Avis Elementary - Page 2

Voici donc une nouvelle version contemporaine a notre époque des enquêtes de Sherlock Holmes (Jonny Lee Miller). Ici, le détective travaille exclusivement avec la police de New York (exit donc Londres, Baker Street et ses clients), il y rencontrera une jeune femme (Lucy Liu) qui deviendra sa partenaire d'enquêtes et devra affronter de nombreux meurtriers. Que serait Sherlock Holmes sans son ennemi juré ? Jamie Moriarty (Nathalie Dormer) est bien entendu de la partie. Très différente de SHERLOCK, la série Américaine se permet pas mal de changements dans le lore créé par Sir Arthur Conan Doyle, avec plus ou moins de réussite.

Le personnage de Watson est insupportable à la fois fade et moraliste, le personnage est tellement raté qu'elle plante la série a elle toute seule. De plus les autres personnage secondaire sont tous plus ou moins ratés.
Seul Sherlock Holmes est intéressant.

Après le retour au cinéma de Sherlock Holmes avec les films de Guy Ritchie, son retour sur le petit écran avec "Sherlock", "Elementary" a fait du bruit en débarquant sur le petit écran US en retournant l'oeuvre originale avec un Holmes toxico et unE Watson.

Si les débuts furent assez difficiles, le duo peu convaincant, la série a gagné en qualité d'écriture au fil de la saison jusqu'à parvenir à offrir un final renversant.
Le tandem fonctionne désormais à merveille et si le Dr Watson de cette nouvelle version a pu être quelque peu décevant au début, il s'impose en cette fin de saison comme le digne élève de Sherlock Holmes.
Johnny Lee Miller est un excellent acteur parvenant à montrer un Holmes torturé, quelques fois énervant, mais toujours attachant et si Lucy Liu était un choix audacieux pour camper le rôle de Watson, elle s'en tire à merveille.

Suivant également la série "Sherlock" avec attention, je pense que ces deux séries ne sont pas comparables.
Là où "Sherlock" transpose l'oeuvre de Conan-Doyle au 21ème siècle en étant fidèle à celle-ci, "Elementary" réinvente le personnage en se servant de l'oeuvre d'une façon détournée, inattendue, s'amusant à tordre le cou aux évidences en provenance des bouquins ou des nouveaux films ainsi que de "Sherlock".

Le final de cette première saison, tout aussi audacieux que le désormais célèbre twist présent dans Iron Man 3, prouve que cette série n'a rien à envier au final de la seconde saison de "Sherlock".

Il n'y a plus qu'à espérer que la qualité soit au rendez-vous pour cette seconde saison !

J'ai attendu longtemps avant de me plonger dans "Elementary" car il m'est difficile de me détacher de la série "Sherlock" tant j'en suis une fan inconditionnelle. En regardant Elementary, je savais déjà que je devais éviter de penser à ma série préférée car cela m'empêcherait de juger de manière objective. J'ai donc tenté de faire abstraction de toute idée de comparaison ( et heureusement les 2 séries sont vraiment très différentes).
Et c'est certainement ce qu'il faut faire pour apprécier la série ( qui semble de toutes façons tellement loin de la qualité extraordinaire de "Sherlock", qu'il serait impossible de l'aimer en comparant...)

On se retrouve donc cette fois-ci avec une adaptation résolument moderne, et très transformée, des aventures de Holmes. Le personnage n'en reste pas moins intéressant et holmesien, de par bien sûr sa très grande intelligence, son "inadaptation sociale" et son excentricité, et bien sûr ses addictions. Une combinaison gagnante, bien que finalement assez surprenante puisque Sherlock Holmes est ici présenté plus comme un citoyen américain intégré que comme un londonien déraciné.
Londres est sans doute ce qui manque le plus à cette adaptation, bien qu'elle apparaisse dans quelques épisodes. Le côté résolument américain de la série, que ce soit pour les décors, les costumes, le format, le style d'enquêtes et de leur résolution, donne un résultat qui ressemble assez à d'autres séries policières américaines, avec en plus un style holmesien qui se mélange plutôt efficacement à l'ensemble. Cela dit, il est plus facile d'apprécier Elementary en tant que pure série policière américaine d'assez bonne facture plutôt qu'en réadaptation de Sherlock Holmes tant parfois on en est éloigné.

L'écriture reste très classique, mais les épisodes se laisse regarder comme un bon divertissement policier. Le point fort est très certainement le personnage de Watson qui cette fois-ci est une femme, très bien interprétée par Lucy Liu qui ajoute beaucoup de charme à l'ensemble. Sa relation complexe avec Sherlock est intéressante dès le départ, et l'évolution de son personnage est tellement étroitement liée à celle de Sherlock qu'elle en devient presque le personnage principal : en effet, c'est elle qui donne l'impulsion à la mécanique du duo.

La transformation féminine du personnage de Moriarty est également très intéressante, et habilement amenée. La confrontation Moriarty/ Sherlock se veut plus émotionnelle et subtile que dans d'autres adaptations, et c'est sans doute le point fort de cette 1ère saison.

Le lieutenant Bell, flic classique mais oh combien moderne pour une adaptation de Holmes, montre bien lui aussi que la principale démarche d'Elementary est bel et bien de prouver que l'influence du mythe Sherlock Holmes au travers des époques est toujours là et parfaitement adaptable à notre époque moderne.

Voici donc une nouvelle version contemporaine a notre époque des enquêtes de Sherlock Holmes (Jonny Lee Miller). Ici, le détective travaille exclusivement avec la police de New York (exit donc Londres, Baker Street et ses clients), il y rencontrera une jeune femme (Lucy Liu) qui deviendra sa partenaire d'enquêtes et devra affronter de nombreux meurtriers. Que serait Sherlock Holmes sans son ennemi juré ? Jamie Moriarty (Nathalie Dormer) est bien entendu de la partie. Très différente de SHERLOCK, la série Américaine se permet pas mal de changements dans le lore créé par Sir Arthur Conan Doyle, avec plus ou moins de réussite.

Une série sympathique qui arrive merveilleusement bien à reprendre et détourner l'histoire originelle de "Sherlock Holmes"... Le fait de changer Watson en femme est une très bonne idée et Lucy Liu s'en tire très bien dans ce rôle. Sinon, que les péripéties se passe à New York de nos jours ne me dérange absolument pas... Même si les scénario des épisodes sont parfois un peu baclé, les histoires sont originales et les énigmes bien étudiés. Une série à suivre !

J'ai adorée regarder Elementary du début à la fin, l'histoire est captivante et les acteurs sont charment.

Je connais la série Sherlock de BBC, et j'en suis dingue. Et je suis venue voir Elementary avec quelques aprioris, notamment de faire de John Watson, une Joan Watson.
Et finalement, j'en suis ravie. Certains n'aiment pas parce que ce n'est pas aussi bien que Sherlock, j'ai envie de dire que ce n'est pas comparable. Tout est différent, l'atmosphère, le jeu des acteurs, et Elementary joue sur une autre facette de Sherlock Holmes, finalement très vite passé par le Sherlock de BBC, ses problèmes de drogues. Et ce n'est pas une critique, mais au moins, dans celui-ci, on ne perçoit pas Sherlock uniquement comme un époustouflant génie, mais aussi l'homme qu'il y a derrière le génie.
Alors c'est vrai que je suis peut-être bon public, mais cette série est vraiment une excellente surprise. J'adore l'univers de Sherlock Holmes, et je suis ravie que le cinéma et l'univers télévisé aient décidé de surfer sur cette vague "Holmesienne".

Très bonne série policière sur un Sherlock Holmes du 21éme siècle en quête de rédemption tout en combattants ces démons ( la drogue ) . Les personnages Holmes et Watson ont été remis au goût du jour sans forcément enlever l'esprit des personnages . En soit le fait que la série ce passe aux USA la plupart du temps est un peu dommage mais Jonny Lee Miller et Lucy Liu porte bien leurs rôle et prouvent qu'ils sont très bon acteurs . Le gros avantage c'est qu'il y a que 7 saisons ( 13 épisodes pour la dernière ) avec une fin qui conclu le tout . Je la recommande vivement pour le plaisir de regarder une série policière , des personnages et des acteurs principaux . Bonne série à vous et profitez bien .

Meilleur série que j'ai pu voir. ça donne envie d'être intelligent et d'optimiser ça vie. +les acteurs jouent très bien.

La série fonctionne à merveille avec ce duo innovant et ses intrigues si bien ficelées.
Je vous conseille

Voila un spécimen : 7 saisons, et zéro lassitude.
voila la force d'Elementary, la capacité a se renouveler.
le casting est également de très haute volée, avec un Jonny Lee Miller incroyable.

Enquête policière complexe et rondement menée, mechant d'anthologie, vous trouverez tout chez Elementary, sauf l'ennui.

4.5/5

Cette série est géniale.
Je l'ai adorée.
Voir Watson prendre vie sous des traits féminins, cela change.

Une série bourrée d'humour et aux personnages attachant. Une relecture moderne des aventures de Sherlock Holmes. Une Lucy Liu au top et un Johnny Lee Miller très convaincant !! Je recommande vivement !

Ce qui ne surprend pas avec les adaptations, c'est qu'elles souffrent bien souvent (et à juste titre) de la comparaison avec les adaptations précédentes. Tout comme les suites ou les remakes. Partant de ce postulat, vous vous en doutez, oui messieurs, mesdames, je vais comparer.

Pourquoi ? Parce que ne pas le faire serait hypocrite au final. Quand on regarde Elementary, si l'on a regardé Sherlock BBC (comme beaucoup se plaisent à l'appeler), l'envie de comparer est pressante et quasi-innée.

Prise en tant que série à part et au-delà de toute débat comparatif de "qui est le meilleur/qui a la plus grosse", Elementary est une série sans réel saveur. Elle n'est pas doté d'une réalisation hors du commun, ne fait pas montre d'un suspens intenable et ne brille pas par ces acteurs. On est un peu au minimum syndicale de la série policière doté d'un héros à l'intellect très développé. La série, de base, ne se démarque pas ni dans sa touche visuelle, ni dans mise en scène. Le schéma est ainsi toujours le même : Problème, péripéties, premières conclusions, péripéties, contradictions, résolution. Pas de quoi être bouleversé.

Là où la série perd encore d'avantage en saveur c'est lorsqu'on la compara justement à son pendant anglais : Sherlock BBC. Ainsi, le personnage du Sherlock n'est qu'un pantin sur-joué (mal joué?) de la version anglaise, l'originalité de la série veut passer au travers d'un Watson féminin, ce qui personnellement n'a pas marché (mais je comprends que l'on puisse apprécier l'essai). Au final, dans ce tableau comparatif, tout sonne creux. New-York est magnifique, mais très loin du charme londonien pourtant essentiel dans les aventures de l'ami Holmes. Le caractère du héros n'y est pas, les déductions incroyables n'impactent pas autant. Il faut le dire, rien n'y fait.

J'ai fais l'erreur de vouloir suivre Elementary, désespéré que j'étais d'avoir fini Sherlock BBC trop vite. C'est dit, désormais je prends mon mal en patience avant la reprise, les aventures d'un Mentalist (déjà mauvais) au rabais, je les laisse aux écervelés amateurs de TF1.