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    Masters of Sex
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    Nicolas C
    Nicolas C

    19 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 2 août 2018
    jeu d'acteur époustouflant, sujets soulevés comme la place des femmes, des noirs dans la société : on devient accroc d'une série excellente
    willyzacc
    willyzacc

    79 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 30 septembre 2014
    Bonne surprise cette série, d'un médecin qui fait des recherches sur un pan de médecine très tabou à l'époque. Très bon casting, une histoire qui sort de l'ordinaire et des épisodes qui prennent leur temps pour raconter tout ça. Une série à part.

    Saison 2 : dans la continuité, même si la saison fut plutôt longue à lancer vraiment, mais les 4 épisodes finaux sont vraiment excellents.
    Ben I
    Ben I

    19 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 23 avril 2015
    Série très passionnante, le jeu des acteurs y est pour beaucoup, même si le rythme peut paraître lent par moment, on se laisse prendre dans l'histoire et le développement des personnages. Pas mal de scènes de nudité, mais jamais vulgaire, et qui servent tout à fait le récit ! Une vraie bonne série, en attendant la suite !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 1
    4,5
    Publiée le 10 octobre 2014
    Le début du pilote est un peu long, mais une fois que les bases sont posés, l'épisode entre dans le cœur du sujet et là, c'est très intéressent et sympa à suivre. Je m'attendais à un peu plus d'humour vu le thème abordé, mais ça reste assez sérieux dans l'ensemble, ce qui n'est pas déplaisant finalement.
    Les acteurs sont bon, la réalisation reste assez classique et on est loin des séries à provocation dans la mise en scène des scènes de nues.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 8 mars 2014
    Meilleure nouvelle série de cette année! Enfin quelque chose d'original ! Les acteurs sont tous impeccables! Le scénario tiens la route!! Vraiment n'hésitez pas a regarder!
    Jérémie
    Jérémie

    148 abonnés 755 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 30 décembre 2014
    Je n'ai regardé que les 2 premiers épisodes et je me suis ennuyé tout le long. Une série qui peut être bien, mais qui manque clairement de rythme et d'investissement pour m'intéresser.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    112 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    3,0
    Publiée le 31 juillet 2015
    Réalisation impeccable, acteurs principaux géniaux, sujet sulfureux, que manque-t-il donc à cette deuxième saison de Masters of Sex pour rivaliser avec la première, excellente? Eh bien à priori du rythme couplé avec une recentralisation vers l’étude en elle-même. En effet, après avoir résolument axé sa série sur le thème de la recherche sulfureuse sur la sexualité par le docteur Bill Masters et son assistance, Virginia Johnson, Showtime s’égare quelque peu dans les méandres des amourettes extraconjugales, des conflits raciaux de l’Amérique des années 60, référence faite au combat mené par Martin Luther King et les siens. En définitive, cette seconde saison, s’appuyant sur la base solide initiée précédemment, se permet d’avantage de chemins détournés, de sous-thèmes plutôt maladroits, toujours cette lutte raciale impliquant la brave Libby. Au surplus, le visionnage de l’intégralité de la saison est particulièrement aléatoire du fait d’une coupure nette entre sa première et sa seconde moitié. Le saut temporel amorcé lors du septième épisode, certes nécessaire à l’avancement du récit, paraît tout de même brutal.

    Oui, Showtime, voulant élargir les horizons de ses protagonistes, évoluant jusqu’alors en huis clos dans les couloirs d’une maternité universitaire, propulse chacun d’entre eux dans des univers variables souvent bien distants les uns des autres. La première partie de la saison est à ce titre partiellement chaotique, l’étude du bon docteur passant d’un hôpital à un autre sans que le personnage de Virginia puisse s’y fixer. La seconde partie, plus homogène, permet de découvrir le cabinet privé du docteur et de sa muse, mais souffre d’un trop plein de scènes d’amour plutôt osées, scènes extraconjugales qui plombent l’avancée des recherches, le centre d’intérêt de la série, de nos deux lascars. Bien d’avantage encore que par le passé, la construction des épisodes se résument à une succession de longues séquences de dialogues entre des protagonistes pas toujours très intéressant, je pense là à Libby et son nouveau partenaire professionnel, et l’on s’en doute, intime, Robert.

    En définitive, le sujet central semble donner l’impression d’avoir été survolé pour mieux s’égarer aux quatre vents, faisant évoluer les personnages dans de curieuses directions qui trouveront leurs justifications, on l’espère, à l’avenir. Pour autant, tout n’est pas si maussade dans le cadre de cette saison, les acteurs principaux faisant leurs boulots on ne peut plus sérieusement. Michael Sheen, somptueux roublard à la tête dure, illumine de sa présence chacun des épisodes, sans compter sur l’extraordinaire vivacité de sa comparse, l’attachante Lizzy Caplan. L’actrice semble avoir trouvé le rôle de sa carrière en cette femme libérée mais torturée, joviale mais sans cesse blessée par les évènements. La relation intime, complexe car perverse sur le plan moral, entre Bill et Virginia compose sans doute le véritable atout de cette saison, chacune de leurs rencontres étant légitimement intéressante sur tous les plans. Oui, si cette seconde volée n’est certes pas optimale, les deux protagonistes principaux y sont excellents et y développent une relation pour le moins captivante.

    Dans une démarche finalement risquée qui n’aura que partiellement porté ses fruits, la preuve en est avec l’exclusion abrupte des personnages du doyen Scully ou encre d’Ethan, Showtime, entendant donner un nouveau souffle à sa sulfureuse série dramatique, ne parvient pas à convaincre un public jusqu’alors complètement acquis. On ne peut alors qu’espérer une troisième saison aux enjeux plus marqués, présentant une évolution plus tranchante dans les recherches menées, notamment pour celles initiées au profit du soin des indispositions sexuelles de certains de patients. Attendons de voir. 12/20
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    112 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,0
    Publiée le 7 juillet 2015
    Dans la catégorie des séries plus ou moins osées, Masters of Sex, nouveau produit de l’écurie Showtime, fait figure de petite référence. S’appuyant en effet sur l’étude véridique d’un médecin renommé et d’une chanteuse, étudiante en médecine, en 1956 dans le Missouri, à St-Louis, la série narre la première investigation médicale sur le phénomène de l’orgasme, de la tension sexuelle et des réactions du corps durant l’ébat. Dans l’Amérique puritaine des années 50, le premier défi consiste à faire passer ce programme pour important aux yeux du corps médical. Le reste n’est que péripéties, constatations et vagues suppositions, parfois amusantes, parfois instructives, mais toujours utiles à l’avancée du scénario. Répartis sur 12 épisodes, les premiers pas du docteur William ‘’Bill’’ Masters et de Virginia Johnson dans les méandres profondes de la sexualité sont captivants, d’où une réussite sincère de la part du showrunner, livrant à la fois une série dramatique et comique traditionnelle mais aussi particulièrement retorse sur le plan psychologique.

    Nul élément n’est ici tabou. Pour tout dire, sans la moindre vulgarité ni même surenchère, la série approfondi son sujet avec une certaine classe narrative et artistique. La mise en scène, très soignée, nous renvoie parfois au cinéma, de même que les interprétations généreuses et remarquables des comédiens principaux, Micheal Sheen et Lizzy Caplan. Chacun des deux comédiens, issus du cinéma, trouve ici une parfaite symbiose et surtout l’occasion indéniable de démontrer un talent trop discret. La palme revient bien entendu à Michael Sheen, personnage curieusement attachant alors qu’il s’efforce d’être détestable. L’anti-héros de série par excellence, donc, implanté dans un contexte médical et sexuel que la télévision n’aurait jamais évoqué il y a à peine vingt ans de ça. On peut donc affirmer, la preuve en est de la présence de Beau Bridges dans un rôle clef passablement difficile à jouer, que la production à visé la qualité alors qu’il aurait été facile de racoler. En effet, un tel sujet, dans les mains de personnes peu soigneuses, aurait été fâcheusement inconsistant et tout simplement inintéressant.

    Masters of Sex, donc, série médicale, historique et finalement sentimentale, m’aura étonné de par son ton résolument professionnel. On pourrait pour autant, quand bien même cette saison soit une excellente première volée, émettre quelques réserves quant à certaines coupes narratives entres les épisodes ou face à une certaine naïveté dans le traitement des amourettes de nos protagonistes. En effet, il arrivera à plusieurs reprises que les écarts temporels entre les différents évènements ne soient pas très clairs. Pas d’importance capitale, certes, mais la vision des épisodes peut en être parfois altérée. Pour ce qui est des relations, notamment de Virginia, l’ingénue secrétaire puis assistante de docteur Masters, le tout n’est pas foncièrement passionnant. Pour dire la vérité, chaque éloignement du centre de gravité de la série, le personnage de Michael Sheen, l’intérêt s’estompe quelque peu. Les épisodes au centre de la saison, mettant parfois l’accent sur des personnages annexes, ne sont alors pas aussi saisissants que les premiers et derniers efforts de cette première saison.

    Le final de cette première volée étant satisfaisant, laissant ouvertes toutes les portes possibles et imaginables, on ne peut que supposer un remue-ménage lors de la seconde saison. Il s’agissait ici de débuter cette fameuse étude, de l’éprouver puis de la présenter, le tout dans le cadre strict d’un hôpital universitaire. On pressent que le vent tournera et pouvons nous en réjouir. Voilà donc une série passablement ingénieuse, soignée, bien amorcée, qui renforce le statut provocateur mais responsable de Showtime, à l’heure d’une diabolique concurrence entre les entrepreneurs de télévision. Fortement conseillée. 16/20
    Renaud Grimoult
    Renaud Grimoult

    26 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 16 août 2014
    la série est assez lente, et les histoires tournent un peu en rond, mais les acteurs sont supers, et l'ambiance 50's est carrément géniale. Un bon moment, qui change de ce que l'on a l'habitude de voir, ce n'est pas too much.
    Frédéric M
    Frédéric M

    19 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 6 août 2014
    Série d'une rare intelligence, inspirée de faits réels, et interprétée magistralement. "Masters and Johnson" aurait été plus adéquat comme titre, mais moins racoleur pour les producteurs. Ce n'est pas une série, c'est un film qui dure des heures et des heures pour un ravissement sans fin.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 17 décembre 2013
    Véritable coup de coeur et petite merveille de ce début de saison. À ce stade on frôle réellement la perfection.
    Masters of Sex fait partie de ses projets révolutionnaires qui osent et choquent. La découverte de la sexualité humaine par le biais d'une série dramatique à visée presque documentaire est tout simplement géniale. On reste captivés par nos écrans et on s'intéresse aux découvertes de deux personnages ayant vraiment existés: William Masters et Virginia Johnson.
    Le représentation de l'époque est très franchement réussie, que ce soit au niveau des décors mais aussi des mentalités qui sont parfaitement représentées en montrant les idées de l'époque. Tout ceci est naturellement dû au travail des acteurs qui sont tous très bons, qu'ils soient principaux ou secondaires. Michael Sheen (W. Masters) est juste et impeccable pour le rôle, il joue minutieusement un homme pris au piège par ses sentiments intérieurs tout en étant un médecin froid et concentré sur son travail. Quant à Lizzy Caplan (V. Johnson), que je ne connaissais pas avant, son jeu d'actrice est remarquable en plus d'être sans doute le personnage le plus attachant du show.
    D'ailleurs, la série nous présente des personnes réelles, profondément brisées et tristes qui tentent de trouver un sens à leur vie et c'est en cela que réside la clef du succès.
    L'idée était particulièrement délicate et pourtant force de constater que Masters of Sex rencontre un vif intérêt au point d'avoir déjà été renouvelée pour une seconde saison (mais dans un an malheureusement....) Néanmoins, ce n'est pas un programme amusant, c'est même plutôt informatif, mais il vaut franchement le coup d'oeil.
    NoPopCorn
    NoPopCorn

    30 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,5
    Publiée le 14 avril 2014
    La série qui va vous faire jouir de plaisir !
    Masters Of Sex n'est pas seulement une série qui traite d'un sujet sulfureux, la sexualité, mais également la représentation d'une palette de personnages qui évoluent tant bien que mal au vue du contexte culturel et social de l'Amérique des années 50.
    Il y a beaucoup d'humour et de profondeur dans les thèmes traités. On s'attache rapidement aux héros et à leurs problématiques.
    Envie d'un plaisir coupable... N'hésitez plus, regardez Masters Of Sex pour connaitre tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe sans oser le demander !
    Pour en savoir plus, lisez notre critique complète NoPopCorn !
    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 274 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 13 janvier 2014
    La série raconte les véridiques premières expériences scientifiques sur le sexe réalisées en laboratoire dans les années 1950 aux Etats-Unis. Encore une fois on est bluffé par le culot et le talent des scénaristes pour rendre aussi génial un sujet pareil. On pourrait s'attendre à du graveleux on n'a que du subtil. Les personnages principaux sont formidables dans leur finesse psychologique. On assiste à la libération de la femme et à la pudibonderie des scientifiques. C'est aussi le début d'une véritable compréhension de l'homosexualité. C'est tout simplement magistral.
    Chris Art
    Chris Art

    79 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 28 novembre 2014
    (...) Masters of Sex est certainement une série pionnière en soi abordant sérieusement le sexe comme une science. HBO déjà connue pour nous montrer explicitement le sexe et la nudité, avec des séries comme Girls, True Blood ou Game of Thrones, innove avec Masters of Sex. Désormais, le média ne fait pas que montrer le sexe, mais il en parle de manière anthologique (...) C'est avant tout un point de vue critique de l'Amérique puritaine des années 50. Notre contexte du XXIème ne permet que d'ajouter au discours plus de distance et de modernisme, sur les changements de visions par rapport à la sexualité. Particulièrement celle de la femme, qui était jusqu'alors très méconnu (...) On aborde en second lieu, les problèmes de tabou au sein même du couple. A l'époque où les valeurs familiales sont des plus importantes, les problèmes sexuels restent alors cachés. Une vision très cynique et critique, mettant en avant les différences contextuelles de l'égalité homme/femme, surtout sur le plan sexuel (...) Jusque-là cantonnée à des rôles secondaires dans des comédies ou dévoilée dans True Blood, Lizzy Caplan s'affirme en tant qu'actrice sérieuse, dans un rôle de femme nuancée. Un personnage alliant la femme fatale et la femme de pouvoir. Mère divorcée, indépendante et battante, elle s'affirme par sa force de caractère dans un monde dominé par les hommes. Elle représente cette figure de la femme moderne de notre époque, vilipendée pourtant dans les années 50-60 (...)
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 4 décembre 2014
    Une série qui aurait dû s'arrêter après sa magistrale première saison. Tout avait été dit. Je conseille donc de se limiter aux douze premiers épisodes !
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