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Une histoire de dépression et de renaissance qui aurait pu être beaucoup plus touchante et forte, le traitement est d'une grande platitude formelle comme scénaristique, le rythme est absent et on s'ennuie beaucoup. Cela dit les quelques retraités présents à ma séance avaient l'air de s'amuser devant cette oeuvre anecdotique plus adaptée à l'écran de télévision qu'à la salle de cinéma.
Une Demi Moore impliquée et une technique certes tapageuse mais plutôt maîtrisée pour un récit au déroulement un peu prévisible et répétitif, croulant sous les références cinématographiques et débouchant sur une apothéose gore finale assez Z (du Peter Jackson sans tondeuse) qui laisse perplexe. Une satire parfois amusante mais souvent lourde qui aurait gagné à plus de concision et de finesse.
Un récit sensoriel qui captive par la prestation dévouée de son actrice principale et la beauté âpre du cadre écossais, mais qui n'évite pas quelques longueurs et maniérismes (voix off, flous et effets stroboscopiques, final démesuré..).
C’était très bien, très beau, un film qui fait du bien aux yeux, au coeur, à l’âme! Une bouffée d »‘air pur après les plus ou moins douloureuses déceptions ciné de ces dernières semaines (‘ »Megalopolis », « Anora », le dernier Clint..) Allez le voir et le soutenir en salle!
Difficile d'être touché par cette histoire mince, bavarde, répétitive et interminable (2 heures et 19 minutes, quand même) d'une hystérique malheureuse qui court après son jeune con de mari, accompagnée par des hommes de main lourdement caricaturaux et incompétents censés amuser le spectateur, d'autant plus que le personnage le plus potentiellement attachant du film est lui relégué au second plan. On regrette un peu la fraîcheur et ...
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Un dernier (?) Eastwood desservi par une mise en scène et une narration plan-plan dignes d’un série télé américaine lambda. Le cinéaste peine à incarner son récit avec des personnages fonctionnels et des enjeux scénaristiques (est-il coupable ou non de la mort de la jeune fille?) , peu impliquants et péniblement dilués sur presque deux heures de métrage. Le dilemne moral potentiellement fort du personnage joué par Nicolas Hoult est ...
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Une ambiance parano par moments efficace et une actrice investie pour un film bruyant au concept répétitif qui finit par lasser dans sa surenchère et sa durée excessive. L'époque où la série B horrifique était synonyme de 90 minutes concises et humbles paraît lointaine..
Malgré quelques passages touchants réussis dans sa deuxième partie grâce aux acteurs (Elodie Bouchez, Alain Chabat..) une romance longuette qui manque d'originalité dans son récit et dont le style sous influences (Michael Mann, Leone, Carpenter, Argento, Scorsese..) parait boursouflé et un peu vain.
Bien que déjà vu (on pense quand même pas mal au VILLAGE de Shyamalan et au pas terrible IT COMES AT NIGHT) languissant et répétitif ça reste le meilleur (ou moins mauvais) Aja qui est plutôt efficace dans le drame familial porté par un trio d’acteurs convaincant mais qui hélas déçoit dans son spectaculaire, explicatif et maladroit final à twist.
Un film raffiné sur l'ultramoderne solitude, aux élégantes images qui renvoient parfois à Wong Kar Wai voire au Michael Mann de "Hacker". Noémie Merlant incarne bien le rôle-titre et la langueur étudiée du film a son charme, qui pourra rebuter cela dit certains spectateurs partis pour voir une oeuvre plus "jouissive"!
Une écriture empesée (dialogues et voix off ampoulés et explicatifs, personnages caricaturaux) et une direction d'acteurs aléatoire (Jon Voight, Shia LaBeouf..) font sombrer dans la niaiserie et le grotesque cette fable au discours banal et naïf sur la création et le pouvoir.
Tim Burton recycle mollement son premier BEETLEJUICE. Le scénario et sa construction sont peu emballants, le film manque étrangement de folie et de fun, sans vrai rythme et assez bavard au final. Il reste des effets spéciaux, des décors et un ou deux acteurs sympathiques (Willem Dafoe, Monica Bellucci) mais cette suite passable ne s'imposait pas vraiment.. à réserver donc aux inconditionnels du réalisateur.
Un beau film injustement méconnu. L'histoire est émouvante et ambitieuse, Jennifer Connelly et Billy Crudup sont magnifiques et l'ambiance visuelle comme sonore (belle utilisation d'une musique planante et des chansons) est envoûtante. Un film qui mérite d'être (re)découvert.
Un thriller plutôt plaisant sur la forme avec son rythme relativement soutenu, son jeune acteur principal impliqué et son tournage nocturne sous influenvces ("Collateral"?) , mais qui pâtit d'un scénario bancal avec des péripéties peu vraisemblables, des personnages insuffisamment caractérisés et un arrière plan politique traité de façon superficielle.
Un film sur le deuil assez pesant dans sa narration (voix off, dialogues, musique, sound design et actrice parfois irritants) mais néanmoins plutôt soigné dans la forme. De la science fiction intimiste et minimaliste qui rappelle parfois le plus abouti et méconnu "Simple mortel" de Pierre Jolivet.
Un thriller dénué de rythme et de tension, et un film superficiel sur le monde du cinéma. Le parcours de cette actrice ambitieuse n'a pas grand intérêt, l'intrigue est parfois confuse et incohérente, l'enquête policière mollassonne est digne d'une série télé lambda, la réalisation de Ti Weqt est anonyme et cerise sur le gâteau avarié, la confrontation finale spoiler: avec le méchant papa papy curé exorciste est bâclée avec un ...
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En dehors de quelques effets spéciaux décents - ce qui n'est pas si courant avec les grosses productions hollywoodiennes actuelles!- , pas grand chose à sauver de ce produit formaté: les enjeux scénaristiques sont faibles, les personnages et leurs relations sont niais et prévisibles, les scènes d'action parfois brouillonnes dans leur filmage, et la bande-original est irritante avec son utilisation abusive de chansons.
Un trio de personnages assez attachants que l'on suit sans déplaisir, d'autant plus qu'ils sont campés par de bons acteurs et notamment un (ou plutôt deux, nous précise le générique de fin) chat très craquant! Si on ajoute une facture technique solide avec une vision apocalyptique convaincante de la ville de New York on en vient à la conclusion que l'on a affaire à une série B à gros budget fréquentable, que l'on peut même ...
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Un polar certes musclé mais qui s'enlise vite dans une intrigue étrangement conventionnelle, diluée et superficielle.
Je ressors de la séance, je m'y suis ennuyé du début à la fin. Un film peu incarné, au scénario peu consistant. C" est mou, redondant, la vie et la mort de ces bikers n'impliquent pas le spectateur. L'"ouverture sur fond de Steppenwolf d'"Easy Rider" a plus de vie et d'ampleur que ces presque deux longues heures de "The Bikeriders"!
un drame plutôt bien interprété mais très classique dans son scénario et sa mise en scène. Je n'ai pas été très convaincu par la dernière partie et sa confrontation avec lourd secret familial éventé, comme pour donner in extremis un peu d"intensité et de pathos à un récit et un rythme qui ont tendance à ronronner.
Gary Sherman a quand même fait des films forts à ses débuts...c'est un plaisir de redécouvrir en HD la photo d'Alex Thomson passant quand même mieux qu'en vhs , on pense par moments à un précurseur de son superbe travail pour "La forteresse noire". Une oeuvre assez lente mais à l'approche singulière entre humour un peu décalé, horreur sociale et tristesse, désespoir absolus, le film est cafardeux, glauque, annonçant clairement le ...
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Un dernier opus du grand George Miller plat et anecdotique, les enjeux scénaristiques et les personnages sont peu impliquants, le casting peu charismatique et sous-exploité, la durée de 2h28 un brin excessive et le rythme assez mou du genou curieusement. Il reste quelques scènes d'action lisibles (heureusement) mais qui ne surprennent plus hélas et les CGI trop souvent voyants ne réhaussent pas la qualité du spectacle. Le film aurait ...
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Un slasher/home invasion très classique, sans originalité particulière, mais qui se regarde sans difficulté, avec quelques moments relativement tendus.. Renny Harlin a fait bien pire, comme DRIVEN par exemple!
Film de guerre dénué de tension et d'ampleur, et road movie languissant et désincarné. Un sujet potentiellement politique et brûlant qui aurait mérité un réalisateur/scénariste plus...incivil!
A part une photographie assez soignée, pas grand-chose à sauver de cette version féminine de LA MALEDICTION dénuée de l'efficacité du film de Richard Donner et de ses deux premières suites. La réalisatrice s'embourbe dans un récit peu incarné et longuet, exploitant superficiellement le cadre italien et accumulant les effets faciles. Les jump scares éventés et brèves visions satanico oniriques convenues sous influence de Jason Blum ...
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Un film d'horreur qui se croit engagé dans son féminisme et sa dénonciation de la religion, mais qui patine surtout dans son scénario grossier et déjà vu, ses effets redondants et éculés (jump scares à gogo) et son rythme pachydermique. Il reste une photo correcte mais qui peine à masquer le vide de ce film superficiel.
"Peur sur la ville" est un croisement opportuniste de "l'inspecteur Harry", Maurizo Merli et du Giallo (le thriller italien) qui a pour lui une musique stressante de Morricone, quelques cascades spectaculaires et un cadre urbain plutôt bien exploité. Pour le reste c'est un film très daté, qui fait vieillot, avec sa narration bancale (on perd un temps fou avec l'histoire de vendetta inintéressante sur Marcucci au point que le principal ...
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Un joli petit film un brin longuet mais qui a un charme certain grâce à un cadre assez soigné et l'excellente prestation quasi mutique de Daisy Ridley. A voir.
Malgré la bonne prestation de Zac Efron, quelques moments vaguement touchants et une reconstitution pas désagréable de l'Amérique de l'époque, un film languissant qui ne se démarque pas assez dans son genre, ni par sa forme ni par sa narration très (trop?) classique et linéaire qui déroule de façon presque mécanique les drames familiaux. Oscarisable.
Le grand spectacle est assez bluffant, avec un petit côté "Jaws" plaisant, à voir sur grand écran de préférence, mais des scènes intimistes plus mitigées qui rendent le film pas toujours impliquant et parfois longuet, avec son rythme et sa durée de deux heures un brin laborieux..
Une comédie de moeurs sympathique, plaisante, portée par la fraicheur l' énergie de Laure Calamy et par des seconds rôles assez savoureux (l'assistante dentaire, le compagnon joué par Vincent Elbaz, les différents amants) Le sujet n'est pas forcément nouveau mais le point de vue féminin adopté lui donne une relative originalité. J'ai passé un moment agréable avec ce film léger et pas idiot, le public (surtout féminin?) avait l'air ...
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Une petite série B plombée par une gestion du cadre et de l'espace aléatoire, un rythme poussif et une écriture calamiteuse cumulant personnages stéréotypés, dialogues limités et envolées dramatiques grotesques. Il reste des effets spéciaux décents compte tenu du budget visiblement modeste même si on aurait aimé un rendu plus organique, répulsif et effrayant de ces araignées et de leurs attaques.
Une idée intrigante, des acteurs plutôt convaincants, une première partie assez prometteuse mais VINCENT DOIT MOURIR souffre de quelques incohérences scénaristiques et surtout le concept de base sur la longueur se révèle redondant, le film aurait gagné à être réduit à la durée d'un moyen métrage.
Un "slasher" correct dans les limites du genre mais au final anecdotique, car Eli Roth reste un peu trop potache et sa réalisation est assez anonyme, n'ayant pas le brio des quelques maîtres de l'horreur quand il s'agit de mettre en scène la tension, la violence et l'atmosphère.
Un récit peut-être pas aussi plausible que le souhaiterait sa réalisatrice mais qui reste néanmoins prenant grâce à une écriture relativement nuancée et à la justesse de l'interprétation (Virginie Efira comme les seconds rôles)