Avis Banshee - Page 20

cette serie a quelque chose de particulier je ne saurais pas forcement quoi, mais elle dégage une sorte d'aura

et bien qu'elle respecte le schéma type des série actuelle, elle se décroche quand méme d'un GOT ou d'un Borgia.

Noire a souhait, l'intrigue bien ficelé, l'intensité parfaitement géré, et les quelques poussière d'humour sont la pour prouver que cette série est une réussite, les acteurs son aussi excellent et donne son âme a la série

si vous ne l'avait jamais vue, Banshee est la serie a voir!!!

Cette série est magistrale. Je suis en train de la revoir pour la 3ème fois, c'est vous dire. Les personnages sont attachants et les relations entre chacun sont émouvantes. Une série qui vous marquera à jamais comme très peu savent le faire.

Très bonne 1ère saison avec ce qu'il faut de complot, de secrets, d'action et, il faut le dire, de sexe.
Quelques longueurs sur certains épisodes mais la concision d'une saison à 10 épisodes permet à la série de ne pas disperser le spectateur dans des effets de manche sans intérêt. Pourvu que la 2e saison soit du même niveau

Cette série se veut excessive dans tous ce qu'elle fait se qui est parfaitement réussi, les scènes d'actions sont d'une réussite totale tant dans l'intensité que visuellement, petit bémol quand au scène érotique très présente notamment dans l'un des épisodes sinon j'aurai mis 5 tant le spectacle est au rdv !!!

Je n'ai pas terminé mais c'est une serie avec le vent dans les cheveux, sans casque, à 200km/h.
Ça flingue, c'est violent, sexy, chaud, hard, poignant, décapitant, noir, speed et prenant.
Quand on a vu quelques épisodes de la saison 1 on se demande comment ils font pour survivre 3 saisons. Il y en aura une quatrième et dernière. Entre chaque ils se soigne intensivement je pense.
C'est bien filmé, efficace, de bons acteurs, un bon scénario prenant. Je continue. Bonne journée.

J'ai regarder la première saison, et c est vraiment une série excellente. Elle sort des sentiers battus et elle vaux vraiment le coup.

Après 4 épisodes, je dois avouer que j'accroche vraiment. Les ressorts sont simples et basiques, mais c'est jouissif et il ne faut bouder son plaisir. Il y a quelques fautes de goûts scénaristiques (et pourtant le niveau gastronomique là c'est plutôt travers de porc à la sauce barbecue hein :)), et on s'aperçoit assez vite que la série ne se veut pas "dans le réel". L'acteur qui joue Proctor a une sacrée bonne gueule. La background surtout de la Pennsylvanie avec son lot de rednecks, indiens et Amish, sous fond de crise industrielle, est très séduisant. J'attends de pied ferme et avec impatience les autres épisodes. Merci Canal !

Alors qu’il sort tout juste de prison après avoir servi une peine de 15 ans, un voleur de haut vol s’installe dans la petite ville de Banshee où le hasard le pousse à devenir le shérif.
Nouvelle série de la chaine Cinemax, Banshee est une création des romanciers Jonathan Tropper et David Schickler qui est produite par Alan Ball. Cela parle d’un criminel qui devient illégalement un shérif dans une ville appelée Banshee.
Là on trouve de tout, mais surtout un ancien amish qui dirige tout le crime dans la région que le maire et le procureur n’arrivent pas à stopper. C’est pour cela qu’ils font appel à Lucas Hood, un shérif qui vient de l’autre côté du pays et qui doit combattre la corruption. Malheureusement, celui-ci se fait tuer et notre voleur à peine sorti de prison lui emprunte son identité et son nouveau job.
Le pitch est un peu poussif, mais ce n’est pas trop gênant, puisque c’est le cas de tout ce que l’on peut trouver dans Banshee. Après tout, c’est une série produite pour Cinemax, ce qui veut dire que l’on a le droit à de l’action over-the-top et du sexe gratuit. C’est la marque de fabrique de la chaine, même si cette dernière tente à l’occasion d’évoluer en co-produisant des séries anglaises à l’occasion.
Quoi qu’il en soit, tout commence de manière plutôt fluide, le scénario étant relativement simple. Probablement trop, mais le manque de finesse dans l’écriture n’est pas ici un défaut, étant donné que le show est une série B qui semble totalement s’assumer en embrassant des clichés et en instaurant des figures caricaturales dans les rôles de bad guys.
Une mythologie trouve tout de même une place, puisque notre héros a son passé et ses ennemies, sans oublier ses secrets. Dans le premier rôle, on retrouve le néo-zélandais Antony Starr (Rush, Outrageous Fortune) qui impose une certaine présence et qui réussit à dégager la dose de violence qui anime son personnage et qui suinte de la série. Il parvient même à suggérer occasionnellement une légère pointe de nuances, même si ce n’est clairement pas ce qui prime ici.
L’ensemble est en tout cas efficace dans la mise en place. Ce n’est pas vraiment suffisant pour laisser entrevoir ce que la série pourrait donner par la suite, étant donné que l’on a avant tout le droit à de l’exposition. Il y a tout de même quelques longueurs, mais surtout, des scènes de violences ou de sexe totalement gratuites qui semblent là pour assurer que les quotas imposés sont bien respectés. C’est une touche importante du style du show autant que cela parait définir ses limites. Peut-être que dans le futur les scénaristes tenteront des approches moins grossières, bien que cela apparait peu probable pour le moment.

Alors qu’il sort tout juste de prison après avoir servi une peine de 15 ans, un voleur de haut vol s’installe dans la petite ville de Banshee où le hasard le pousse à devenir le shérif.
Nouvelle série de la chaine Cinemax, Banshee est une création des romanciers Jonathan Tropper et David Schickler qui est produite par Alan Ball. Cela parle d’un criminel qui devient illégalement un shérif dans une ville appelée Banshee.
Là on trouve de tout, mais surtout un ancien amish qui dirige tout le crime dans la région que le maire et le procureur n’arrivent pas à stopper. C’est pour cela qu’ils font appel à Lucas Hood, un shérif qui vient de l’autre côté du pays et qui doit combattre la corruption. Malheureusement, celui-ci se fait tuer et notre voleur à peine sorti de prison lui emprunte son identité et son nouveau job.
Le pitch est un peu poussif, mais ce n’est pas trop gênant, puisque c’est le cas de tout ce que l’on peut trouver dans Banshee. Après tout, c’est une série produite pour Cinemax, ce qui veut dire que l’on a le droit à de l’action over-the-top et du sexe gratuit. C’est la marque de fabrique de la chaine, même si cette dernière tente à l’occasion d’évoluer en co-produisant des séries anglaises à l’occasion.
Quoi qu’il en soit, tout commence de manière plutôt fluide, le scénario étant relativement simple. Probablement trop, mais le manque de finesse dans l’écriture n’est pas ici un défaut, étant donné que le show est une série B qui semble totalement s’assumer en embrassant des clichés et en instaurant des figures caricaturales dans les rôles de bad guys.
Une mythologie trouve tout de même une place, puisque notre héros a son passé et ses ennemies, sans oublier ses secrets. Dans le premier rôle, on retrouve le néo-zélandais Antony Starr (Rush, Outrageous Fortune) qui impose une certaine présence et qui réussit à dégager la dose de violence qui anime son personnage et qui suinte de la série. Il parvient même à suggérer occasionnellement une légère pointe de nuances, même si ce n’est clairement pas ce qui prime ici.
L’ensemble est en tout cas efficace dans la mise en place. Ce n’est pas vraiment suffisant pour laisser entrevoir ce que la série pourrait donner par la suite, étant donné que l’on a avant tout le droit à de l’exposition. Il y a tout de même quelques longueurs, mais surtout, des scènes de violences ou de sexe totalement gratuites qui semblent là pour assurer que les quotas imposés sont bien respectés. C’est une touche importante du style du show autant que cela parait définir ses limites. Peut-être que dans le futur les scénaristes tenteront des approches moins grossières, bien que cela apparait peu probable pour le moment.

Série de grand malade ! Marre des héros stéréotypé qui agit sans cesse pour le bien ou selon une morale éthique noble ? Qui laisse toujours filer le grand méchant dans un élan de philosophie énervant du genre "Qui somme nous pour prendre la vie d'autrui" ? Marre des combats a la jackie chan ou on se contente juste de mettre le mec par terre avant de lui faire la morale ?
Banshee est pour vous. Une série dans lequel le personnage principale n'a aucune limite, cassage de gueules d'une rare violence et fusillades spectaculaires entre 2 bonnes baises, une série mature boosté a la testostérone qui réussit a réaliser l'exploit de ne susciter l'ennuie a AUCUN moment durant ses épisodes, il se passe toujours quelque chose, si c'est pas de l'action ce sont des scènes qui mettent en relief des personnages en leur donnant de la profondeur. Un très grande série.

Les scénaristes nous prennent pour des cornichons.
Le hacker qui éteint l'alarme d'un musée, ouvre les portes blindées et change les identités avec son pc portable depuis la buvette d'un fast-food. Faut pas abuser.

Une excellente série, portée par de vrais méchants et surtout un personnage principal habité et ultra charismatique. Si l'action est prédominante, cette série ne manque pas de fond. Les scènes d'actions sont ultra réalistes et les personnages touchants pour la plupart. Tout les épisodes sont absolument géniaux, ce qui est un point plus que positif quand on sait que plusieurs séries à succès en ce moment présentes des épisodes un peu creux.
Au final, c'est un série très crue, fortement déconseillée au plus jeunes, mais à voir absolument pour son réalisme, sont dynamisme et son côté terriblement humain.

Excellente série bien jouée, réaliste et très rythmée. On ne s'ennuie pas une seconde. Les combats font vraiment mal. Superbement filmé. A voir.

Waouhhhhhhhhh quelle claque !
C'est un classement un peu particulier moi qui ne suis pas vraiment fan de castagne à tout va. Mais je dois avouer que les castagnes sont d'un réalisme saisissant. La trame est un peu prévisible mais c'est du tout bon quand même.

D une extrême efficacité, cette série peut se regarder d un coup sans un seul bâillement. Excellent.