C'est beau, c'est poétique, c'est drôle, c'est poignant (j'ai pleuré, je ne vous dis pas où). Une BO qui soigne parfaitement l'ambiance. Pas une faute de goût.
La diction récitée à la Rhomer est insupportable. Les dialogues sont empruntés, les situations factices et le décor réduit au strict minimum le scénario inexistant. Une purge.
Personnellement je ne regarde plus d'infos à la télé depuis des lustres sauf quelques minutes parfois pour me souvenir pourquoi je ne les regarde plus. Donc l'objet du film m'était un peu indifférent : la critique de ce milieu de la société du spectacle. D'ailleurs la principale critique que l'on peut faire à ce milieu c'est la toute-puissance des milliardaires propriétaires qui contrôlent tout, à commencer par la politique éditoriale ...
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Si vous avez aimé l'anatomie d'une chute, vous aimerez les herbes sèches. Le premier racontait le triomphe narcissique de la femme établi sur la néantisation de son partenaire conjugal masculin : apologie de la perversion misandre, le second est le symétrique au masculin : triomphe narcissique de l'homme établi sur la néantisation de sa partenaire victime-complice : apologie de la perversion misogyne. La mise en miroir des deux films ...
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Pour comprendre le fin mot du film de Justine Triet "Anatomie d'une chute" (ADC), je propose de le mettre en perspective avec le film de Sam Mendès de 2000 : "American beauty" (AB). Les deux films traitent de la névrose narcissique moderne qui forclos l'amour amoureux. Tous les deux engagent le lien conjugal impossible en l'articulant avec la position de l'enfant assigné au rôle d'acteur du conflit.
La névrose narcissique selon ADC décrit ...
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