Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
Critique de la série
5,0
Publiée le 31 décembre 2011
"Bref", la série la plus courte du monde est tellement banal qu'elle en est super! L'histoire extraodinaire d'un homme ordinaire, je trouve cela très original.
Un excellente série courte et française !!! Humour décalé , odyssée de la vie revisitée par Canal + et le Grand Journal !!! Des révélations comme Kyan Khojandi , le créateur de la série , Alice David, Bérengère Krief , Bastien Lecaplain , Waly Dia , Vérino !!!
Révélé dans l'émission "Le grand journal", "Bref" est un format court extrêmement original et drôle qui raconte une tranche des instants de vie dans lesquelles tout le monde pourra se reconnaître à un moment donné tout ça bien orchestré par la voix off de Kyan Khojandi.
J'avais adoré Bref à sa sortie. Dix ans plus tard la série de Kyan Khojandi à parfaitement résisté au temps et reste un modèle d'écriture et d'originalité.
Arrêtez de crier au génie pour "Bref".Je comprends qu'on peut être stupéfaits par l'originalité de la série dans les premiers épisodes grâce à son montage saccadé et speed,si on gratte bien le vernis de cette singularité,on y voit juste "Friends" version Facebook.Sympathique mais vite oubliable au fil des épisodes tournant en rond...
Devenu un quasi-phénomène de société en à peine quelques mois, « Bref », c'est déjà fini. On peut évidemment regretter ce choix tant on était presque devenus accrocs à cette curieuse série, forte d'un concept franchement sympa et surtout souvent marrante. En effet, cela paraît aujourd'hui tout con, mais il fallait y penser à faire d'un trentenaire ô combien banal un héros du quotidien auquel on ne peut que s'identifier tant on se retrouve dans la plupart des situations qu'il vit. Kyan Khojandi et Bruno Muschio prennent toutefois évidemment le soin de ne pas tomber dans la routine en racontant chaque histoire à toute vitesse (jamais plus de trois minutes par épisode), le tout avec un sens du rythme et du montage imposant le respect. Ainsi, ce qui aurait pu être affreusement creux se transforme en « fable moderne » souvent savoureuse, non dénué de cynisme et surtout très juste ce qui nous intéresse aujourd'hui, nos préoccupations... Après, l'ensemble a aussi ses faiblesses : on est parfois un peu frustré de voir se terminer aussi vite une situation hilarante, et inévitablement certains récits sont plus faibles que d'autres, les auteurs ne pouvant être autant inspirés à chaque fois. Reste qu'une série (française, qui plus est !) nous ayant procuré autant de plaisir au quotidien, réussissant à être populaire tout en restant intelligente et créative, on n'en croise pas tous les jours : bref, « Bref », ce fût court, mais ce fût bon.
Difficile d'être encore inventif et drôle dans le genre mini-série, et pourtant celle-ci est hilarante et touchante. Le format permet un rythme très soutenu et de ne pas s'ennuyer. Les personnages sont attachants et les situations parlent à tout le monde (à cette génération en tout cas). Bravo !
(Oui, je passe ma vie sur Facebook. Oui, je balance des répliques de séries B toute la journée. Oui, j'utilise la phrase "Je dis ça, je dis rien... enfin, je sais pas... enfin peut-être...". Oui, je me pose des questions existentielles du genre " Les Ewoks connaissent-ils l'homophobie ?". Oui, j'ai des t-shirts "Flash Gordon" et "Sucker Punch". Oui, je préfère regarder un film de Spielberg que d'aller à un opéra. Oui, je tombe amoureux de toutes les demoiselles que je croise sans jamais avoir dit "je t'aime" à une seule. Oui, je fais partie d'une génération puérile n'ayant jamais dépassée le stade adolescent. Oui, je me reconnais en "Bref". Oui, d'accord, j'arrête de vous casser les noix ou les ovaires.) Véritable phénomène de société depuis sa diffusion dans Le grand journal en 2011, "Bref" parvient, en 82 épisodes de moins de deux minutes, à définir toute une génération tout en restant universel. Frénétique, pertinent, bien moins superficiel que ne le pense certains, drôle, ultra-référencé et carrément touchant par instants, "Bref" est un mélange de Woody Allen, Cédric Klapisch et Edgar Wright, un croisement entre "Friends", "Baisers volés" et "Scott Pilgrim" qui fait un bien fou et qui a le mérite d'avoir su s'arrêter quand il le fallait. (Oui, pour toutes ces choses, j'aime "Bref".)
Quand "Bref" a commencé à être diffusée sur Canal+, le buzz a été immense et en très peu de temps, la série s'est constituée une fanbase d'enfer, avec quelques répliques devenues connues et une mode qui s'est créée. Il faut dire que pouvoir raconter autant de choses en un temps aussi bref et avec autant d'énergie et de talent n'est pas nécessairement donné à tout le monde. Et pourtant Bruno Muschio et Kyan Khojandi l'ont fait. Personnellement j'ai vraiment adhéré à ce programme court, débordant de vitalité et racontant les mésaventures quotidiennes d'un trentenaire moyen. Je l'aime d'autant plus parce que les scénaristes comme la production ont décidé de n'en faire qu'une seule saison (quoi que cela pourrait changer d'après certaines informations), pour ne pas s'installer dans la monotonie. A voir (ou revoir) sans modération.
Un concept exceptionnel tenu sur 82 épisodes, malgré quelques répétitions! On ne s'ennuie jamais. Et pour cause on se reconnait tous plus ou moins dans cette micro série. C'est aussi agréable de découvrir un concept qui a un début et une fin! Même si on à un léger pincement au coeur en abandonnant cette troupe de talents... En espérant la retrouver au plus vite!
"Bref" est une mini-série que j'ai bien aimé. La narration est sympa, les personnages sont attachants et le format de 2 minutes par épisodes qui sont bien rythmés.