Pour ceux qui recherchent un drame historique qui semble concentré et bien ficelé, cette série risque de les décevoir. Mais pour les téléspectateurs qui n'ont rien contre une série tentaculaire, étrange et unique, avec une forte dose de science et d'intelligence de l'ère victorienne, The Essex Serpent est à la hauteur.
Drôlement mordante, elle fait écho aux éléments satiriques de Desperate Housewives, sans le souci d'un trop grand nombre de personnages et de sous-intrigues à gérer en parallèle.
Certaines intrigues secondaires auraient pu être évitées, mais dans l'ensemble la distribution semble passer un bon moment à se retrouver, ainsi qu'à retrouver leurs personnages, ou plutôt la version exagérée de ce qu'ils sont.
Beckinsale apporte une férocité élégante au personnage de Georgia (...) The Widow, habilement écrit par Harry et Jack Williams, distribue le strict minimum en matière d'indices.
Whiskey Cavalier utilise des termes comme "scan rétinien" dans ses intrigues afin de donner l'impression de remettre au goût du jour les dialogues d'espionnage, mais ne vous y trompez pas : vous avez déjà vu cette série une douzaine de fois !
Si les crimes dans New York Police Judiciaire faisaient secouer la tête des flics qui menaient l'enquête et des avocats qui faisaient respecter la loi, les crimes sexuels de New York Unité Spéciale donnent mal au vendre des enquêteurs... et des téléspectateurs.
La majeure partie de la narration est relayée par les monologues internes de Joe (une autre forme de harcèlement), mais on dira ceci : la série, tout en étant risible et prévisible, reste également regardable.
Les fans de Nathan Fillion vont être heureux de retrouver leur héros à la télé; mais pour tous les autres, The Rookie donne la sensation d'un déjà vu complet.
Charmed ne nous impressionne pas aussi souvent que ne le fait Buffy, mais la série va clairement dans la bonne direction. Et elle montre bien plus de potentiel à l'épisode 1 que les autres soaps les plus connus d'Aaron Spelling.
New Amsterdam devrait satisfaire les fans du genre. C'est assez prévisible quelque part, avec une dose modérée de soap. Mais la solide performance de Ryan Eggold et une distribution secondaire intéressante permettent à la série de faire office de prescription acceptable.
L'écriture de [Beau] Willimon, son rythme et son sens du lieu, tellement évidents dans "House of Cards" (particulièrement dans les saisons 1 et 2) résonnent ici. Il est passé sans heurt d'un géant du streaming à un autre. Sautez dessus.
Vous allez avoir du mal à vous y intéresser (...) La grosse distribution de visages inconnus est bonne, mais ce qu'on leur donne à jouer ne provoque aucun enthousiasme tant c'est lisse et plat.You will struggle to care. ... The largely unknown cast is fine, but they’re working with such bland material that it’s hard to work up much enthusiasm. You will struggle to care. ... The largely unknown cast is fine, but they’re working with such bland material that it’s hard to work up much enthusiasm.
SEAL Team est dans l'esprit habituel des séries de CBS non feuilletonnantes : sans surprise, elle respecte les codes à la lettre, ce qui devrait suffire pour intéresser les téléspectateurs occasionnels. Cette formule facile ne surprend pas mais ne déçoit pas non plus.
[Zoe] Perry, qui est le portrait craché de sa mère, est absolument géniale dans le rôle de Mary Cooper... Bien entendu, le succès de l'entreprise repose sur les épaules de Iain Armitage. Il se révèle être un acteur habile.
C'est un très bon démarrage. (...) La mise en scène est excellente, elle crée une atmosphère inquiétante et les personnages, tour à tour, sont dans l'inconnu, sont terrifiés, héroïques, abasourdis ou en colère - la recette habituelle de King en matière d'horreur.
Feud nous offre le glamour et le sel du vieil Hollywood, ainsi que la joie de regarder Sarandon et Lange se battre dans leurs meilleurs rôles depuis des années. La distribution secondaire -Tucci, Molina, Davis- touche au sublime.