De la tempête à Sotchi, d'Irina et des cinquante autres victimes, il n'y a aucune trace. Un an plus tard, Guillaume s'y rend pour savoir ce qui s'est réellement passé ce mois d'août 2006, mais il disparaît en abandonnant ses dessins et son journal dans la chambre 255 de l'hôtel Primorskaïa.