Saving Hope : au-delà de la médecine : Critiques de la presse
Saving Hope : au-delà de la médecine
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,4
7 titres de presse
Newsday
Chicago Sun-Times
Entertainment weekly
Hitfix
New York Times
Philadelphia Inquirer
TV Guide
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Newsday
Les séries estivales comme Saving Hope n'ont généralement qu'un seul but. Tenir la baraque. Jusqu'à ce que les shows les plus importants, les plus jolis, les plus chers et les plus médiatiques reviennent à l'automne. C'est aussi simple que cela. Mais il arrive parfois qu'une série - généralement venue de chez nos voisins du Nord [ndlr : le Canada] - débarque avec des intentions plus nobles. A l'image de shows comme Rookie Blue et Flashpoint, Saving Hope repose sur des bases solides, aussi connues qu'éprouvées ; dans le cas de Hope, l'univers du drama médical avec ses histoires prévisibles assaisonnées d'une pointe de soap et de sexe. Il n'en demeure pas moins que la série a quelque chose en plus, un twist qui est presque une réussite. Les images d'Harris [ndlr: interprété par Michael Shanks] errant dans les couloirs dans son smoking et une cravate dénouée sont absurdes, mais sa "Meredith Grey" dégage sufisamment de pathos et d'empathie pour faire oublier ce défaut. Au final Saving Hope est une série sobre, intelligente, au rythme paisible, comme les Canadiens savent si bien les faire. Et la série est bien meilleure que NBC semble le penser.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Chicago Sun-Times
Ce n'est bien évidemment une surprise si la nouvelle série médicale de NBC est généreusement pourvue en sentimentalisme et contient son habituel lot de cas médicaux toujours compliqués à diagnostiquer, ses scènes de crash survitaminées et sa musique ultraprésente. Et les docteurs sont bien évidemment aussi brillants que beaux... et émoustillés (...) Ce mélange de Ghost / A Gifted Man / Grey's Anatomy est réjouissant, intelligent et palpitant, malheureusement le tout est handicapé par un montage poussif et trop de scénarios sont systématiquement fondés sur l'importance de conserver l'espoir, envers et contre tout.
La critique complète est disponible sur le site Chicago Sun-Times
Entertainment weekly
Saving Hope est une sorte de croisement entre Grey's Anatomy et Ghost ; une série médicale fantastique avec un fort accent de soap (...) Le personnage interprété par Michael Shanks finit dans le coma, et même s'il n'est pas mort, son fantôme erre malgré tout dans les couloirs de l'hôpital, croisant les patients à peine décédés, songeant au sens de la vie tandis que les médecins tentent de surnager au milieu des habituelles sous-intrigues médicales.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Hitfix
Mixer Ghost et Grey's Anatomy était une solution ingénieuse pour raconter autrement des histoires vues par ailleurs des millions de fois. Mais le faire comme dans Saving Hopee provoque plus de dégâts qu'autre chose, parce que cela oblige à mettre sur la touche le comédien le plus brillant, le laissant errer sans but dans les couloirs, récitant des platitudes comme "J'ai parcouru ces couloirs des milliers de fois. Je pensais les connaître. Nous finissons tous ici de toute façon. Nous arrivons malades, cassés... et parfois nous en sortons plus forts.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
New York Times
Généralement les productions d'une ampleur similaire ne font pas dans le superflu au niveau de la narration et sont souvent marquées par un certain manque d'ambition. Ce n'est pas exactement le cas de Saving Hope qui n'en manque pas (...) Ces scènes médicales sont réussies mais oubliables, celles montrant les pérégrinations de Charlie sont parfois intéressantes et drôles mais rares. Les scénaristes sont conscients d'être face à la jurisprudence "Life on Mars" - si le personnage se réveille ou meurt, la série est finie - et c'est peut-être pour cela qu'ils essaient d'effeuiller l'histoire de Charlie aussi délicatement et doucement que possible. La série utilise par ailleurs un drôle d'effet visuel: les lumières qui jalonnent les couloirs de l'hôpital - au plafond, au-dessus des tables d'opération ou sur les moniteurs - se tounent régulièrement vers l'écran, comme s'il s'agissait de signes ou de messages de Charlie, donc n'essayez pas de régler votre téléviseur. C'est la métaphore filée qui est floue.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Philadelphia Inquirer
Saving Hope bénéficie d'une interprétation générale de qualité, et plus particulièrement d'Erica Durance. La dimension émotionnelle est peut-être un peu exagérée tandis que dans le même temps la portée spirrituelle est sans doute bâclée. Mais pour un programme de divertissement saisonnier, la série remplit bien son rôle.
La critique complète est disponible sur le site Philadelphia Inquirer
TV Guide
Un nouveau mélange indigeste entre "médical" et "spiritualité" (...) Vous ne pouvez rien reprocher aux comédiens, que ce soit Daniel Gillies (Elija) ou Erica Durance, ou leur en vouloir d'être aussi beaux. C'est juste que ce qu'ils ont à faire est irrécupérable.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
Newsday
Les séries estivales comme Saving Hope n'ont généralement qu'un seul but. Tenir la baraque. Jusqu'à ce que les shows les plus importants, les plus jolis, les plus chers et les plus médiatiques reviennent à l'automne. C'est aussi simple que cela. Mais il arrive parfois qu'une série - généralement venue de chez nos voisins du Nord [ndlr : le Canada] - débarque avec des intentions plus nobles. A l'image de shows comme Rookie Blue et Flashpoint, Saving Hope repose sur des bases solides, aussi connues qu'éprouvées ; dans le cas de Hope, l'univers du drama médical avec ses histoires prévisibles assaisonnées d'une pointe de soap et de sexe. Il n'en demeure pas moins que la série a quelque chose en plus, un twist qui est presque une réussite. Les images d'Harris [ndlr: interprété par Michael Shanks] errant dans les couloirs dans son smoking et une cravate dénouée sont absurdes, mais sa "Meredith Grey" dégage sufisamment de pathos et d'empathie pour faire oublier ce défaut. Au final Saving Hope est une série sobre, intelligente, au rythme paisible, comme les Canadiens savent si bien les faire. Et la série est bien meilleure que NBC semble le penser.
Chicago Sun-Times
Ce n'est bien évidemment une surprise si la nouvelle série médicale de NBC est généreusement pourvue en sentimentalisme et contient son habituel lot de cas médicaux toujours compliqués à diagnostiquer, ses scènes de crash survitaminées et sa musique ultraprésente. Et les docteurs sont bien évidemment aussi brillants que beaux... et émoustillés (...) Ce mélange de Ghost / A Gifted Man / Grey's Anatomy est réjouissant, intelligent et palpitant, malheureusement le tout est handicapé par un montage poussif et trop de scénarios sont systématiquement fondés sur l'importance de conserver l'espoir, envers et contre tout.
Entertainment weekly
Saving Hope est une sorte de croisement entre Grey's Anatomy et Ghost ; une série médicale fantastique avec un fort accent de soap (...) Le personnage interprété par Michael Shanks finit dans le coma, et même s'il n'est pas mort, son fantôme erre malgré tout dans les couloirs de l'hôpital, croisant les patients à peine décédés, songeant au sens de la vie tandis que les médecins tentent de surnager au milieu des habituelles sous-intrigues médicales.
Hitfix
Mixer Ghost et Grey's Anatomy était une solution ingénieuse pour raconter autrement des histoires vues par ailleurs des millions de fois. Mais le faire comme dans Saving Hopee provoque plus de dégâts qu'autre chose, parce que cela oblige à mettre sur la touche le comédien le plus brillant, le laissant errer sans but dans les couloirs, récitant des platitudes comme "J'ai parcouru ces couloirs des milliers de fois. Je pensais les connaître. Nous finissons tous ici de toute façon. Nous arrivons malades, cassés... et parfois nous en sortons plus forts.
New York Times
Généralement les productions d'une ampleur similaire ne font pas dans le superflu au niveau de la narration et sont souvent marquées par un certain manque d'ambition. Ce n'est pas exactement le cas de Saving Hope qui n'en manque pas (...) Ces scènes médicales sont réussies mais oubliables, celles montrant les pérégrinations de Charlie sont parfois intéressantes et drôles mais rares. Les scénaristes sont conscients d'être face à la jurisprudence "Life on Mars" - si le personnage se réveille ou meurt, la série est finie - et c'est peut-être pour cela qu'ils essaient d'effeuiller l'histoire de Charlie aussi délicatement et doucement que possible. La série utilise par ailleurs un drôle d'effet visuel: les lumières qui jalonnent les couloirs de l'hôpital - au plafond, au-dessus des tables d'opération ou sur les moniteurs - se tounent régulièrement vers l'écran, comme s'il s'agissait de signes ou de messages de Charlie, donc n'essayez pas de régler votre téléviseur. C'est la métaphore filée qui est floue.
Philadelphia Inquirer
Saving Hope bénéficie d'une interprétation générale de qualité, et plus particulièrement d'Erica Durance. La dimension émotionnelle est peut-être un peu exagérée tandis que dans le même temps la portée spirrituelle est sans doute bâclée. Mais pour un programme de divertissement saisonnier, la série remplit bien son rôle.
TV Guide
Un nouveau mélange indigeste entre "médical" et "spiritualité" (...) Vous ne pouvez rien reprocher aux comédiens, que ce soit Daniel Gillies (Elija) ou Erica Durance, ou leur en vouloir d'être aussi beaux. C'est juste que ce qu'ils ont à faire est irrécupérable.