Kincaid
Membre depuis le 30 avril 2023
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Malgré la présence des jeunes et charmants Paul Newman et Robert Redford, malgré quelques très rares répliques comiques, le film m’a semblé indigent d’originalité. Alors on a l’attaque du train, le saut dans les rapides, le bar… On sait qu’on est dans un Western et ses clichés, y’a pas à redire. Puis, on a droit à deux ellipses, une en images sépia, une autre en chansons, tout ça pour accélérer le scénario. La fin ...
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Au début, le film donne une impression de quelques incohérences, en lien avec un scénario quelque peu maladroit. Puis, les choses se mettent en place, nous donnant un film plutôt intéressant, où des êtres, par ailleurs oisifs, se cherchent, peinent à se trouver et où l’amour n’est jamais une évidence.
J’ai eu beau me mettre le cerveau en tire-bouchon, mes zygomatiques n’ont pas frémit d’un poil de cochon. Film raplapla et, partant, fortement décevant.
Un petit western, tranquillou et sympathique, presque bon enfant, routinier. John Wayne y donne la réplique en grand pépère du genre. Scénario convenu, un brin de sentiment pour de belles jeunes femmes, beaucoup de morts et un spoiler: happy end
. Que demander de plus ? Ça se laisse bien regarder, sans casser trois pattes à un canard.
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On a là un film élégant, qui rappelle un peu les casses modernes, mais version 19e siècle. Les décors sont fabuleusement bien reconstitués, l’action est bien menée, par des acteurs de référence (Sean Connery, Donald Sutherland…). Un beau spectacle dans lequel on ne s’ennuie pas. Le scénario n’échappe pas au dilemme moral de tout film tutoyant des gangsters : les punir ou pas ? Alors que ces voyous nous sont devenus si ...
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Une œuvre vieillotte, complètement niaise et qui ne fait plus trop rire. Clichés, à commencer par la Monroe en blonde sexy et un peu bêtasse, blaguounettes puériles autour des travesties, le tout pour une comédie vraiment pathétique !
Un très beau film, théâtral, librement inspiré de l’histoire d’Anna Anderson, qui se prétendait être Anastasia Romanov, la grande-duchesse de Russie. Dans ce film, on est ravi des interprétations de Yul Brynner (quelle puissance !) et surtout de la très touchante Ingrid Bergman. Un film passionnant et par moment très émouvant.
Grand et superbe film, très intéressant du point de vue historique, mais peut-être un peu trop long…
C’est un grand film, très touchant, fort d’émotions, une belle histoire, avec du mystère. Ce film nous parle aussi de la cruauté et de la bêtise humaines et du racisme.
Une fort belle animation, de luxe, aux superbes images, superbes effets, une animation parfaite, jusqu’à l’expressivité des personnages qui est particulièrement léchée. Cependant, malgré un peu d’action et quelques traits d’humour, l’histoire reste assez molle et longuette. Ça manque d’imagination, de tension émotionnelle, d’enjeu et de message. Par contre, regardez le générique à la fin : il a fallu une véritable armée pour faire ce truc !
Ouaif, bof… Une histoire assez classique, bien téléphonée, avec les clichés et les personnages stéréotypés propres à la franchise. On remarque même une hétérogénéité dans la qualité des graphismes, parfois léchés, parfois plus bâclés… Un peu décevant quoi.
Une comédie dramatique sur les difficultés de communication dans la famille, les idéaux qu’un père a voulu faire porter à ses enfants, sans vraiment les écouter. Une vérité qui se révèle peu à peu, comme dans un thriller au ralenti. De Niro est parfait dans ce rôle de père à la recherche de ses enfants, autant que de lui-même. Film qui, à sa façon, rappelle le « Rue des prairies » de Denys de la Patellière, cinquante ans auparavant.
Un joli drame qui fleure bon la comédie à maints moments. Après-guerre, les jeunes adultes s’émancipent, Mai 68 est encore un embryon, mais on le sent frémir dans les entrailles de la société française. Le père Gabin, le grand Gabin, qui se démène comme il peut avec sa rebelle progéniture, tentant de maintenir les valeurs d’antan. C’est un beau spectacle où l’on frémit et rit. Film qui, à sa façon, rappelle le « ...
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Film historique, au scénario léché, avec de très bons acteurs, en particulier, évidemment, Mads Mikkelsen (le médecin), Alicia Vikander (la reine), Mikkel Boe Folsgaard (le roi), formant un beau trio complice. L’intrigue ne manque pas de piment et de suspense pour nous tenir en haleine. Un film plus qu’agréable à regarder.
Cette deuxième version est réduite au burlesque enfantin avec la disparition de la dimension morale, éducative, humaine, qui donnait toute sa richesse au premier opus. Dommage !
Un joli petit film pour enfants, au départ, mais auquel un adulte peut prendre plaisir. Des principes éducatifs tout à fait sensés sont glissés à l’intérieur, à découvrir. Film fantastique, un conte de fées, en quelque sorte.
Le gros navet de film tout raté, du scénario, des dialogues, jusqu’au jeu récité des pauvres acteurs. Mais quelle daube grotesque !
Un très beau film, inspiré de l’affaire Gabrielle Russier, et talentueusement interprété par l’immense Annie Girardot. Quelle actrice, quel sourire, quelle femme ! Par contre, je pense que le jeune Bruno Pradal (qui avait 22 ans en 1971), pour jouer un personnage de 17 ans, est une parfaite erreur de casting. Il est trop grand, trop barbu, trop moustachu et au lieu d’un rapport femme/ado, on a femme/adulte, ça colle pas. Dommage. ...
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Je serais, pour ce film, en accord avec la plupart des gens, pour dire que le scénario d’Avatar ne brille pas par sa subtilité. C’est un scénario classique à la « Indiana Jones », transposé sur une planète exotique virtuelle. On y retrouve tous les grands clichés du cinéma américain : les très bons et les très méchants (les uns vont gagner à la fin et les autres perdre, bien évidemment), l’histoire d’amour sous-jacente, la ...
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Par rapport au premier opus, on retrouve les belles images de synthèse, mais la surprise est éventée désormais. Le scénario fait dans la saga familiale, alternant avec des antagonismes puissants, des batailles, de l’action. Malgré la longueur excessive du film, on ne s’y ennuie pas trop. Mais malgré les belles images, l’histoire reste trop simplette pour pouvoir vraiment captiver.
Film bouleversant et percutant, du début… à la fin ! Par moment, ça fait un peu check-list, mais on pardonnera, car l’ensemble de l’œuvre est vraiment d’une grande qualité, pour raconter le quotidien éprouvant de ces policiers qui protègent les enfants. Film pratiquement docu-fiction (comme en témoigne le livre de Claire Berest), où les acteurs se donnent à fond. On notera tout particulièrement les prestations de Joey Starr et ...
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Une petite comédie particulièrement sympathique, qui nous replonge dans les années 1950 et les championnes de dactylographie, dans une société où les femmes n’avaient pas encore atteint le degré d’indépendance qu’elles connaissent de nos jours. Une belle brochette d’acteurs français nous régale avec, en particulier un Romain Duris qui, pour une fois, ne fait pas que jouer au bourru, voire méchant, de service et une Déborah ...
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Film magnifique, dont l’actrice principale, Cate Blanchett, le tire pratiquement au niveau du chef-d’œuvre. Quel talent, quel brio, quelle perfection ! On y voit une femme excessivement sûre d’elle et de ses pouvoirs. Le ton, la vivacité, la gestuelle, Cate Blanchett incarne une femme qui maîtrise pleinement sa vie. Et puis, arrive ce qui va la conduire vers un genre de descente aux enfers. Pourtant, Lydia Tár va montrer d’étranges ...
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Vieux film américain, en blanc et noir (je ris !) et homophobe à souhait, reflet de la société américaine de l’époque (heu ! Parce que ça a changé ?). On apprécie le scénario et le jeu exemplaire des actrices/acteurs, y compris celui des petites jeunes filles. La menteuse perverse est vraiment atroce, mais bravo mademoiselle Karen Balkin ! Quelle interprétation ! Bien sûr, on y apprécie tout particulièrement le duo tragique ...
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Malgré une mise en scène assez plan-plan, le film se laisse regarder sans trop de déplaisir (à risque d’ennui pour certains). Tiré d’une histoire vraie, le scénario en retrace les étapes et cela présente tout de même un certain intérêt, d’autant que de subtiles tensions… allez, disons-le, amoureuses, y amènent une douce tension, défiant la lenteur du récit. À noter que la musique de fond aurait bien supporté d’être ...
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Un film choral qui se paye un prestigieux casting british. Cela dit, le traitement en parallèle de toutes ces « histoires d’amour » en gestation a du mal à prendre, jusqu’à un certain point du film (bon, il y a bien quelques petites étincelles émotionnelles, ici ou là). Puis, disons, durant le dernier tiers du scénario, les choses s’animent davantage et l’on voit un peu mieux où tout cela va nous mener. La fin est jolie, très ...
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Le film aussi est véritablement un triomphe ! Avec un Kad Merad poignant, accompagné d’une fine équipe de très bons comédiens, on se régale de voir l’évolution de cette troupe quasi improvisée, dont le scénario est bien inspiré d’une histoire vraie suédoise. Un film sympathique et rafraîchissant.
Comme pas mal de films du grand Alfred, il y a des côtés amateurs, dans le scénario et la technique, qui font d’époque. Autrement, bien entendu, on ne boude pas son plaisir de voir jouer Cary Grant et la merveilleuse Grace Kelly. L'intrigue est assez simplette, voire un peu niaise, mais cela reste agréable à regarder.
Un film d’espionnage, mais surtout d’actions de guerre, correct du point de vue scénario et acteurs. On ne peut pas en dire autant sur le plan technique, avec une image presque en blanc et noir tellement la pellicule et les contrejours ne sont pas maîtrisés. Quelqu’un me dira que c’est fait exprès… Moi je dis que c’est moche.
Que voilà un western OVNI, totalement atypique, servi par un personnage central, lui-même OVNI, ce « Shane », interprété par Alan Ladd, qui nous situe loin des brutes à la Gary Cooper, John Wayne ou Clint Eastwood. Son personnage évoque plutôt un type beau, raffiné, limite intellectuel, en souffrance morale, comme marqué par de probables traumatismes. Ce qui va donner un Western atypique, psychologique, voire sous-tendu d’une ...
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Un joli film chronique, qui déroule ses rouleaux d’affection et de sensualité entre deux êtres qui s’aiment. On comprend vers la fin le titre, « La passagère », car cette femme mûre qui, moderne, se paye un jeune homme, malgré la hiérarchie sociale, malgré son mari parfait, malgré les conventions, comme ça, pour la joie, le bonheur, le plaisir, l’exultation des corps comme chantait Brel, cette femme redevient une simple ...
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Ce film est une sonnerie en barre. Dès le départ, gros clichés amerloques, le coup des cowboys qui se disputent la prééminence pour savoir qui va tirer le premier, entre l’armée et la police. On a un objet extraterrestre haut comme une montagne et ça vient se garer juste au-dessous et ça sort de sa voiture de police avec sa toute petite carabine comme si c’était devant un vilain bandit qui braque une banque. Et tout le scénario est ...
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Film qui aurait pu être bien de par son thème, mais qui est raté du fait qu’il soit excessivement mal écrit, sans compter une bande-son québécoise vraiment mauvaise et inconfortable.
Un film magnifique, un scénario d’une complexité à couper le souffle, une analyse magistrale des rapports humains, le tout dans un Iran dont on découvre la civilisation, l’humanité au-delà du fief islamo-terroriste que les images d’Épinal nous montrent. En cours de visualisation, je me suis demandé quel film occidental pouvait être équivalent en complexité et richesse scénaristique. Ma faible culture cinématographique m’a ...
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Une sacrée petite comédie, un peu dramatique par moment. Certes, tout le scénario est construit pour nous dire des choses et ça fait un peu téléphoné. Mais on pardonne vite cette faiblesse, liée au genre de la comédie, pour apprécier l’utilisation de cette charnière historique de Mai 68, qui allait, entre autre, renverser l’ordre familial et la place des femmes dans la société. Passer de bonnes ménagères, bobonnes au lit sans ...
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Un bon film d’espionnage et plus. Un genre de « Nikita », pile trente ans plus tard. De la bonne action, une super-actrice, que cette Sasha Luss. À un certain moment, on peine à comprendre l’enjeu central du film. Mais heureusement, cela se dégage sur la fin. Beau travail technique sur le scénario, avec ses allers-retours temporels. Encore un bon Besson.