Paris, 1828. Sur le boulevard du Crime, au milieu de la foule, des acteurs et des bateleurs, le mime Baptiste Deburau, par son témoignage muet, sauve Garance d'une erreur judiciaire. C'est ici que commencent les amours contrariées de Garance et de Baptiste...
Accueilli en héros à l'aéroport du Bourget, l'aviateur André Jurieux est pourtant écœuré. Lui qui vient de traverser l’Atlantique dans le seul but d’impressionner la belle Christine de La Chesnaye est dépité de ne pas la trouver à son arrivée.
Après un bref prologue, où l'on voit un instituteur énumérer à des écoliers médusés toutes les richesses de la France, le récit se déploie en trois épisodes. La vie appartient à ceux qui luttent et s'unissent et le film se termine en apothéose, avec chants et défilés.
Un baron surprend un jour chez lui le cambrioleur Pepel. Ils sympathisent et Pepel entraine le baron, qui finit de dilapider sa fortune, dans son repaire, bouge infame, ou regne le sordide receleur Kostileff...
C'est la rentrée scolaire dans un collège de province. La vie reprend avec les chahuts au dortoir, les punitions traditionnelles, les récréations, les études houleuses et les conflits avec l'administration. Un soir, les pensionnaires décident de se libérer de l'autorité des adultes et déclenchent une révolte. Une œuvre impertinence et iconoclaste, la plus autobiographique de Jean Vigo.
En 1431 débute le procès de Jeanne dans le château de Rouen, devant un tribunal ecclésiastique au service de l'occupant anglais. Enchaînée, avec une simplicité désarmante, elle explique ses gestes devant une foule qui a décidé de la condamner avant même le début de son jugement.