Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Boston Globe
par Michael Andor Brodeur
Bien que les 4 premiers épisodes présentés à la presse offrent juste assez de repères pour nous faire comprendre que les repères ne servent pas à grand-chose dans American Gods, on peut déjà s'aventurer à dire, même après si peu d'épisodes, que la série est l'une des tentatives les plus imaginatives, aventureuses, et profondément étranges vues à la télévision. Une mêlée métaphorique hallucinante et enchanteresse qui élève une exploration de l'identité américaine à un niveau surnaturel.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
Entertainment weekly
par Jeff Jensen
Certaines personnes attendent probablement un rythme plus soutenu et ne vont pas tarder à dire "Hey, Choc des titans post-moderne, il serait temps de passer à la phase de choc". Mais, personnellement, j'étais absorbé en permanence. Les personnages, le concept, et la réalisation profondément pensée ont captivé mon imagination.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
We Got This Covered
par Jon Negroni
American Gods parvient à assembler un mélange unique d'idées et de séquences d'action stylisées au possible qui devraient convertir même les plus difficiles à convaincre.
La critique complète est disponible sur le site We Got This Covered
Brain Damaged
par Asma El Mardi
American Gods est sans conteste la digne héritière de Hannibal, puisqu’on retrouve dans ce pilote des plans stylisés, des scènes de combats assez épiques, et des images de rêves d’une esthétique inégalée.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
DailyMars
par Deborah Gay
Le premier épisode est un feu d’artifice, de couleurs, mais aussi de rapidité, peut-être un peu trop. Il est inégal, en comparaison des trois épisodes suivants (…) Il faut vite poser le cadre, avant de se lancer sur la route en compagnie de Shadow Moon (Ricky Whittle), un voleur tout juste sorti de prison, et de Voyageur (Ian McShane).
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Newsday
par Verne Gay
L'esprit du best-seller de Gaiman a bien été retranscrit, mais pas encore sa vision.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
Comme avec Sense8, vous êtes obligé de laisser de côté votre scepticisme, pas à cause d'un récit convaincant, mais à cause d'un rendu visuel hypnotique. Auquel s'ajoute, ici, des prestations d'acteurs impressionnantes.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Télérama
par Pierre Langlais
Il faut adhérer aux excès de la mise en scène hyper travaillée de David Slade (déjà à l'œuvre sur Hannibal), embrasser la lenteur et les digressions de son récit halluciné. On est touché par la dérive quasi suicidaire d'Ombre, intrigué par l'étrangeté de Voyageur, amusé par ses 'amis' hauts en couleur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
USA Today
par Robert Bianco
Le rôle de Ricky Whittle semble un peu sous-écrit durant la première moitié de la saison, mais Shadow Moon est un héros séduisant et auquel on s'attache. (…) Et Ian McShane est un vrai plaisir à écouter, lorsqu'il s'attaque à ses dialogues avec la même énergie et le même talent que dans Deadwood. Ensemble, ils nous emmènent dans un road trip sans destination et sans but précis en vue. Mais le décor est bluffant et nous sommes en bonne compagnie. Et pour les fans du livre ou du travail de Bryan Fuller, cela devrait être suffisant.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Variety
par Sonia Saraiya
American Gods est une série belle et tentaculaire qui se révèle fascinante, brillamment exécutée, mais aussi difficile à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Colorado Springs Gazette
par Terry Terrones
Bien que pas dépourvu de défauts, ce que j'ai vu jusqu'à présent de la série a assez éveillé ma curiosité pour que j'ai envie de voir jusqu'où mène ce terrier de lapin.
La critique complète est disponible sur le site Colorado Springs Gazette
Critictoo
par Thomas
Les allergiques au maniérisme de la mise en scène vont rapidement avoir la nausée, la surenchère visuelle n’étant visiblement pas une limite pour Bryan Fuller. Les autres, prêts à s’embarquer dans une aventure bigger than life, devraient en prendre pour leurs mirettes et leurs méninges dans un show surchargé en mythologie, ésotérisme et créatures d’un autre monde.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
20 Minutes
par Anne Demoulin
Cauchemar pour certains, rêve pour d’autres, la surenchère visuelle et le maniérisme de la mise en scène de ces deux-là ne semble pas avoir de limites : tons saturés, hectolitres de sang filmés au ralenti, abondance des effets spéciaux (…) les moments où l’humour noir l’emporte avec des dialogues ciselés à l’acide sont jubilatoires.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
TV Guide
par Matt Roush
Une adaptation visuellement spectaculaire mais assez lourde dans ses premiers épisodes.
Washington Post
par Hank Stuever
Longs à se mettre en place et assez faibles en terme de montée en puissance, chacun des épisodes d'American Gods ressemble à un pilote d'une série différente, puis d'une autre, et d'encore une autre.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Le Monde
par Pierre Serisier
Sous le vernis brillant et superbe de la réalisation, le fond de l’histoire se révèle quand même un peu pauvre et surtout déjà vu. A se demander même si le 'bizarre' érigé en normalité ne constitue pas un maigre cache-misère pour un récit sans grande originalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
L’adaptation du roman de Neil Gaiman arrive avec ses gros sabots. Pour les fans.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Boston Globe
Bien que les 4 premiers épisodes présentés à la presse offrent juste assez de repères pour nous faire comprendre que les repères ne servent pas à grand-chose dans American Gods, on peut déjà s'aventurer à dire, même après si peu d'épisodes, que la série est l'une des tentatives les plus imaginatives, aventureuses, et profondément étranges vues à la télévision. Une mêlée métaphorique hallucinante et enchanteresse qui élève une exploration de l'identité américaine à un niveau surnaturel.
Entertainment weekly
Certaines personnes attendent probablement un rythme plus soutenu et ne vont pas tarder à dire "Hey, Choc des titans post-moderne, il serait temps de passer à la phase de choc". Mais, personnellement, j'étais absorbé en permanence. Les personnages, le concept, et la réalisation profondément pensée ont captivé mon imagination.
We Got This Covered
American Gods parvient à assembler un mélange unique d'idées et de séquences d'action stylisées au possible qui devraient convertir même les plus difficiles à convaincre.
Brain Damaged
American Gods est sans conteste la digne héritière de Hannibal, puisqu’on retrouve dans ce pilote des plans stylisés, des scènes de combats assez épiques, et des images de rêves d’une esthétique inégalée.
DailyMars
Le premier épisode est un feu d’artifice, de couleurs, mais aussi de rapidité, peut-être un peu trop. Il est inégal, en comparaison des trois épisodes suivants (…) Il faut vite poser le cadre, avant de se lancer sur la route en compagnie de Shadow Moon (Ricky Whittle), un voleur tout juste sorti de prison, et de Voyageur (Ian McShane).
Newsday
L'esprit du best-seller de Gaiman a bien été retranscrit, mais pas encore sa vision.
San Francisco Chronicle
Comme avec Sense8, vous êtes obligé de laisser de côté votre scepticisme, pas à cause d'un récit convaincant, mais à cause d'un rendu visuel hypnotique. Auquel s'ajoute, ici, des prestations d'acteurs impressionnantes.
Télérama
Il faut adhérer aux excès de la mise en scène hyper travaillée de David Slade (déjà à l'œuvre sur Hannibal), embrasser la lenteur et les digressions de son récit halluciné. On est touché par la dérive quasi suicidaire d'Ombre, intrigué par l'étrangeté de Voyageur, amusé par ses 'amis' hauts en couleur.
USA Today
Le rôle de Ricky Whittle semble un peu sous-écrit durant la première moitié de la saison, mais Shadow Moon est un héros séduisant et auquel on s'attache. (…) Et Ian McShane est un vrai plaisir à écouter, lorsqu'il s'attaque à ses dialogues avec la même énergie et le même talent que dans Deadwood. Ensemble, ils nous emmènent dans un road trip sans destination et sans but précis en vue. Mais le décor est bluffant et nous sommes en bonne compagnie. Et pour les fans du livre ou du travail de Bryan Fuller, cela devrait être suffisant.
Variety
American Gods est une série belle et tentaculaire qui se révèle fascinante, brillamment exécutée, mais aussi difficile à suivre.
Colorado Springs Gazette
Bien que pas dépourvu de défauts, ce que j'ai vu jusqu'à présent de la série a assez éveillé ma curiosité pour que j'ai envie de voir jusqu'où mène ce terrier de lapin.
Critictoo
Les allergiques au maniérisme de la mise en scène vont rapidement avoir la nausée, la surenchère visuelle n’étant visiblement pas une limite pour Bryan Fuller. Les autres, prêts à s’embarquer dans une aventure bigger than life, devraient en prendre pour leurs mirettes et leurs méninges dans un show surchargé en mythologie, ésotérisme et créatures d’un autre monde.
20 Minutes
Cauchemar pour certains, rêve pour d’autres, la surenchère visuelle et le maniérisme de la mise en scène de ces deux-là ne semble pas avoir de limites : tons saturés, hectolitres de sang filmés au ralenti, abondance des effets spéciaux (…) les moments où l’humour noir l’emporte avec des dialogues ciselés à l’acide sont jubilatoires.
TV Guide
Une adaptation visuellement spectaculaire mais assez lourde dans ses premiers épisodes.
Washington Post
Longs à se mettre en place et assez faibles en terme de montée en puissance, chacun des épisodes d'American Gods ressemble à un pilote d'une série différente, puis d'une autre, et d'encore une autre.
Le Monde
Sous le vernis brillant et superbe de la réalisation, le fond de l’histoire se révèle quand même un peu pauvre et surtout déjà vu. A se demander même si le 'bizarre' érigé en normalité ne constitue pas un maigre cache-misère pour un récit sans grande originalité.
Les Inrockuptibles
L’adaptation du roman de Neil Gaiman arrive avec ses gros sabots. Pour les fans.