Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Hitfix
par Alan Sepinwall
Jessica Jones ne ressemble en rien à ce que Marvel ou DC Comics a essayé dans le domaine du live action, et c'est excellent.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
Newsday
par Verne Gay
Jessica Jones est une réussite sur plusieurs tableaux, et surtout celui qui compte le plus : Krysten Ritter pourrait bien être le choix de casting le plus malin de la saison, et même des dernières saisons, car elle habite totalement le personnage multidimesionnel qu'est Jones.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Los Angeles Times
par Mary McNamara
C'est la super-humanité [de Jessica Jones], plus que ses super-pouvoirs, qui rend la série aussi captivante.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
La série est souvent filmée de façon plate et prévisible, ce qui ressemble à un choix fait dans le but de mettre l'accent sur l'émotion de l'ensemble et non son "look de comic book", mais qui aboutit à une série sans le moindre langage visuel... Le reste ne manque heureusement pas d'intérêt. De la performance totalement engagée de Krysten Ritter - le personnage aurait pu n'être que narquois mais elle ne donne jamais cette impulsion - aux (...) thèmes que Melissa Rosenberg tisse de façon si captivante dans son récit, Jessica Jones fonctionne.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
The A.V. Club
par Lisa Weidenfeld
La timidité de la série par rapport aux conséquences de ce que fait son méchant principal est décevante, surtout de la part d'une oeuvre qui adopte pleinement un point de vue féminin le reste du temps. Cependant, la lente mise en place de la confrontation entre Kilgrave et Jessica est nerveusement efficace et plane au-dessus de toutes les autres choses qu'elle fait (...) Il en résulte une série très sûre de sa voix et de son ton.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Variety
par Maureen Ryan
La série, qui se distingue par la performance de Krysten Ritter et la direction habile de la part de la productrice déléguée Melissa Rosenberg, n'est pas qu'une candidate pour le titre de meilleure oeuvre télévisuelle liée à Marvel ; le temps d'une scène merveilleusement bondée, elle se présente comme l'un des nouveaux drames les plus distinctifs de cette année.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Brain Damaged
par Marine Glinel
Krysten Ritter interprète ici un personnage très complexe, doué d’une certaine profondeur (…) l’actrice fait preuve d’une palette d’émotions impressionnantes dans son jeu.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
DailyMars
par Pierre-Alexandre Chouraqui
Krysten Ritter étreint l’écran avec une telle force, que l’on retiendra surtout sa prestation de femme tourmentée mais jamais abattue, portée avec maestria par une Melissa Rosenberg à son meilleur niveau.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Entertainment weekly
par Melissa Maerz
Pour être honnêtes, c'est plutôt bon pour une série Marvel (...) Krysten Ritter est un bon choix pour jouer Jessica, une super-héroïne devenue détective privée qui sent ses pouvoirs décliner suite à un tragique accident qui la laisse avec syndrome de stress post-traumatique (...) La plus grosse faiblesse de la série est la même que celle de Jessica : elle débute avec un potentiel extraordinaire puis, quelque part en cours de route, perd ce qui la rendait spéciale.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Le Monde
par Pierre Serisier
Un des paris dramatiques les plus passionnants et les plus réussis de [l']année: un personnage féminin comme il en existe peu (ou pas), une histoire personnelle d'une violence extrême [et] un quotidien qu'on pensait réservé aux dysfonctionnements masculins.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Héroïne brutale et hantée, Jessica Jones crève l’écran et met l’univers Marvel sens dessus dessous.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Romain Cheyron
Ecrite et showrunnée par Melissa Rosenberg, Jessica Jones est assurément la série Marvel la plus noire parmi toutes les adaptations télévisuelles de comics (…) Un pari définitivement réussi pour une série différente de ce qu'on peut voir chez les autres super-héros.
La critique complète est disponible sur le site Metro
New York Times
par Mike Hale
Il y a ici un délicat numéro d'équilibriste - croiser une série sur une détective lunatique avec, à la fois, un thriller d'action issu d'un comic book et un drame psychologique sur une femme en peril - mais Melissa Rosenberg prouve qu'elle est globalement à la hauteur de la tâche.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Paris Match
par Amandine Bourgoin
Krysten Ritter incarne à la perfection ce fascinant et attachant oiseau de nuit alcoolique qui se cache derrière sa veste à capuche, se bat dans les bars et qui n’aime pas forcément son prochain (…) La série serait encore plus aboutie avec un plus grand effort sur la mise en scène [mais] avec Jessica Jones, Netflix et Marvel confirment l’essai.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Philadelphia Daily News
par Ellen Gray
Intelligemment adaptée par Melissa Rosenberg, Jessica Jones ne requiert pas une licence d'histoire des comics.
La critique complète est disponible sur le site Philadelphia Daily News
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
La série n'est pas parfaite. Pour être honnête, elle traîne un peu et paraît répétitive, comme si [Melissa] Rosenberg étirait les choses pour accroître la tension du public. En fait, vous risquez de ressentir l'inverse de temps en temps, une envie de dire "allez, avance !" Mais continuer de suivre quand même.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Season One
par Christophe Brico
L’ambiance initiale est celle du polar noir (…) Mais très rapidement la série bifurque sur ce qu’elle est vraiment, un duel destructeur et pervers entre un chasseur et sa proie, les rôles pouvant s’inverser à plusieurs reprises (…) Tout est fait pour que l’on suive cette histoire comme un voyage en enfer.
La critique complète est disponible sur le site Season One
Slant Magazine
par Chris Cabin
La série est à ce jour l'une des adaptations Marvel les plus émotionnellement complexes et, par intermittences, lugubres, une espèce de mélodrame sur le combat pour la confiance en soi et la force personnelle à la suite d'un immense abus psychologique.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
Slate
par Jack Hamilton
C'est sombre, drôle, nerveux, effrayant, et il y a à peine une trace de capes ou de costumes au cours des sept premiers épisodes. La seconde chose qui saute aux yeux, c'est que c'est vraiment, vraiment bon.
La critique complète est disponible sur le site Slate
The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Jessica Jones possède une action convenable, et lorsqu'il est nécessaire de faire apparaître des super-pouvoirs, elle le fait de façon efficacement minimaliste (...) La tension de la série repose davantage sur les personnages. Plus encore que [Matt] Murdock dans Daredevil, Jessica Jones mène les débats dans une série qui porte son nom - et grâce à [Melissa] Rosenberg et [Krysten] Ritter, la première saison semble bien partie pour faire ce que l'on attend d'elle.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Télérama
par Pierre Langlais
Jessica Jones peut rapidement se lire comme une histoire sur les violences faites aux femmes et les troubles post-traumatiques (…) [La série] n'a ni l'intensité ni l'efficacité de Daredevil, dont la saison 1 tenait le parfait équilibre entre action pure et personnages attachants et riches. Elle n'en demeure pas moins une seconde preuve de la réussite de la collaboration entre Netflix et Marvel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Florian Descamps
La série repose avant tout sur les épaules de son interprète principale, Krysten Ritter. Ex-super-héroïne reconvertie en détective privée, elle campe un personnage fait de nuances (…) [Elle] impressionne, se révèle une actrice complète et compose un personnage unique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Philippe Guedj
Cette nouvelle série Marvel/Netflix brutalise la zone de confort des fans de justiciers masqués (…) Kilgrave est un “super vilain” bien plus anxiogène que l’habituelle clique de malfaisants costumés (…) Le revers de la médaille de ce refus des conventions du genre : un rythme très inégal et déstabilisant au fil d’un traitement plus horrifique que super héroïque, sur le fil du rasoir entre le récit noir atmosphérique et l’ennui poli.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Express
par Cécile Jandau
Jessica Jones colle à son héroïne bourrue : elle n’est pas là pour enfiler des perles, et les passages à l’action ne se font pas attendre. Certes, on y perd parfois en subtilité, mais jamais en efficacité.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Rolling Stone
par Jessica Saval
Plus (super) humaine que jamais, Jessica Jones donne une véritable leçon de féminisme à l'Univers Cinématographique Marvel en s'imposant comme un personnage fascinant de contradictions. A quand la suite ?
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
TV Guide
par Matt Roush
[La série] ressemble à un arc narratif sur-étendu de 13h qui voit [Jessica Jones] se confronter au méchant Kilgrave capable de contrôler les esprits. Moins aurait été un plus.
Hitfix
Jessica Jones ne ressemble en rien à ce que Marvel ou DC Comics a essayé dans le domaine du live action, et c'est excellent.
Newsday
Jessica Jones est une réussite sur plusieurs tableaux, et surtout celui qui compte le plus : Krysten Ritter pourrait bien être le choix de casting le plus malin de la saison, et même des dernières saisons, car elle habite totalement le personnage multidimesionnel qu'est Jones.
Los Angeles Times
C'est la super-humanité [de Jessica Jones], plus que ses super-pouvoirs, qui rend la série aussi captivante.
RogerEbert.com
La série est souvent filmée de façon plate et prévisible, ce qui ressemble à un choix fait dans le but de mettre l'accent sur l'émotion de l'ensemble et non son "look de comic book", mais qui aboutit à une série sans le moindre langage visuel... Le reste ne manque heureusement pas d'intérêt. De la performance totalement engagée de Krysten Ritter - le personnage aurait pu n'être que narquois mais elle ne donne jamais cette impulsion - aux (...) thèmes que Melissa Rosenberg tisse de façon si captivante dans son récit, Jessica Jones fonctionne.
The A.V. Club
La timidité de la série par rapport aux conséquences de ce que fait son méchant principal est décevante, surtout de la part d'une oeuvre qui adopte pleinement un point de vue féminin le reste du temps. Cependant, la lente mise en place de la confrontation entre Kilgrave et Jessica est nerveusement efficace et plane au-dessus de toutes les autres choses qu'elle fait (...) Il en résulte une série très sûre de sa voix et de son ton.
Variety
La série, qui se distingue par la performance de Krysten Ritter et la direction habile de la part de la productrice déléguée Melissa Rosenberg, n'est pas qu'une candidate pour le titre de meilleure oeuvre télévisuelle liée à Marvel ; le temps d'une scène merveilleusement bondée, elle se présente comme l'un des nouveaux drames les plus distinctifs de cette année.
Brain Damaged
Krysten Ritter interprète ici un personnage très complexe, doué d’une certaine profondeur (…) l’actrice fait preuve d’une palette d’émotions impressionnantes dans son jeu.
DailyMars
Krysten Ritter étreint l’écran avec une telle force, que l’on retiendra surtout sa prestation de femme tourmentée mais jamais abattue, portée avec maestria par une Melissa Rosenberg à son meilleur niveau.
Entertainment weekly
Pour être honnêtes, c'est plutôt bon pour une série Marvel (...) Krysten Ritter est un bon choix pour jouer Jessica, une super-héroïne devenue détective privée qui sent ses pouvoirs décliner suite à un tragique accident qui la laisse avec syndrome de stress post-traumatique (...) La plus grosse faiblesse de la série est la même que celle de Jessica : elle débute avec un potentiel extraordinaire puis, quelque part en cours de route, perd ce qui la rendait spéciale.
Le Monde
Un des paris dramatiques les plus passionnants et les plus réussis de [l']année: un personnage féminin comme il en existe peu (ou pas), une histoire personnelle d'une violence extrême [et] un quotidien qu'on pensait réservé aux dysfonctionnements masculins.
Les Inrockuptibles
Héroïne brutale et hantée, Jessica Jones crève l’écran et met l’univers Marvel sens dessus dessous.
Metro
Ecrite et showrunnée par Melissa Rosenberg, Jessica Jones est assurément la série Marvel la plus noire parmi toutes les adaptations télévisuelles de comics (…) Un pari définitivement réussi pour une série différente de ce qu'on peut voir chez les autres super-héros.
New York Times
Il y a ici un délicat numéro d'équilibriste - croiser une série sur une détective lunatique avec, à la fois, un thriller d'action issu d'un comic book et un drame psychologique sur une femme en peril - mais Melissa Rosenberg prouve qu'elle est globalement à la hauteur de la tâche.
Paris Match
Krysten Ritter incarne à la perfection ce fascinant et attachant oiseau de nuit alcoolique qui se cache derrière sa veste à capuche, se bat dans les bars et qui n’aime pas forcément son prochain (…) La série serait encore plus aboutie avec un plus grand effort sur la mise en scène [mais] avec Jessica Jones, Netflix et Marvel confirment l’essai.
Philadelphia Daily News
Intelligemment adaptée par Melissa Rosenberg, Jessica Jones ne requiert pas une licence d'histoire des comics.
San Francisco Chronicle
La série n'est pas parfaite. Pour être honnête, elle traîne un peu et paraît répétitive, comme si [Melissa] Rosenberg étirait les choses pour accroître la tension du public. En fait, vous risquez de ressentir l'inverse de temps en temps, une envie de dire "allez, avance !" Mais continuer de suivre quand même.
Season One
L’ambiance initiale est celle du polar noir (…) Mais très rapidement la série bifurque sur ce qu’elle est vraiment, un duel destructeur et pervers entre un chasseur et sa proie, les rôles pouvant s’inverser à plusieurs reprises (…) Tout est fait pour que l’on suive cette histoire comme un voyage en enfer.
Slant Magazine
La série est à ce jour l'une des adaptations Marvel les plus émotionnellement complexes et, par intermittences, lugubres, une espèce de mélodrame sur le combat pour la confiance en soi et la force personnelle à la suite d'un immense abus psychologique.
Slate
C'est sombre, drôle, nerveux, effrayant, et il y a à peine une trace de capes ou de costumes au cours des sept premiers épisodes. La seconde chose qui saute aux yeux, c'est que c'est vraiment, vraiment bon.
The Hollywood Reporter
Jessica Jones possède une action convenable, et lorsqu'il est nécessaire de faire apparaître des super-pouvoirs, elle le fait de façon efficacement minimaliste (...) La tension de la série repose davantage sur les personnages. Plus encore que [Matt] Murdock dans Daredevil, Jessica Jones mène les débats dans une série qui porte son nom - et grâce à [Melissa] Rosenberg et [Krysten] Ritter, la première saison semble bien partie pour faire ce que l'on attend d'elle.
Télérama
Jessica Jones peut rapidement se lire comme une histoire sur les violences faites aux femmes et les troubles post-traumatiques (…) [La série] n'a ni l'intensité ni l'efficacité de Daredevil, dont la saison 1 tenait le parfait équilibre entre action pure et personnages attachants et riches. Elle n'en demeure pas moins une seconde preuve de la réussite de la collaboration entre Netflix et Marvel.
Ecran Large
La série repose avant tout sur les épaules de son interprète principale, Krysten Ritter. Ex-super-héroïne reconvertie en détective privée, elle campe un personnage fait de nuances (…) [Elle] impressionne, se révèle une actrice complète et compose un personnage unique.
GQ
Cette nouvelle série Marvel/Netflix brutalise la zone de confort des fans de justiciers masqués (…) Kilgrave est un “super vilain” bien plus anxiogène que l’habituelle clique de malfaisants costumés (…) Le revers de la médaille de ce refus des conventions du genre : un rythme très inégal et déstabilisant au fil d’un traitement plus horrifique que super héroïque, sur le fil du rasoir entre le récit noir atmosphérique et l’ennui poli.
L'Express
Jessica Jones colle à son héroïne bourrue : elle n’est pas là pour enfiler des perles, et les passages à l’action ne se font pas attendre. Certes, on y perd parfois en subtilité, mais jamais en efficacité.
Rolling Stone
Plus (super) humaine que jamais, Jessica Jones donne une véritable leçon de féminisme à l'Univers Cinématographique Marvel en s'imposant comme un personnage fascinant de contradictions. A quand la suite ?
TV Guide
[La série] ressemble à un arc narratif sur-étendu de 13h qui voit [Jessica Jones] se confronter au méchant Kilgrave capable de contrôler les esprits. Moins aurait été un plus.