Artiste de théâtre et de music-hall venue tard au cinéma, elle a imposé en quelques films, avant que les codes de pudeur américains eussent raison de ses excès, l'image comique d'une femme au verbe haut, souvent obscène, la démarche chaloupée et le poing sur la hanche. Elle fut scénariste et dialoguiste de presque tous ses films : "Night after Night" (1932), "Lady Lou" (1933), "Go West Young Man" (1936), "Mon petit poussin chéri" (1940).