Sa plume trempée dans le vitriol fit les beaux jours du "Canard enchaîné", de "Cinémonde" (où il signait ses philippiques du pseudonyme d'" Huguette ex-Micro ") et du "Crapouillot". À l'écran, sa verve s'accorda aussi bien avec la noirceur d'un Duvivier ("Pépé le Moko", 1937 ; "Pot-Bouille", 1957) qu'avec la jovialité d'un Christian-Jaque ("Un revenant", 1946 ; "Fanfan la Tulipe", 1952). Il a mis en scène un film, "Lady Paname" (1949).