Ayant un net penchant pour l'alcool, il s'oriente vers la peinture : "Le Lapin agile" (1910), "La Rue Norvins" (1912). Indifférent à la gloire et aux cotes de plus en plus élevées de ses tableaux, il vivait, avec sa mère et son beau-père, André Utter, à Montmartre, où son existence était toujours aussi déréglée. Il est le prototype même du "peintre maudit ", vivant en marge de la société, volontiers mystique et même bigot…