Paris, automne 2015. Philippe Dayan reçoit chaque semaine dans son cabinet à deux pas de la place de la République, une chirurgienne en plein désarroi amoureux, un couple en crise, une ado aux tendances suicidaires et un agent de la BRI traumatisé par son intervention au Bataclan. A l’écoute de ces vies bouleversées, le séisme émotionnel qui se déclenche en lui est sans précédent. Pour tenter d’y échapper, il renoue avec son ancienne analyste, Esther, avec qui il avait coupé les ponts depuis près de 12 ans.
Dans une luxueuse villa en bord de mer, une jeune femme modeste retrouve une étrange famille : un père inconnu et très riche, son épouse fantasque, sa fille, une femme d’affaires ambitieuse, une ado rebelle ainsi qu’une inquiétante servante. Quelqu’un ment.
Jeanne Deber, dite "La Mante", célèbre tueuse en série qui a terrorisé la France il y a plus de 20 ans, accepte de collaborer avec la police pour traquer un imitateur à la seule condition d’avoir pour interlocuteur, son fils, devenu flic, qui refuse tout contact avec elle depuis son arrestation.
Deux sœurs que tout oppose. Joséphine, 40 ans, historienne spécialisée dans le 12ème siècle, confrontée aux difficultés de la vie; et Iris, outrageusement belle, menant une vie de parisienne aisée et futile. Un soir, lors d’un diner mondain, Iris se vante d’écrire un roman.
Pendant des années, Eric et Catherine vont se croiser sans le savoir. Pourtant, ils sont faits l'un pour l'autre. Portés par la même passion pour la musique, ils vont courir l'un vers l'autre, commettre des erreurs et des hésitations. De divorces en trébuchements, ils finiront par se rencontrer et s'aimer.
Les parents de François, 8 ans, quittent le Paris de l'Occupation pour la tranquilité d'un château à la campagne où ils ne vont pas tarder à cacher une famille polonaise. Les choses se compliquent lorsqu'un commandant nazi et sa troupe décident d'investir les lieux...
Evocation de la vie, du procès et de la mort de Lacenaire, célèbre bandit et homme de lettres du XIXe siecle immortalisé par Prévert et Carné dans "les Enfants du paradis" et à qui l'on doit, à travers ses Mémoires, un témoignage et une appréciation particulièrement modernes sur son temps.