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Le pilote de Yellowstone, d'une durée de deux heures, est à la fois bavard et quelque peu prévisible car il présente les personnages, leurs relations et leurs conflits. Mais les épisodes suivants offrent plus de surprises et approfondissent ces personnages faisant de la série un divertissement estival captivant.
Tout est très téléphoné et les personnages sont prévisibles à souhait, et pour autant, la série n'arrive pas à expliquer clairement ce qui se passe dans cette Amérique alternative. L'aspect "sorcières" des jeunes héroïnes est presque mis au second plan, ce qui se révèle assez frustrant initialement.
Industry a peu de chance de plaire au plus grand nombre -ses personnages sont uniformément détestables - mais elle mérite le coup d'oeil pour les fans de dramas de niche intrigants.
Très proche de l'originale dans le ton, mais l'introduction est peu trop forcée (...) Les justifications de certains rebondissements sont douteuses et les dialogues souvent ridicules. C'est vraiment trop appuyé.
Le remake de Perry Mason signé HBO rassemble plusieurs super éléments, à commencer par le casting et les décors d'époque, mais il faut cinq épisodes pour en arriver au drame judiciaire que les téléspectateurs familiers du personnage connaissent.
La série brille dès son premier épisode, offrant un drama porté par ses héroïnes à la fois rythmé et captivant, qui gagne en profondeur et qui dérange de plus en plus à mesure que l'histoire prend de l'ampleur.
Ce que Snowpiercer réussit le mieux dans ses premiers épisodes est l'élaboration de son univers. Mais sur le long terme, les différents wagons du train et leurs promesses - le wagon à bestiaux, l'aquarium, la salle de classe, le night club (...) - suscitent plus d'enthousiasme initial que les personnages ou l'histoire en elle-même.
Les fans de Goldblum apprécieront ce "Monde selon Jeff Goldblum" d'une demi-heure, qui procure un bon concentré de sa personnalité; mais au-delà de ça, votre intérêt peut varier suivant le sujet abordé.
"Ces courts métrages de 3 minutes avec le personnage de Toy Story 4 sont assez drôles."
Brooklynn Prince est excellente et la relation d'Hilde avec son père sert de toile de fond réconfortante à la série. Mais le ton est trop confus. Bien qu'elle soit centrée sur une famille, Home Before Dark est trop sombre pour être une série familiale.
Une série laborieuse à suivre. Lauren Ambrose joue une présentatrice télé insupportable et Toby Kebbell incarne un mari grincheux et arrogant. Ce sont deux personnes déplorables, pas vraiment le genre de personnages que l'on a envie de découvrir.
The Fix n'est pas un drama sophistiqué, mais c'est une série mélo un peu plus intelligente que la norme, et l'implication de Marcia Clark dans la production permet au téléspectateur de jouer à déconstruire la psychologie de l'héroïne en écho à son inspiration.
Une série dramatique ennuyeuse, prévisible et floue se déroulant des décennies après que la population de la planète ait perdu la vue.
Les blagues sur l'âge sont le domaine de prédilection de CBS, et certains gags sont parfois drôles, mais toute cette entreprise semble bien trop prévisible et répétitive, du directeur de l'hôpital froid et distant à l'interne beaucoup trop sûr de lui (le Jean-Luc Bilodeau de Kyle XY.)
Watchmen n'est pas aussi fun que Succession, une autre série HBO -Watchmen est plus sérieux-, mais la nouvelle offre de la chaîne s'impose comme une série importante et divertissante, et pertinante dans notre Amérique fracturée.
Le pilote de Nancy Drew prend la forme d'un drama post-adolescent acceptable, mais il manque à la série les clins d'oeil de son lead-in Riverdale, auquel elle préfère une approche plus réaliste, terre à terre, et moins absurde. Ce qui peut être positif ou négatif selon qu'on aime, ou pas, les séries un peu folles.
Malcolm a cessé tout contact avec son père il y a dix ans mais se tourne à nouveau vers lui afin qu'il l'aide dans le cadre d'une enquête. Ces séquences, au coeur de la série, sont bien moins divertissantes que celles mettant en scène la mère de Malcolm, jouée par Bellamy Young de Scandal, qui en fait des tonnes. Ce sont ces moments-là qui donnent à Prodigal Son un petit côté Castle.
Cobie Smulders réhausse vraiment le niveau de cette série de détective privé procédurale plutôt bien faite.
Un pilote drôle et consistant.
Ce qui fait l’originalité de Batwoman est que Kate est une lesbienne, et qu’à la fin du pilote elle est impliquée dans un triangle amoureux peu conventionnel à la télévision. En dehors de cela, cette série de super-héros ressemble à toutes les autres.