Portrait profondément intime d’une enfance américaine au XXème siècle, The Fabelmans de Steven Spielberg nous plonge dans l’histoire familiale du cinéaste qui a façonné sa vie personnelle et professionnelle.
Peter, 10 ans, doit, à la demande de ses parents, libérer sa chambre pour son grand-père et s'installer, à contrecœur, au grenier. Avec l'aide de ses amis, il va tout faire pour récupérer sa chambre et n'hésitera pas à employer les grands moyens.
Theodore "Theo" Decker n'a que 13 ans quand sa mère est tuée dans une explosion au Metropolitan Museum of Art. Cette tragédie va bouleverser sa vie : passant de la détresse à la culpabilité, il se reconstruit peu à peu et découvre même l'amour.
Sur deux époques distinctes, les parcours de Ben et Rose. Ces deux enfants souhaitent secrètement que leur vie soit différente ; Ben rêve du père qu'il n'a jamais connu, tandis que Rose, isolée par sa surdité, se passionne pour la carrière d'une mystérieuse actrice.
Depuis de longues années, M. Meacham, un vieux sculpteur sur bois, régale les enfants du coin avec ses histoires sur un féroce dragon qui vivrait au plus profond de la forêt voisine. Pour sa fille Grace, garde forestière de son état, tout ceci n’est que contes à dormir debout… jusqu’au jour où elle fait connaissance avec Peter.
Le mystérieux Monsieur Finch a construit une Machine permettant de "prévoir" les crimes à venir. Avec l'aide de John Reese, un ex-agent paramilitaire de la CIA, présumé mort, il tente de sauver ceux qui peuvent l'être... et de mettre hors d'état de nuire les criminels.
À la mort de leur père, quatre enfants, blessés et malmenés par la vie, reviennent dans la maison où ils ont passé leur enfance. Ils se retrouvent donc contraints de cohabiter sous le même toit pendant une semaine, en compagnie de leur mère indiscrète...