Toutes les critiques de L'Obs
poster du film La Ligne rouge

La Ligne rouge

Titre original The Thin Red Line
L'Obs
4,0
Même si le panthéisme à haute dose et la mièvrerie des flash-back américains sont susceptibles de lasser, " la Ligne rouge " est un film atypique, d'un lyrisme inspiré.
poster du film La Ligne rouge

La Ligne rouge

Titre original The Thin Red Line
L'Obs
4,0
La Ligne Rouge avait tout pour être un film de guerre conventionnel : c'est devenu une méditation, peut-être une prière.
poster du film Les Héros
L'Obs
4,0
Du cinéma en liberté, du moins en apparence, car le film se révèle in fine pensé, construit et mis en scène avec beaucoup d'intelligence et de sérieux.
poster du film Karnaval
L'Obs
4,0
(...) le film ne juge pas (tant mieux), ne cherche pas à comprendre davantage (c'est un peu dommage), il donne à voir. Et cela, Thomas Vincent le fait très bien (...)
poster du film Le Point de non-retour

Le Point de non-retour

Titre original Point Blank
L'Obs
4,0
(...) Lee Marvin, époustouflant en gangster dépouillé par ses propres complices. Angie Dickinson est à son sommet, les scènes d'action sont éblouissantes, magistralement mises en scène par John Boorman (son deuxième film et son premier succès).
poster du film Charbons ardents
L'Obs
4,0
Il y a là des portraits extraordinaires, un souffle, un désir de comprendre et de montrer qui captivent et soulèvent.
poster du film Un Specialiste, portrait d'un criminel ordinaire
L'Obs
4,0
Si l'on considère que le mal ne peut être combattu qu'en tentant d'en extirper les racines, Un Spécialiste est sur la grande tragédie de l'époque moderne une oeuvre essentielle.
poster du film En Vacances
L'Obs
4,0
(...) un film rythmé et subtil que porte la justesse du jeu des interprètes.
poster du film La Fille sur le Pont
L'Obs
4,0
Le film se perd (...) un peu, comme ces histoires qui sont si fortes, si bien racontées, que la chute déçoit, qui vous réinstalle brutalement en terrain connu.
poster du film La Fille sur le Pont
L'Obs
4,0
Le noir et blanc sied à Vanessa Paradis et à Daniel Auteuil. Il contribue à donner à cette « Fille sur le pont » une soyance, une brillance, un charme fou.
poster du film La Cosa
L'Obs
4,0
C'est simple, c'est passionnant.
poster du film Juha
L'Obs
4,0
(...) la grandeur et la beauté du film sont (...) dans l'humour avec lequel Kaurismäki joue des principes qu'il s'est imposés, de l'art qu'il met à jouer avec l'attente du spectateur (...) .
poster du film Le Labyrinthe des reves

Le Labyrinthe des reves

Titre original Yume no ginga
L'Obs
4,0
Par sa mise en scène minutieuse, son noir et blanc contrasté et sa facture rigoureuse, ce film intemporel s'inscrit dans la plus pure tradition du cinéma classique japonais. Une lumineuse curiosité à découvrir.
poster du film Center Stage

Center Stage

Titre original Ruan Ling Yu
L'Obs
4,0
Effets miroir, nostalgie, regard sur le siècle du cinéma, « Center Stage » est un beau film.
poster du film La Vierge des tueurs

La Vierge des tueurs

Titre original La Virgen de los Sicarios
L'Obs
4,0
"La Vierge des tueurs" se révèle (...) un film très surprenant, et très fort.
poster du film Cure

Cure

Titre original Kyua
L'Obs
4,0
Un cinéma très pur, fait de lumière et de silence, qui installe un rythme singulier et des figures étranges, crée une atmosphère prenante, proche de l'envoûtement.
poster du film Buena Vista Social Club
L'Obs
4,0
De Berlin à Lisbonne, on sait que Wim Wenders sait filmer les villes. Il a su regarder La Havane. Il a surtout réussi à trouver la bonne distance avec ses « personnages » - tous crèvent l'écran de manière incroyable (...)
poster du film Pola X
L'Obs
4,0
Le cinéma de Pola X est imparfait, parce qu'il est risqué, au bord du gouffre, vivant.
poster du film H H H, portrait de Hou Hsiao-Hsien
L'Obs
4,0
(...) Assayas joue avec humilité le rôle de metteur en lumière d'un réalisateur qu'il contribua amplement à faire découvrir alors qu'il était encore critique aux « Cahiers ». Passionnant.
poster du film Le Temps retrouvé, d'après l'oeuvre de Marcel Proust
L'Obs
4,0
Evitant le plus souvent l'écueil du procédé pléonastique, Raoul Ruiz a réussi l'essentiel : reproduire, tout en restant lui-même, c'est-à-dire un cinéaste du baroque, l'univers proustien (...).