Occ ses critiques films

Un grand film, c’est quand on se rappelle aussi des personnages qui ne vivent pas de grande histoire.
Et ici on a 2 très beaux portraits de femmes.

Non je ne suis pas passée à côté du propos du film, mais tout a déjà été écrit et mieux que je ne le ferais.

Les film de toute une génération. De toutes les générations même. Clotilde Hesme disait l’autre jour qu’on l’arrêtait encore dans la rue pour la remercier.
Mais pour être juste, la force du film, c’est la justesse des chansons d’Alex Beaupin.

Criiiiiinge. La marionette est hyper malaisante. Ce qui a fait perdre des étoiles au film, qui sinon n’est pas si mal.

Comme quoi on peut réussir son passage à l’anglais et diriger de grandes actrices sans se perdre. C’est presque mieux d’ailleurs quand il s’affranchir’t un peu de ses exercices de style.

Très juste. Elle réussit la prouesse de sublimer chacune des histoires personnelles de la mosaïque tout en faisant ressentir la fresque.

Alors oui on est dans le plaisir de regarder ces jeunes filles en fleur. La scopophilie si vous voulez faire genre en soirée.
Mais c’est bien plus que ça.
Passez au delà des gants en dentelle et des mèches de cheveux soyeuses, pour ressentir cette Australie jamais totalement maîtrisée.

Oui c’est encore un film où l’on souffre avec les personnages. Mais malgré la construction fantastique, le sentiments et personnages sont très justes et crédibles.

C’est un peu les profs au pays de oui oui.
Ou un spot pour le ministère de l’éducation nationale.
Allez-y si vous avez besoin de vous dire que le monde ne va pas si mal que ça.

Tout le film tient dans la tension de la scène qui lui donne son titre. Dommage que le reste du film reste un peu en surface.

Formellement, impeccable. Scénario cohérent, bien construit jusqu’à la chute.
Mais dans le fond, un immense sentiment de « so what »? En d’autre termes, pourquoi ?
Dommage de mettre autant de talent au service d’une réflexion un peu tiède.

Un film assez surprenant et unique, qui est fait pour vous si vous aimez :

Les chiens. Beaucoup de chiens. Même si c’est dans le titre, rien ne vous prépare au temps d’écran canin de ce film.

Les héros mutiques. Version far ouest de la Chine, option désert de Gobi.

Vu en AVP. En vrai c’était bien.

À vouloir montrer et faire ressentir le silence dans lequel se mure Julie, le film finit par être un peu austère pour son audience.

Vu en AVP.

L’histoire des futurs parents sonne juste.
Malheureusement, le personnage de la mère monopolise l’écran et les fait passer au second plan.

Festival vrai de vrai

Une histoire unique et passionnante.
Mais un traitement qui peine à faire comprendre pleinement sa vie, malgré un usage appuyé de la voix off.