Kelber, un marchand de tableaux, fait l'acquisition d'un faux Gauguin. Lorsqu'il prend conscience de son erreur, il décide d'intégrer la bande des faussaires dont le leader est le peintre Watroff.
Un fils de famille, qui court la campagne en tirant des chèques sur la banque paternelle, est poursuivi par les envoyés de son oncle qui doivent le ramener sans esclandre dans le giron familial. C'est la nuit de Noël. Arrivé dans une petite ville de montagne près de Grenoble, il trouve dans un café un orchestre dont le jeune pianiste, Julien Barrère, lui ressemble parfaitement. Jouant le « sosie », il se laissera prendre pour le Père Noël venu du ciel en vue de satisfaire les désirs innocents de deux enfants. Il sera pour la soeur aînée des enfants, serveuse au café, l'amoureux timide qui dépose chaque jour à sa fenêtre une edelweiss et qu'elle attend en silence, et pour le curé le jeune paroissien qui doit diriger la chorale des enfants à la messe de minuit. D'où une série de quiproquos plaisants ou tragiques. Les envoyés de l'oncle se trompent et se saississent du vrai « Julien Barrère » et, à deux reprises, l'emmènent en auto à la place de l'autre. Françoise, qui voit disparaître celui qu'elle a pris pour Julien Barrère, un « Julien Barrère » qui cette fois lui a déclaré son amour, le croit fidèle et, déçue, repousse le vrai Julien qui a bénéficié des déclarations de son sosie. A la fin, tout s'arrange.
Un employé de banque maladroit empêche, malgré-lui, un hold-up. Devenu, du jour au lendemain, un héros, il fait chavirer le coeur de la jeune Renée Merlerin dont le père s'avère être le chef des malfrats...
Jean Chape, patron camionneur, est un homme heureux. Il a quarante-cinq ans, de bons copains, un bon camion, quelques économies et une amie agréable. Or, un drame éclate soudainement dans la vie de cet homme paisible. Une nuit de verglas, il écrase, ou croit écraser, un homme…