Serge Daney a été collaborateur des “Cahiers du cinéma”, avant d’en devenir le rédacteur en chef dans les années 1970, puis responsable des pages cinéma et éditorialiste à “Libération”. Il fut enfin l’un des fondateurs de la revue de cinéma “Trafic”. En 1992, dans ces entretiens avec Régis Debray pour l’émission Océaniques, celui qui se définit comme un “ciné-fils”, fait défiler sa vie et les films qui l’ont vu grandir. En racontant le cinéma américain (Hawks, Hitchcock…), la “Qualité française”, la Nouvelle vague, Mai 68 et la politisation de la cinéphilie, l’irruption de la télévision et de ses codes spectaculaires, il nous lègue non seulement une mémoire mais surtout une morale de l’image.
Serge Daney a été collaborateur des “Cahiers du cinéma”, avant d’en devenir le rédacteur en chef dans les années 1970, puis responsable des pages cinéma et éditorialiste à “Libération”. Il fut enfin l’un des fondateurs de la revue de cinéma “Trafic”. En 1992, dans ces entretiens avec Régis Debray pour l’émission Océaniques, celui qui se définit comme un “ciné-fils”, fait défiler sa vie et les films qui l’ont vu grandir. En racontant le cinéma américain (Hawks, Hitchcock…), la “Qualité française”, la Nouvelle vague, Mai 68 et la politisation de la cinéphilie, l’irruption de la télévision et de ses codes spectaculaires, il nous lègue non seulement une mémoire mais surtout une morale de l’image.