Cette quête amoureuse chaloupée n'en finit pas de séduire.
Sur un air de veille balade country, un conte cruel et fort.
(...) jolie fable sur les apparences de Kevin Ash [qui] a pour héros central Sam, (...) Jesse Eisenberg, déjà irrésistible (...).
Les frères Coen ont (...) accompli et réussi leur ruée vers l'Ouest. Mais en mitonnant le mythe à leur gré, à leur aise: un grain de folie, une grosse cuillerée d'humour, un zeste de cruauté, le tout nappé d'un goûteux désenchantement.
Contrat rempli. On ne parle pas de cinéphilie mais de divertissement musculeux réussi.
Ali (...) devient "The Hunter", le Chasseur. Seul avec sa douleur, sa folie, son fusil comme dans un western crépusculaire.
Pablo Larrain, d'un rien, montre la confusion habituelle de nos sentiments. (...) il donne le putsch à voir comme un cauchemar d'enfant.
(...) des figurines incroyablement expressives "jouent" des "Fables" de La Fontaine (...) et déploient avec humour une grande liberté d'interprétation.
Ode exténuante à la danse, le dernier film de Darren Aronofsky perd en grâce ce qu'il gagne en ridicule. Dommage pour sa bonne actrice, Natalie Portman.
On se sentirait presque coupable à la vision de ce film si organiquement, si divinement anglais.
Une fantaisie buissonnière et délicieusement cauchemardesque
Un premier film pas comme les autres, plus sensible et plus franc que les autres, porté par des comédiens exceptionnels
Entre humour iconoclaste proche des frères Coen (...) et mélancolie existentielle, un très joli, très sensible, très original cadeau de début d'année.
Elégiaque, contemplatif, patient, le dernier Eastwood est tout cela. Il ne va pas...au-delà.
Passionnant.
Comme toujours chez Sofia Coppola, la musique (...) est chic et planante. Elle ajoute à ce "Somewhere" ce "quelque part" où strass et stress se conjuguent joliment, ce film distrayant mais pas seulement, un quelque chose qui lui va bien au teint.
(...) Un regard qui n'a rien perdu de sa force et un talent, de son humanité.
(...) Choisissant la sphère intemporelle du romanesque et une facture ample et classique, Nicole Garcia, parvient à rendre touchante, troublante, une histoire tirée par les cheveux emmêlés de la mémoire.
Il y a beaucoup d'action et de sentiments.
"Le Président" d'Yves Jeuland est un grand film.