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Un visiteur
4,5
Publiée le 6 février 2018
Je commence tout juste la première saison et apprécie beaucoup l'humour et l'originalité que représente deux personnages féminins construits !! Je laisse ce commentaire après avoir visionné l'épisode 8 dans lequel, il me semble, se trouve une référence à Samuel Beckett et si tel était bien l'intention alors comment se fait il que je ne découvre que maintenant et surtout je vais adorer cette série !! (je met une note emballé par cette référence littéraire en esperant en retrouver)
Des décors cheaps qu'on pourrait penser, s'il n'y avait pas quelques références à Internet et à la Crise économique, tout droit sortis d'un sitcom des années 90, et une réalisation pauvre qui se contente de filmer platement le tout. Mais voilà, voir des personnages caricaturaux mais hauts en couleur comme un patron coréen trop petit pour être jockey essayer désespérément d'être branché à l'américaine et d'affirmer son hétérosexualité, un cuistot russe obsédé qui ne manque jamais une occasion de balancer des répliques salaces, une blonde plus futée qu'elle n'y paraît ancienne fille de milliardaire qui a brutalement dégringolé l'échelle sociale parce que papa est en taule pour avoir escroqué des gens à la sauce Madoff (et qui en plus a des jambes exquises surtout quand elle porte ce short beige, ouah...!!!), et une brune débrouillarde venant d'un milieu pour le moins très modeste et surtout très inconnu qui balance à la vitesse de l'éclair des punchlines trash et d'une absence de politiquement correct jouissive, est un pur plaisir dont j'ai aucune envie de me priver.
Je me méfie des sitcoms, mais 2 Broke Girls passe l'examen haut la main. Le duo fonctionne à merveille, le montage est énergique, les dialogues sont ciselés et truffés de jeux de mots coquins. Résultat : on s'attache, on rit. C'est gagné.
Caroline (Beth Behrs) est une fille à papa qui se retrouve serveuse dans un restaurant après avoir perdu toute son héritage du jour au lendemain. Elle va alors croiser le chemin de sa nouvelle collègue Max (Kat Dennings) qui contrairement à la première a toujours vécu avec le minimum. Leurs différences ne s’arrêtent évidemment pas là puisque leurs caractères respectifs sont totalement opposés. Ainsi, même si son personnage est assez niais Caroline n’en reste pas moins optimiste et affective contrairement au tempérament aigri et moqueur de son amie. L’atout majeur de ces personnages est également l’alchimie dont font les deux actrices dans leur relation. Malgré les impressions que la série pourrait donner son but n’est pas de tomber dans une comédie traditionnelle mais bien de traiter ces différences avec un humour gras et plus moderne. Elle joue également et de manière savoureuse sur tous les clichés liés au groupe ethnique et au milieu social de ces personnages. Les rôles secondaires, bien que peu nombreux, sont d’ailleurs hilarants par cette manière de gentiment se moquer de leurs différences. Ils apportent dès lors autant d’humour à la série que les deux comédiennes principales. La mise en scène est quant à elle intéressante puisqu’elle est construite selon le schéma suivant : à chaque fin d’épisode l’argent de nos héroïnes est comptabilisé dans l’espoir d’atteindre 250 000 $ et ainsi se lancer dans la vente de cupcake à grand échelle. Elles vont donc tout mettre en œuvre, via des plans délicieusement tordus pour arriver à leurs fins et ainsi réaliser leur rêve. Michael Patrick King à qui l’on doit la célèbre série « Sex and the city » nous offre une sitcom légère et délirante qui transcende les codes liés à son casting.
Enfin ! Moi qui cherchais une bonne série après avoir subi toutes les nouvelles daubes qui ne seront pas renouvellées, j'ai découvert 2 Broke Girls. Les deux personnages sont extrèmement bien travaillés et tous les personnages sont attachants. L'humour, basé sur le salace et le sarcasme, est souvent au niveau, tout comme les acteurs. Le seul reproche que je fais à la série est son manque de progression. A ce rythme là, ils sont partis pour une vingtaine de saisons, si ce n'est plus, donc elles ont intérêt à gagner au loto. En tout cas, 24 épisodes pour gagner si peu d'argent, c'est franchement décevant. 3,5/5
Caroline (Beth Behrs) est une fille à papa qui se retrouve serveuse dans un restaurant après avoir perdu toute son héritage du jour au lendemain. Elle va alors croiser le chemin de sa nouvelle collègue Max (Kat Dennings) qui contrairement à la première a toujours vécu avec le minimum. Leurs différences ne s’arrêtent évidemment pas là puisque leurs caractères respectifs sont totalement opposés. Ainsi, même si son personnage est assez niais Caroline n’en reste pas moins optimiste et affective contrairement au tempérament aigri et moqueur de son amie. L’atout majeur de ces personnages est également l’alchimie dont font preuve les deux actrices dans leur relation. Malgré les impressions que la série pourrait donner son but n’est pas de tomber dans une comédie traditionnelle mais bien de traiter ces différences avec un humour gras et plus moderne. Elle joue également et de manière savoureuse sur tous les clichés liés au groupe ethnique et au milieu social de ces personnages. Les rôles secondaires, bien que peu nombreux, sont d’ailleurs hilarants par cette manière de gentiment se moquer de leurs différences. Ils apportent dès lors autant d’humour à la série que les deux comédiennes principales. La mise en scène est quant à elle intéressante puisqu’elle est construite selon le schéma suivant : à chaque fin d’épisode l’argent de nos héroïnes est comptabilisé dans l’espoir d’atteindre 250 000 $ et ainsi se lancer dans la vente de cupcake à grand échelle. Elles vont donc tout mettre en œuvre, via des plans délicieusement tordus pour arriver à leurs fins et ainsi réaliser leur rêve. >> Michael Patrick King à qui l’on doit la célèbre série « Sex and the city » nous offre donc une sitcom légère et délirante qui transcende les codes liés à son casting.