Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Brain Damaged
par Asma El Mardi
The Punisher est un peu la meilleure série Marvel proposée par Netflix depuis Daredevil et Jessica Jones. Plus crue, plus réelle, moins gauche et surtout travaillée, l’arrivée de Frank Castle s’annonce sur Netflix comme un véritable retour à ce qui a donné envie aux spectateurs de voir plus de ces univers sur les écrans. Plus humaine, plus intelligente, avec une narration maitrisée et un (anti) héros charismatique, fort mais surtout touchant, Netflix propose sans conteste une nouvelle série signature de sa plate-forme de streaming, loin du désastre Iron Fist et de la maladroite The Defenders.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Gros gun, rock de vieux motard, débauche de violence et virilité exacerbée : les premières minutes de la nouvelle série Marvel/Netflix sentent l’abrutissement à plein nez. Mais la fragrance brute de fonderie se dissipe doucement et en finesse pour laisser place à la meilleure série de superhéros de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Benjamin Rozovas
Netflix délivre enfin ce qu’ils avaient promis depuis le début : une série adulte ultra-violente qui fait du bien par où elle passe. Avec Jon Bernthal, nouvel espoir de l’action dure.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Pierre Sérisier
S’ils conservent l’ambiance de ce New York violent, sombre et mouvant, les 13 épisodes sont trop univoques. (…) L’ultime paradoxe de cette version de The Punisher tient à ce retour du refoulé et à cette permanence de l’ancien combattant comme fondement identitaire de l’Amérique : la série affirme que rien ne pourra s’arrêter, que tout va se répéter, et c’est là que réside sa cynique limite.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Pierre Langlais
Au bout du compte, The Punisher s’impose comme la meilleure série Marvel de Netflix depuis Luke Cage, et parvient à tirer profit des spécificités d’un personnage à la marge, version excessive du justicier maudit. Elle reprend certaines figures de style du superhéros et y insuffle une dose de réalisme façon Jason Bourne. On a beau douter de ses intentions, trouver son timing contestable, souhaiter qu’elle prenne plus frontalement position contre les armes à feu, on se laisse prendre. En dépit de quelques flash-back mièvres et malgré une fin de saison plus convenue, sa mise en scène a le bon goût de rester sobre, efficace. On en vient à souhaiter un deuxième chapitre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Jacques-Henry Poucave
En faisant de The Punisher le récit de l’impossible reconstruction d’un vétéran, en remettant fortement en question l’action de l’armée américaine à l’étranger, en osant faire de son personnage principal une incarnation du monstre absurde et protéiforme, le tueur de masse, qui défraie la chronique aux USA, Netflix renoue avec une volonté de proposer une fiction contemporaine impactante. Néanmoins, si la série sait s’offrir des thèmes forts et si elle interroge l’humanité perdue de son anti-héros avec une belle frontalité, elle a bien du mal à penser sa représentation de la violence. (…) Il en va ainsi de plusieurs compartiments du show, un peu écartelé entre excellentes initiatives et petits ratages.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Metro
par Stéphane Morneau
The Punisher ne sera pas une série marquante dans le riche univers du géant de la production. (…) On peut saluer l’effort et la tentative de balancer la violence avec des questions éthiques plus nuancées que la justice sauvage du Punisher pour l’encadrer, mais le tout reste en surface et on réalise bien vite que le récit qu’on tente de nous raconter est étiré au possible afin de remplir une saison de plusieurs heures au lieu d’un long-métrage, par exemple. On se retrouve à visionner des épisodes décousus, lents et plutôt confus dans un complot très vaste qui, finalement, n’est pas particulièrement intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Brain Damaged
The Punisher est un peu la meilleure série Marvel proposée par Netflix depuis Daredevil et Jessica Jones. Plus crue, plus réelle, moins gauche et surtout travaillée, l’arrivée de Frank Castle s’annonce sur Netflix comme un véritable retour à ce qui a donné envie aux spectateurs de voir plus de ces univers sur les écrans. Plus humaine, plus intelligente, avec une narration maitrisée et un (anti) héros charismatique, fort mais surtout touchant, Netflix propose sans conteste une nouvelle série signature de sa plate-forme de streaming, loin du désastre Iron Fist et de la maladroite The Defenders.
Les Inrockuptibles
Gros gun, rock de vieux motard, débauche de violence et virilité exacerbée : les premières minutes de la nouvelle série Marvel/Netflix sentent l’abrutissement à plein nez. Mais la fragrance brute de fonderie se dissipe doucement et en finesse pour laisser place à la meilleure série de superhéros de l’année.
Première
Netflix délivre enfin ce qu’ils avaient promis depuis le début : une série adulte ultra-violente qui fait du bien par où elle passe. Avec Jon Bernthal, nouvel espoir de l’action dure.
Le Monde
S’ils conservent l’ambiance de ce New York violent, sombre et mouvant, les 13 épisodes sont trop univoques. (…) L’ultime paradoxe de cette version de The Punisher tient à ce retour du refoulé et à cette permanence de l’ancien combattant comme fondement identitaire de l’Amérique : la série affirme que rien ne pourra s’arrêter, que tout va se répéter, et c’est là que réside sa cynique limite.
Télérama
Au bout du compte, The Punisher s’impose comme la meilleure série Marvel de Netflix depuis Luke Cage, et parvient à tirer profit des spécificités d’un personnage à la marge, version excessive du justicier maudit. Elle reprend certaines figures de style du superhéros et y insuffle une dose de réalisme façon Jason Bourne. On a beau douter de ses intentions, trouver son timing contestable, souhaiter qu’elle prenne plus frontalement position contre les armes à feu, on se laisse prendre. En dépit de quelques flash-back mièvres et malgré une fin de saison plus convenue, sa mise en scène a le bon goût de rester sobre, efficace. On en vient à souhaiter un deuxième chapitre.
Ecran Large
En faisant de The Punisher le récit de l’impossible reconstruction d’un vétéran, en remettant fortement en question l’action de l’armée américaine à l’étranger, en osant faire de son personnage principal une incarnation du monstre absurde et protéiforme, le tueur de masse, qui défraie la chronique aux USA, Netflix renoue avec une volonté de proposer une fiction contemporaine impactante. Néanmoins, si la série sait s’offrir des thèmes forts et si elle interroge l’humanité perdue de son anti-héros avec une belle frontalité, elle a bien du mal à penser sa représentation de la violence. (…) Il en va ainsi de plusieurs compartiments du show, un peu écartelé entre excellentes initiatives et petits ratages.
Metro
The Punisher ne sera pas une série marquante dans le riche univers du géant de la production. (…) On peut saluer l’effort et la tentative de balancer la violence avec des questions éthiques plus nuancées que la justice sauvage du Punisher pour l’encadrer, mais le tout reste en surface et on réalise bien vite que le récit qu’on tente de nous raconter est étiré au possible afin de remplir une saison de plusieurs heures au lieu d’un long-métrage, par exemple. On se retrouve à visionner des épisodes décousus, lents et plutôt confus dans un complot très vaste qui, finalement, n’est pas particulièrement intéressant.