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MC4815162342
402 abonnés
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Critique de la série
4,0
Publiée le 30 septembre 2013
Une série à la réalisation irréprochable, les décors sont parfait, la musique est très belle, les personnages sont hyper bien construit et l'histoire est et c'est là que ça me chagrine ultra réaliste ce qui fait que j'ai haie pas mal de personnage dont les abrutis qui défendez le mongolien de gosse que j'aurais déjà achevé, voilà juste ça qui m’empêche de qualifier cette série de chef d'oeuvre, car je voulais sur pas mal d’épisode en finir au plus vite, trop de choses mon taper sur les nerfs, certains se sont prit une claque en voyant cette série et bien pas moi, visuellement et niveau acteur y'a aucun reproche à faire mais les personnages sont tellement bien construit qu'on ne peut pas tous les aimer et c'est surement le but mais j'ai pas accroché à ce procédé.
Voici une petite série fort agréable à regarder. Une gifle donnée à un enfant insupportable est le prétexte à une immersion dans le quotidien de 8 personnes toutes tiraillées par leurs problèmes. Par moments, le côté attachant et empathique diminue (certains personnages sont moins charismatiques, les situations sont poussées à l’extrême) pour proposer, abusivement, une vision plus dramatique et plus énervante. Une fin en toute sobriété relève le niveau général de cette mini série et en fait une bonne surprise.
Quatre étoile pour cette série australienne! Si au départ je me suis lancé dans The Slap, c'est avant tout pour son cadre, Melbourne et l'Australie, pays que j'affectionne fortement et qui soyons clairs, en prend sérieusement pour son grade. Le constat fait tout au long des épisodes est sans appel : raciste, intolérante et inévitablement divisée, la société australienne cache bien son jeu. Mais voilà, malgré quelques longueurs et imperfections, on fini par être pris aux tripes durant un épisode final fort en émotion et tellement juste qu'il nous fait rapidement oublié ces dernières. Libre à nous d'en tirer nos propres conclusions - aucun parti n'est pris - sur cette société pleine de maux bien d'aujourd'hui ! Ce qui vaut bien 4,5 étoiles.
J'en suis pile à la moitié. Bah franchement, je suis pas mal déçu (alors que bon pilote !). C'est très cliché (même blindé oui parfois insultant souvent dérangeant), finalement le thème de "la giffle" semble pas mal anecdotique (absent de l'épisode 04), les personnages sont bons (et les acteurs aussi : Anouk, Connie, Hektor, Richie) mais ils partent trop dans tout les sens, les choses s'enchaînent sans queue ni tête, les réactions sont disproportionnés parfois incompréhensibles... Ca baise 3 fois minimum par épisode. De plus, c'est une série australienne mais tu m'aurais dit c'est américain, anglais ou canadien je n'y aurait vu que du feu, la série manque beaucoup d'identité. Bref, je vais regarder les 4 derniers mais bon, sans réel envi. Surtout, pourquoi filmer les seins de Rosie autant et à chaque épisode ???
Très bonne mini-série, comme quoi on peut faire un excellent spectacle de la vie avec peu de moyens. Les acteurs sont tous très bons et les situations bien vues, meme si les segments sont inégaux, j'ai trouvé l'épisode avec la scénariste plus faible, mais c'est chacun ses gouts. J'ai été un peu choquée par cette mère qui allaite son fils à quoi, quatre ans? Bref, le mioche méritait sa baffe, meme si c'est déplorable qu'un mec violent à la base s'en soit chargé. Et le jeune qui fout le souk, on lui pardonne un peu facilement à la fin, mais au milieu de tant de séries sans le moindre interet, cette série australienne est vraiment très bien.
Cette excellente série produite par une team de 7 personnes est adaptée d’un best-seller de Christos Tsiolkas. Diffusée il y a 3 ans sur la chaine ABC1, elle a ensuite été retransmise sur ARTE en 2013. Plébiscitée par la critique et récompensée dans de nombreuses catégories, The Slap a su transporter le public dans un univers en crise plutôt bien dépeint.
Tout commence lors d’un barbecue organisé pour l’anniversaire d’Hector, le personnage sur lequel est centré le premier épisode. Les esprits s’échauffent et un des invités présents gifle un enfant. Et c’est à partir de là que tout dégringole!
Cette gifle, c’est l’élément perturbateur, l’électrochoc qui va affecter la vie des ces hommes et ces femmes. Ils vont tous se remettre en cause. Ce qui soulève pas mal de questions intéressantes, au-delà de la simple continuité de l’histoire qui est comment va réagir X et que va dire Y.
The Slap parvient à nous brosser les portraits fins et subtils de héros complexes et très différents les uns des autres, appartenant tous -ou presque- à la classe moyenne australienne. Il suffit d'un geste d'une parole pour que s'ensuive une série d’événement non contrôlable... J'ai vraiment été conquise j'espère qu il y aura une saison 2
Une remarquable surprise que cette mini-série Australienne ! Dotée d'interprètes de grande qualité, l'immersion au sein de la tradition grecque se fait sans problème. Il est étonnant de voir avec quelle facilité les évènements se font et se défont à partir d'un rien, comme qui dirait d'un geste anodin, une "simple gifle", pour venir troubler la vie de ces personnages et raviver de vieilles tensions. A ce titre, l'épisode concernant Manolis est traité avec justesse et beaucoup de maitrise et prouve que la série ne s'enferme pas et ouvre des portes en posant des questions existentielles comme le temps qui passe, la vieillesse et la place de la Famille. La narration est axée sur un personnage en particulier lors de chaque épisode, ce qui peut paraitre casse-gueule de prime abord mais qui se révèle être un procédé indubitable et nécessaire pour susciter l'empathie. Vraiment, chapeau, j'attends la suite avec impatience !
Excellente série pour qui ne s'attend pas à des courses-poursuites, de l'action ou des mannequins manucurés. Les personnages sont complexes, profonds et ambigus... vrais ! Et ce que j'ai le plus apprécié dans cette série, c'est le point de vue du spectateur qui change le long des épisodes. En effet, chaque épisode est "raconté" selon un personnage différent de l'histoire. C'est une série qui traite de la subjectivité humaine, qui fait réfléchir et se remettre en question sur sa propre vue unilatérale d'un événement. A conseiller fortement pour les personnes qui aiment entrer dans la psychologie des êtres.
Cette mini-série a eu l'idée astucieuse d'adopter le point de vue d'un personnage différent à chacun des épisodes. On suit ainsi le déroulement des évènements par différent regards, et surtout on se plonge dans les mœurs et la vie sentimentale de chacun des protagonistes. Aucun personnage n'en sort indemne, de la mère couveuse au patriarche blasé, en passant par les ados découvrant la sensualité, ou le couple de quadragénaires en plein doute. Le vernis craque sur ces vies en apparence si lisses et si heureuses, montrant habilement que chaque choix de vie amène à des joies, mais aussi à des renoncements.
Les acteurs sont dans l'ensemble sobres et nuancés, contribuant au réalisme voulu par les auteurs, la réalisation sait se faire oublier au profit de la narration.
Une belle série donc, reflet de nos sociétés occidentales moderne, qui ne peut laisser insensible.
Excellente mini-série, originale et très touchante. Je ne m'attendais pas à une série de cette qualité et je suis très agréablement surprise. Ne vous fiez pas au synopsis qui ne donne pas trop envie, car dés le second épisodes on est accro ! A voir absolument
une excellente série peu ordinaire, où pratiquement chaque épisode décrit un personnage.
Pas de suspens exceptionnel, mais une intelligence du scénario où le spectateur a évidemment été confronté à quelques scènes. Le vieillissement des couples, le désaccord temporaire sur la façon d'éduquer les enfants, leurs études, l'alcool, les rapports familiaux, les amis, et tout le reste.....