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8 abonnés
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Critique de la saison 1
0,5
Publiée le 21 mars 2018
ATTENTION 100% de ce que vous allez lire est vrai (donc ce n’est pas sujet a discutions) : Ce qui va faire “rager“ les amateurs de cette mauvaise “série“ c’est que ce que je dis est parfaitement exacte. En 6 épisodes donc 6 heures (4 films ou la trilogiea complète du seigneur des anneaux) un prêtre joue au casino, le shérif règle quelques menus problèmes de village, sa fille va à l’école et une secte de personnages en blancs décident de ne pas dire une seule parole. Voilà ce qui s’est passé en 6 heures : RIEN !!! Des séries comme ça j’en fais de temps en temps dans mes cabinets et au moins chez moi elles sentent meilleurs...
BOOM 2% de la population mondiale disparaît soudainement ! Quelles en sont les conséquences et surtout pourquoi ?? Une véritable mine d'or scénaristique à exploiter. Nulles craintes de passer un agréable moment en théorie et pourtant... C'est grandement mitigé.
Les bons côtés de cette séries tiennent avant tout sur le jeu d'acteur grandiose de certains membres du casting, Justin Theroux dans le rôle de Kévin Garvey le flic qu'on embête pas et Christopher Eccleston en fervent prêtre plaçant ses convictions au dessus de tout pour ne citer qu'eux. Ajouter une mise en scène puissante avec une musique vraiment triste reflet de la fatalité pour que certains épisodes soient juste géniaux à regarder !
Cependant le mauvais côté de la balance penche souvent trop et le gros point faible de la série vient étonnement du scénario. C'est simple, il y a trop de choses inutiles et nuisibles à long terme sur notre attention. Ça part littéralement dans tous les sens sans se justifier. Pour ceux adeptes des réponses posées par la trame de l'histoire il faut tout simplement passer son chemin ou attendre d'avoir vu les trois saisons entières pour tenter de se donner une explication tout seul... Sans passer par quatre chemin il y aura parfois des moments d'ennuis total si ce n'est d'incompréhension partielle sur ce qui se passe, la plus mauvaise saison étant la troisième à ce titre. L'exemple le plus marquant étant l'histoire de la secte qui est lente, très mal expliquée et dont on se fiche éperdument et qui n'apporte aucun mordant à l'histoire même quand cela fait avancer le scénario...
En conclusion cette série ne mérite pas d'être une priorité dans la liste des choses à avoir vu sur petit écran !
Supercherie pseudo intellectuelle....du vide rempli de rien...et c'est déjà trop. À sortir du lot...les acteurs et la musique, mais sans scénario ce ne sont que des pantins désarticulés. J'ai perdu 10 heures....cadeaux...passez votre chemin.
Je ne comprends pas la note moyenne, soit que c'est moi qui suis anormale soit que les gens sont bizarres ! Je n'ai pas du tout aimé, en trois épisodes j'ai vite compris que je perdais mon temps, et en allant voir les commentaires pour me remotiver je me suis dis ça va être bien... Mais j'ai bien fait de lire les commentaires négatifs, ça m'a remis à ma place. Bon, bein ce sera sans moi
Comment expliquer l'absence totale de "The Leftovers" dans tous les palmarès, tous les bilans de fin d'année ? Snobée de façon incompréhensible, la série est pourtant ce que la télévision américaine nous a offert de plus beau, de plus fort, de plus troublant, de plus authentique depuis longtemps. Avec une intensité et une puissance émotionnelle rappelant Six Feet Under, "The Leftovers" s'est attachée à retranscrire la douleur, la gravité, le spleen d'êtres incapables de faire le deuil d'une vie passée.
Bon alors déjà, il faut avouer que la BO de Max Richter est une merveille absolue. Et je pense qu'elle est indispensable à l'osmose de la série. On est parfois perdu, on peut se demander l'intérêt de certains épisodes, mais au final, su 3 saisons, on tient un véritable chef-d'oeuvre
Une troisième saison qui va toujours plus loin dans le fantastique mystique avec une vraie teinte d'humour mais aussi de symbolique et d'émotions. Elle essaie de se concentrer sur chaque personnage pour clôturer leur chemin de penser et de croyances.
l'idée de départ de cette série donne vraiment envie d'en savoir plus,c'est ce qui m'a décidé a commencer malgré les doutes que j'avais envers Lindelof et son final de Lost ou comment faire un joli doigt aux spectateurs.............hé bien rien n'a changé,les énigmes se multiplient mais ont comprends rapidement que le réalisateur n'a pas la moindre idée de comment les résoudre,j'ai réussi a tenir jusqu'au "final" de la saison I ,et,je n'ai RIEN appris,les acteurs jouent pourtant bien,mais leurs personnages sont plus timbrés les uns que les autres,2% de la population a disparu et certains ne trouvent rien de mieux que de chasser les chiens ? WTF !!! d'autres font "vœu de silence" et clopent h24 double WTF !!! aucun ne cherche a savoir ! aucun ne se pose même la question ! même moi,j'ai arrêté de chercher, la "disparition" n'est qu'un alibi pour permettre au réalisateur de taper son délire comme il l'a déjà fait avec Lost,de faire faire n'importe quoi a ses personnages et de pondre une nouvelle énigme a chaque nouvel épisode sans avoir la moindre idée sur la suite,bref ,j'arrête de perdre mon temps,cette série n'est qu'une mauvaise blague,j'avais tenu trois saison avec Lost avant de comprendre la supercherie,mais la c'est trop....................
Bof bof. Cette série n"a pas vraiment de colonne vertébral. Sur l'affiche, on nous vend une relation passionnelle entre Nora et Kévrin, qui n'arrivera jamais.
Trop de rétro pédalage, ça ouvre des pistes, ça part dans un sens puis ça revient. Pas assez de cohérence. Surtout à partir de la fin de saison 1. La raison est simple, le roman d'inspiration est fini à la fin de la saison 1.
Il y-a un côté un peu trop fantasmatique à certain moment, or un excès de fantaisie amoindri la crédibilité. Et précisément trop souvent cette série perd toute crédibilité.
Malgré tout, je réussi à trouvé mon compte dans certaines scènes et même certains épisodes très bien réalisés.
Décidément, la société américaine demeure violente, névrosée contre toute tentative d'eschatologie rédemptrice. Le peuple élu est en pleine déperdition, environ 2% de la population a disparu, nous les retrouvons 6 mois après le grand phénomène et les suivons dans leur théâtre quotidien, emprunt de douleur et de circonvolutions Faut-il croire au ravissement biblique, se confronter à la perte, ou ne pas l'accepter, se taire et devenir des monades situationnistes ? La question est légitime et la pratique de l'exégèse nécessaire. Seulement, le peuple élu se confronte à une crise quasi hémorroïdaire tellement le repli garantit son unité. On pense aux événements du 11 septembre qui ont fragilisé la production cinématographique et ont fait explosé la création de séries miroitant la crise identitaire des dominants. A force de miroiter, on en oublierait le reste du monde. On retiendra l'imposante et prodigieuse interprétation de Christophe Eccleston, le reste du casting est à l'image de la médiocrité ambiante. La série étant saluée par nombre de critiques, les deux autres saisons nous sauveront peut-être de cette torpeur première.
Je viens de regarder le pilote. Et je crois bien que je vais m'arrêter là. L'intrigue est posée, un soupçon de fantastique, du mystère, et.... Rien.... Des scènes sans intérêt histoire de remplir de la pellicule. Il ne se passe rien... Et d'après ce que j'ai lu ici et là c'est la même lithanie pendant 3 saisons.. On se demande d'ailleurs avec quoi sont remplies les 3 saisons... Rien à voir, série bidon.. A dégager...