Décembre 1897, Paris. Edmond Rostand n’a pas encore trente ans mais déjà deux enfants et beaucoup d’angoisses. Il n’a rien écrit depuis deux ans. En désespoir de cause, il propose au grand Constant Coquelin une pièce nouvelle, une comédie héroïque, en vers, pour les fêtes.
Un été, des grands-parents accueillent leurs trois petits-enfants, alors que leur mère, divorcée, doit trouver du travail. Cette dernière est fâchée avec son père, qui ne connaît pas ses petits-enfants.
Amoureux de Diane comme au premier jour, Alain traverse la cinquantaine sans crise. Même le départ des enfants, il l’a bien vécu. Diane moins.… Cette période, elle l’entame avec la sensation qu’elle pourrait mourir d’ennui ou d’angoisse.
Julie, 36 ans, larguée, sans enfants, au chômage, coche toutes les cases de la parfaite looseuse. Mais un coup de téléphone va tout changer. Au bout du fil, Max lui fait une sublime demande en mariage. Elle est extatique jusqu’au moment où elle comprend que le téléphone qu’elle serre frénétiquement n’est pas le sien...