Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Entertainment weekly
Elementary est probablement la série qui se rapproche le plus d’un futur succès. Miller dégage un enthousiasme contagieux dans ce nouveau rôle. En effet, avec le créateur Rob Doherty, ils apportent un vent de fraîcheur à la mythologie de Sherlock Holmes : une véritable bouffée d’air frais à chaque sourire et coup d’œil malicieux qu’Holmes lance aux personnages qu'il croise.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
TV Guide
Elementary apporte une touche avant-gardiste aux séries procédurales trop classiques de CBS. Elle est juste assez différente de la version britannique avec Benedict Cumberbatch, pour prouver une nouvelle fois à quel point ce légendaire personnage est versatile.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
The Hollywood Reporter
Nous avions toutes les raisons de croire au désastre, lorsque CBS a décidé de faire une version américaine de Sherlock Holmes. […] Une idée inquiétante en est devenue une merveilleuse une fois le pilote diffusé, révélant un des plus prometteurs dramas de la rentrée.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
USA Today
Parmi les nombreux changements que le créateur de la série, Robert Doherty, a opérés, le plus intelligent pourrait bien être d’avoir choisi le charmant Jonny Lee Miller (qui peut ainsi prendre son véritable accent anglais) pour interpréter Sherlock, et de l’avoir couplé avec un Docteur Watson féminin joué par la toute aussi fabuleuse Lucy Liu. D’autant qu’un frisson inattendu vient s’ajouter à leur relation, permettant au personnage de Watson de s’intensifier, et ainsi rééquilibrer le duo.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
New York Post
Si Sir Arthur Conan Doyle devait créer un Sherlock Holmes pour la télévision d’aujourd’hui, il y a de très grandes chances qu’il s’y serait pris comme le Sherlock créé par CBS avec Elementary. […] La chose la plus réussie dans cette nouvelle série, est le personnage de Sherlock lui-même (Jonny Lee Miller). C’est un ancien toxicomane, peu sympathique et réticent à la guérison, avec un esprit affuté et un appartement en désordre. Il est bien accompagné d’un Docteur Watson joué - eh oui - par Lucy Liu.
La critique complète est disponible sur le site New York Post
New York Times
Ses vedettes mises à part, Elementary est trop inégale. M. Doherty, qui a principalement été crédité en tant que scénariste dans le voluptueux mélodrame Medium, est bon lorsqu’il s’agit d’instaurer une atmosphère et des personnages. Mais pas en ce qui concerne les mécanismes de l’intrigue. Et ça, c’est un problème avec les histoires de Sherlock Holmes.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Philadelphia Daily News
L’interprétation de Miller peut sembler différente de celle de Benedict Cumberbatch dans Sherlock, mais sa présence à l’écran est tout aussi captivante. Même si vous ne connaissez pas le roman - tout comme moi - Elementary peut être divertissant.
La critique complète est disponible sur le site Philadelphia Daily News
Pop Matters
Même si Elementary est une série procédurale assez classique, elle a au moins le mérite d’être bien faite. Elle s’appuie surtout sur le jeu d’acteur de Miller, qui apporte une énergie rafraîchissante à un genre rempli de détectives moroses. […] Ce n’est peut-être pas le meilleur Sherlock, mais il est la meilleure preuve que les gens éprouvent toujours le besoin de raconter les histoires de Sherlock Holmes 85 ans après Arthur Conan Doyle.
La critique complète est disponible sur le site Pop Matters
Uncle Barky
Cette adaptation est largement inférieure à la version britannique, particulièrement au niveau des dialogues. Et il y a tellement de séries criminelles sur CBS qu’il devient de plus en plus difficile d’adhérer à une nouvelle, même avec la marque Sherlock Holmes en jeu.
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
Huffington Post
Le show de la CBS a une multitude de problèmes qui le parasitent : Lucy Liu interprète une Joan Watson fade et ennuyeuse. Watson est décrite comme une simple baby-sitter grondeuse. Et la relation entre les deux personnages principaux - qu’il serait judicieux d’entretenir - ne convainc pas le moins du monde.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post
Entertainment weekly
Elementary est probablement la série qui se rapproche le plus d’un futur succès. Miller dégage un enthousiasme contagieux dans ce nouveau rôle. En effet, avec le créateur Rob Doherty, ils apportent un vent de fraîcheur à la mythologie de Sherlock Holmes : une véritable bouffée d’air frais à chaque sourire et coup d’œil malicieux qu’Holmes lance aux personnages qu'il croise.
TV Guide
Elementary apporte une touche avant-gardiste aux séries procédurales trop classiques de CBS. Elle est juste assez différente de la version britannique avec Benedict Cumberbatch, pour prouver une nouvelle fois à quel point ce légendaire personnage est versatile.
The Hollywood Reporter
Nous avions toutes les raisons de croire au désastre, lorsque CBS a décidé de faire une version américaine de Sherlock Holmes. […] Une idée inquiétante en est devenue une merveilleuse une fois le pilote diffusé, révélant un des plus prometteurs dramas de la rentrée.
USA Today
Parmi les nombreux changements que le créateur de la série, Robert Doherty, a opérés, le plus intelligent pourrait bien être d’avoir choisi le charmant Jonny Lee Miller (qui peut ainsi prendre son véritable accent anglais) pour interpréter Sherlock, et de l’avoir couplé avec un Docteur Watson féminin joué par la toute aussi fabuleuse Lucy Liu. D’autant qu’un frisson inattendu vient s’ajouter à leur relation, permettant au personnage de Watson de s’intensifier, et ainsi rééquilibrer le duo.
New York Post
Si Sir Arthur Conan Doyle devait créer un Sherlock Holmes pour la télévision d’aujourd’hui, il y a de très grandes chances qu’il s’y serait pris comme le Sherlock créé par CBS avec Elementary. […] La chose la plus réussie dans cette nouvelle série, est le personnage de Sherlock lui-même (Jonny Lee Miller). C’est un ancien toxicomane, peu sympathique et réticent à la guérison, avec un esprit affuté et un appartement en désordre. Il est bien accompagné d’un Docteur Watson joué - eh oui - par Lucy Liu.
New York Times
Ses vedettes mises à part, Elementary est trop inégale. M. Doherty, qui a principalement été crédité en tant que scénariste dans le voluptueux mélodrame Medium, est bon lorsqu’il s’agit d’instaurer une atmosphère et des personnages. Mais pas en ce qui concerne les mécanismes de l’intrigue. Et ça, c’est un problème avec les histoires de Sherlock Holmes.
Philadelphia Daily News
L’interprétation de Miller peut sembler différente de celle de Benedict Cumberbatch dans Sherlock, mais sa présence à l’écran est tout aussi captivante. Même si vous ne connaissez pas le roman - tout comme moi - Elementary peut être divertissant.
Pop Matters
Même si Elementary est une série procédurale assez classique, elle a au moins le mérite d’être bien faite. Elle s’appuie surtout sur le jeu d’acteur de Miller, qui apporte une énergie rafraîchissante à un genre rempli de détectives moroses. […] Ce n’est peut-être pas le meilleur Sherlock, mais il est la meilleure preuve que les gens éprouvent toujours le besoin de raconter les histoires de Sherlock Holmes 85 ans après Arthur Conan Doyle.
Uncle Barky
Cette adaptation est largement inférieure à la version britannique, particulièrement au niveau des dialogues. Et il y a tellement de séries criminelles sur CBS qu’il devient de plus en plus difficile d’adhérer à une nouvelle, même avec la marque Sherlock Holmes en jeu.
Huffington Post
Le show de la CBS a une multitude de problèmes qui le parasitent : Lucy Liu interprète une Joan Watson fade et ennuyeuse. Watson est décrite comme une simple baby-sitter grondeuse. Et la relation entre les deux personnages principaux - qu’il serait judicieux d’entretenir - ne convainc pas le moins du monde.