En 1944 Madeleine Riffaud jeune résistante exécute un allemand, emprisonnée, torturée par la Gestapo à 20 ans, elle échappe au peloton d’exécution ainsi qu’au train qui aurait du l’emmener au camp d’extermination...
Depuis 50 ans, l’histoire de Mai 68 est racontée par des hommes, presque exclusivement. Comme si les femmes n’avaient pas leur place dans cette histoire, n’y avaient été que des figurantes. Pourtant, elles ont permis l’émergence d’un discours féministe moderne et structuré.
Le film évoque la vie et les luttes de quelques-uns des 750 déportés résistants qui furent acheminés vers Dachau, pendant deux mois, l'été 44, dans l'un des derniers trains de la mort, le train fantôme…
Stéphane Hessel, diplomate engagé, Pierre Daix, journaliste et historien d’art, Armand Gatti, dramaturge et le producteur de cinéma Serge Silberman, sont chacun à leur manière un modèle de résilience. Résistants et rescapés des camps nazis, ils ont su, à leur libération, rebondir et se reconstruire, en ne cessant de lutter pour la liberté d’expression et contre l'asservissement des esprits.
Ce film raconte la lutte, la chute et le procès du groupe de résistants d’origine étrangère qui, en 1943, est le seul à mener la lutte armée dans le Paris de l’Occupation. Grâce à l’appui de sources exceptionnelles, policières et judiciaires (consultables seulement depuis octobre 2000), le film raconte l’enquête, en intégrant aussi le point de vue des policiers français qui ont organisé cette traque, et des hommes des Brigades spéciales des Renseignements généraux.