House of the Dragon semble construite avec l'aide d’une liste des choses à inclure, afin de n’oublier aucun élément déjà présent dans Game of Thrones ou pour éviter d’énerver les fans.
[La série] est complexe et stratifiée, et constitue un écart pour Schumer de la meilleure façon qui soit. Pourtant, même les publicités diffusées par Hulu pour la série sous-estiment sa profondeur, se concentrant sur la romance et la comédie. Il y a tellement plus dans "Beth", et dans Beth. Il y a quelque chose de rafraîchissant dans cette série, et la façon dont elle résiste à toute catégorisation.
Severance est à son meilleur et plus révélateur lorsqu'il s'attaque aux questions plus existentielles de sa technologie de lavage de cerveau, en particulier dans la façon dont elle affecte les relations.
The Equalizer ne va pas battre des records ou gagner beaucoup de prix, mais la série fait preuve de simplicité, propose de bonnes séquences de combat et c'est toujours agréable de voir une star appréciée du public obtenir un rôle comme celui-ci.
Ses personnages sont profondément réels et superbement dessinés, son sens du lieu fermement établi et spécifique, et ses indices vraiment choquants. C'est passionnant à regarder, et vous emmène dans des endroits où un policier classique ne va pas.
Les occasionels problèmes de rythme de la série ont peu d'importance au global, tant elle fait un bel usage de son excellente distribution, de ses scénarios malins et de ses visuels vibrants (...) Comme le film "Get Out" de Jordan Peele, elle réussit à user du fantastique et de l'horreur pour attirer le spectateur vers une histoire plus profonde et révélatrice.
Malgré ses intrigues peu claires, sa mythologie bien trop complexe et des effets parfois dégoulinants de bons sentiments, c'est une série tout à fait regardable, en grande partie grâce à sa jeune star, la talentueuse Katherine Langford.
Peu importe à quel point [Matthew] Rhys est convaincant en détective blasé à la recherche de la vérité, Perry Mason est trop funèbre. Il pourrait y avoir un temps pour une enquête macabre (surtout si elle accélérait le rythme), mais ce n'est certainement pas pour aujourd'hui.
L'alliance réussie de style et de substance, combinée à un haut niveau de jeu, des costumes superbes et des scripts raffinés qui vont au-delà de la source originale (...) La série réussit à rendre le banal hypnotique.
Très regardable et agréable. Dans un monde avec tant d'options télévisuelles, c'est appréciable d'avoir une série qui n'est pas seulement divertissante de la part d'une grande chaîne.
Picard est un délice… Reprenant avec aisance le rôle (bien que sans l’uniforme), Stewart nous propose une transition vers un Jean-Luc plus âgé et tempéré, qui reste néanmoins l’un des atouts clés de la Fédération. Picard déborde de sentiments, utilisant les codes de la science-fiction pour raconter une histoire humaine à propos d’un amour perdu et potentiellement retrouvé.
Désormais, la série n'a plus ce poids sur ses épaules d'être LA représentation des lesbiennes aux Etats-Unis. Generation Q en profite donc pour creuser sa niche avec joie.
Construite autour d’un personnage sombre (il ne retire jamais son casque et sa voix est modifiée), il y a peu de place dans ce premier épisode pour créer une connexion émotionnelle. Une révélation à la fin de l’épisode laisse présager plus de choses à explorer que ce qu’on trouve actuellement dans les films Star Wars. Et à certains moments, bien que masqué, Pedro Pascal parvient à apporter de la profondeur au chasseur de primes qu’il incarne.
Comme dans l'oeuvre originale, la série a beaucoup de choses à dire, et le tout est parfaitement réalisé, avec une grande qualité d'écriture et de grandes performances, particulièrement celles de Regina King et Jean Smart. Mais le message de la série est parfois confus.
Bien qu'elle ait sa part de personnages agaçants et de moments idiots - surtout dans le pilote - c'est de très loin la meilleure des comédies pour la Génération X de la saison.