beauté transcendante à la série, laquelle fait preuve parfois d'une éclatante inventivité avec un parfum de mysticisme. La limite entre le mystère et la perplexité est toutefois bien maigre et, parfois, il est impossible de savoir dans quelle direction la torche vacillante du héros nous dirige. On est en plus un peu distrait par le portrait de Leonardo, qui est un amalgame étrange entre Peter Pan, Macgyver et un strip-teaseur.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
Slant Magazine
Le Leonardo de Da Vinci's Demons est dynamique, excentrique et hautement égotique, trois caractéristiques qui peuvent aussi correspondre au portrait moderne qui est fait de Sherlock Holmes dans différentes oeuvres. La série fantastique de David S. Goyer fonctionne comme une combination des films de Guy Ritchie et de la trilogie de Christopher Nolan The Dark Knight, quasiment comme l'histoire des origines d'un super-héros.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
New York Times
Da Vinci's Demons propose une nouvelle défintion du personnage. Il paint, il dessine, il invente, mais ce n'est plus suffisant. Pour être un héros digne du 21ème siècle sur une chaîne du câble spécialisée dans les séries historiques, Leonanardo doit aussi se battre et être expert en arts martiaux, coucher avec la maîtresse de son patron et résoudre des crimes comme s'il était un mélange entre Sherlock Holmes et Gil Grissom.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Pittsburg Post-Gazette
Si M. Goyer rate son pilote en introduisant mal le monde dans lequel vit Leonardo, il sauve l'enteprise dans le deuxième épisode avec une bonne intrigue sur les inventions du héros à destination des Medicis. Da Vinci's Demons, comme Spartacus avant elle, prouve qu'un pilote n'est pas toujours ce qu'une série a de mieux à offrir. Parfois, la patience du téléspectateur est requise et récompensée.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
San Francisco Chronicle
L'exactitude historique n'est pas le fort de cette série. Mais c'est aussi pour cela qu'elle est divertissante : elle rate beaucoup de choses mais elle gagne en intérêt peu à peu.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Uncle Barky
Le but, dans sa globalité, semble de présenter Leonardo Da Vinci comme un fringant et bavard super-héros qui plait aux femmes et qui s'y intéresse grandement. Le personnage déclare : "Pour progresser, il faut aller trop loin". C'est ce que cette fable fait précisément.
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
Newsday
Le Florence de "Demons" ressemble un peu à un Gotham City de la Renaissance -sombre et bouillonnant, rempli de complots, de beauté, de débauche et de forces mystérieuses. Cela rend la série somptueuse à regarder, mais la question se pose : est-ce encore une autre manière ambitieuse de proposer du sexe et de la violence en utilisant un contexte historique chez Starz ? En fait, pour le moment, elle s'annonce plus riche et profonde que cela.
Boston Globe
Le ton global du show ne satisfaira pas tout le monde, surtout ceux qui espérent voir une approche historique sérieuse de l'époque. Da Vinci's Demons est une série dviertissante avec un gros avantage qui joue en sa faveur : contrairement à la plupart des choses que la télévision nous propose, elle cherche à être différente.
Wall Street Journal
Le personnage de Leonardo et la Renaissance apportent des moments d'une beauté transcendante à la série, laquelle fait preuve parfois d'une éclatante inventivité avec un parfum de mysticisme. La limite entre le mystère et la perplexité est toutefois bien maigre et, parfois, il est impossible de savoir dans quelle direction la torche vacillante du héros nous dirige. On est en plus un peu distrait par le portrait de Leonardo, qui est un amalgame étrange entre Peter Pan, Macgyver et un strip-teaseur.
Slant Magazine
Le Leonardo de Da Vinci's Demons est dynamique, excentrique et hautement égotique, trois caractéristiques qui peuvent aussi correspondre au portrait moderne qui est fait de Sherlock Holmes dans différentes oeuvres. La série fantastique de David S. Goyer fonctionne comme une combination des films de Guy Ritchie et de la trilogie de Christopher Nolan The Dark Knight, quasiment comme l'histoire des origines d'un super-héros.
New York Times
Da Vinci's Demons propose une nouvelle défintion du personnage. Il paint, il dessine, il invente, mais ce n'est plus suffisant. Pour être un héros digne du 21ème siècle sur une chaîne du câble spécialisée dans les séries historiques, Leonanardo doit aussi se battre et être expert en arts martiaux, coucher avec la maîtresse de son patron et résoudre des crimes comme s'il était un mélange entre Sherlock Holmes et Gil Grissom.
Pittsburg Post-Gazette
Si M. Goyer rate son pilote en introduisant mal le monde dans lequel vit Leonardo, il sauve l'enteprise dans le deuxième épisode avec une bonne intrigue sur les inventions du héros à destination des Medicis. Da Vinci's Demons, comme Spartacus avant elle, prouve qu'un pilote n'est pas toujours ce qu'une série a de mieux à offrir. Parfois, la patience du téléspectateur est requise et récompensée.
San Francisco Chronicle
L'exactitude historique n'est pas le fort de cette série. Mais c'est aussi pour cela qu'elle est divertissante : elle rate beaucoup de choses mais elle gagne en intérêt peu à peu.
Uncle Barky
Le but, dans sa globalité, semble de présenter Leonardo Da Vinci comme un fringant et bavard super-héros qui plait aux femmes et qui s'y intéresse grandement. Le personnage déclare : "Pour progresser, il faut aller trop loin". C'est ce que cette fable fait précisément.