OlivierG
Membre depuis le 10 novembre 2022
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Je voulais voir l'actrice Laura San Giacomo dans un premier rôle mais l'histoire m'a déçu, le scénario est trop prévisible malgré la présence de bons acteurs et la fin n'est pas du tout crédible. Ca fait beaucoup pour un thriller, demain je l'aurais oublié.
La modernité du film ne se dément pas, l'avarice est toujours là et les banquiers véreux aussi. Rému au sommet, dommage que le scénario ne dérape parfois lourdement (mais que viennent faire les spéculations sur les tanks et les mitrailleuses, à moins que l'époque n'ait rattrapé le scénariste !).
Film vu en tout cas avec beaucoup de plaisir 90 ans après sa sortie en salle !
Film vu en tout cas avec beaucoup de plaisir 90 ans après sa sortie en salle !
Quel bonheur de voir ce concentré de Province dans ce dernier film de Pagnol. Il y a un tel plaisir de la langue et des mots choisis parfois en patois, une telle truculence des personnages mais une telle douceur aussi posée sur la Provence, ses habitants, sa culture, sur ses paysages. Un bel hommage enfin rendu à Daudet et à ses contes, à voir et revoir.
Plus de 40 ans après la Fièvre au corps tient encore toutes ses promesses, on continue à se damner pour Katleen Turner qui jouait son tout premier rôle, comme Mickey Rourke d'ailleurs. Je conseille vivement.
Block buster sans scénario, ressemblant à un trailer pour jeu video avec beaucoup d'images de synthèse pas convaincantes et beaucoup de bruit (n'oubliez pas les boules quiès). Que viennent faire les acteurs dans cette galère ?
C'est un Apocalypse Now au rabais où l'objectif est de liquider le président des états-unis, et ça ne semble émouvoir personne, surtout pas les critiques ... triste époque !
C'est un Apocalypse Now au rabais où l'objectif est de liquider le président des états-unis, et ça ne semble émouvoir personne, surtout pas les critiques ... triste époque !
Comédie universelle qui pose un regard acide sur les vanités humaines, chacun d'entre nous étant sensé être corruptible d'une façon ou d'une autre. Topaze passe par tous les états et finit totalement corrompu, faisant preuve d'un cynisme absolu.
Le scénario peine cependant à lui trouver un vice majeur et après les honneurs de la palme académique ce sont les femmes in finé qui deviennent les corruptrices ultimes.
Fernandel en fait un ...
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Luc Besson aurait pu réaliser ce film, on y trouve ses ingrédients préférés.
En résumé et pour les aspects positifs, une très belle photo, de l'imagination dans les costumes et personnages, beaucoup de scènes d'action assez bien fichus, des acteurs inconnus du grand public (ou presque) mais qui assurent.
pur le côté négatif, un scénario qui semble écrit par et pour des aliens, peu compréhensible pour le genre humain, une ...
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C'est le second film que je voie d'Eric Barbier après la Promesse de l'aube. Deux films dont j'apprécie le travail d'écriture de scénario à partir de 2 grands romans, pas simple comme exercice. Surtout qu'ici l'histoire est plus compliquée à raconter. Qui connait le Burundi et le Ruanda ces deux pays siamois aux histoires parallèles excepté par le prisme des massacres des années 90 ?
Le réalisateur choisi de regarder la guerre civile ...
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J'ai vu beaucoup de très bonnes idées dans ce film à commencer par l'intérét porté par Mme Fontaine au processus de création. Elle nous propose un jeu de piste amusant pour identifier les premières notes du Boléro reconnaissables dans diverses situations. Ceci j'usqu'à l'éclosion finale du morceau même si on peut regretter que quasiment rien ne soit dit sur l'orchestration sublime qui accompagne les quelques notes intiales et qui en ...
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La justice réparative porte en elle beaucoup d'espoirs et le film rapporte bien cette tentative de dialoguer pour pallier les limites d'une justice trop souvent encombrée par ses rouages et la froideur de ses procédures.
Est-ce encore du cinéma ? On est là très près d'un reportage même si la parole est portée par des acteurs professionnels. Ce sera le seul bémole, j'aurais souhaité aussi la participation de vrais témoins pour ces ...
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Les films de Thomas Salvadore sont envoutants et très intelligents. On pourrait les résumer par la question "qu'est-ce que peut mon corps dans la nature". Ici c'est l'eau qui fait réagir le corps et l'esprit de Thomas, demain se sera "la Montagne", et après demain le feu ?
Ces films sont très actuels en fin de compte, ils nous interrogent sur notre rapport à la nature tout en étant divertissants et un brin surnaturel. Gageons que si Thomas ...
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Les films de Thomas Salvadore sont envoutants et très intelligents. On pourrait les résumer par la question "qu'est-ce que peut mon corps dans la nature". Ici c'est la montagne qui fait réagir le corps et l'esprit de Thomas, hier c'était l'eau ("Vincent n'a pas d'écaille"), et demain le feu ?
Ces films sont très actuels en fin de compte, ils nous interrogent sur notre rapport à la nature tout en étant divertissants et un brin surnaturel. ...
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"des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs", là il faudra m'expliquer à quels moments la sensibilité des spectateurs pourrait être heurté ? Le plus compliqué étant sans doute de situer les personnages nombreux dans le film. Mais le réalisateur nous y aide bien après un fantastique travail d'écriture de scénarion avec un découpage qui semble ampiété sur le roman suivant de Frank Herbert, ...
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Couple peu attachant, gamins insuportables (le fils Théo en particulier), histoire d'amour peu crédible. C'est cependant bien filmé en particulier les scènes d'amour physique. C'est amusant de penser que dans quelques années on montrera du doigt la réalisatrice, comme Benoit Jacquot aujourd'hui, pour dénoncer pourquoi pas l'emprise des femmes mûres sur les adolescents. La roue tourne même quand elle ne tourne pas dans le bon sens !
A quel moment Dupontel s'est-il aperçu que son film est un gros navet bien populiste ? Avent le tournage, pendant ? J'adore généralement ses films pour être extrèmement déçu par celui-ci. Le scénario est un bloubiboulga sans aucun sens si ce n'est de proclamer le "tous pourri" qu'apparement certains spectateurs ont repris à leur compte, triste époque.
Mais à quoi bon tout ça ? Ok la caméra ne rentre pas dans Aushwitz, même si "le fils de Saul" à montré qu'on peut le faire avec d'extrèmes précautions. Plus embétant, on en est tenu éloigné nous aussi par un montage et une mise en scène assez sophistiqués mais qui n'ont provoqué ni émotion ni réflexion de fond me concernant en tout cas. Il manque trop d'éléments factuels pour donner corps véritablement à cette idée (bonne ...
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Ah si tous les faits divers pouvaient être traités de cette façon ! Le jeu des deux actrices est grandiose. Qui trompe qui ? qui abuse de la confiance de qui entre l'actrice et l'héroïne de faits divers ? Jusqu'au bout nous serons menés en bateau et le jeu ambigüe de Natalie Portman lui vaudra surement un Oscar prochainement.
Il y a un aussi autre film dans le film avec la prise de conscience douloureuse du père au moment où ses enfants ...
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Ce que je trouve le plus interessant dans ce film c'est certainement la métamorphose de Marylin Monroe en icône du cinéma.
On ne la reconnait pas vraiment au début, c'est une très jeune femme qui chante dans un cabaret perdu et qui semble à peine avoir 18 ans avec une candeur quasi enfantine. Tout au long du film elle va se transformer moralement et physiquement, portée par le scénarion subtile de Preminger. Elle dit au début ne pas ...
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1930, je dois relire fois la date e réalisation du film, c'est à peine croyable. Le mélange de scènes couleurs et noir&blanc, la succession des plans larges et serrés ainsi que le montage serré des scènes d'action en font même un film quasi expérimental très en avance sur son temps. Sans parler de la scène hallucinante dans le dirigeable où les soldats obéissent comme des robots aux ordres suicidaires qu'ils recoivent.
G. Lucas ...
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Alemagne année zéro, c'est exactement l'idée qui vient en tête à la toute fin du film.
On aimerait en savoir d'avantage sur la reconstruction de la ville mais ce ne sont pas les films de Billy Wilder, "la scandaleuse de Berlin", ou de Jacques Tourneur, "Berlin Express", tournés un an plus tard toujours dans les ruines de Berlin qui nous en apprendront d'avantage. Il y aura peut-être juste un peu moins de gravas dans les rues mais les ...
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Quel choc, ce film plus de 70 ans après sa sortie est toujours bouleversant de vérité.
Bien sûr la pauvreté n'est plus aussi criyante en France en tout cas, les très riches ont appris à communiquer et nous avons remplacé la confrontation brutale des rapports de classe par une ère de glaciation relationnelle, une athrophie des rapports humains spoiler: que préfigure l'hospitalisation de cette grande bourgeoise dans un asile ...
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Un hommage rendu à toutes les femmes humiliées et violées de toutes les guerres. Sophia trouve là un personnage dans lequel elle va complètement se sublimer et Jean-Paul un emploi des plus surprenant en jeune intellectuel sensible et courageux.
Très grand film de Wilder, sombre, clairevoyant et moralement toujours aussi juste.
Sombre car l'humanité est dépeinte sans conscession, personne ne s'en sort indemne, exceptés les indiens peut-être (mais eux ils subissent et semblent exempts de toute corruption).
Clairevoyant car la critique de la presse à sensation est toujours d'actualité, de la presse tout court d'ailleurs quand on ne peut que constater le voyeurisme actuel des ...
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Le contexte de l'histoire s'avère des plus passionnant sous la caméra de Wilder même si le départ en trompette sous forme de comédie n'est pas sans provoquer un certain malaise, surtout quand on connait la dureté des conditions de vie des berlinois à cette époque et celles des femmes en particulier. Combien de morts de civils à Berlin 3 ans plus tôt ?100.000, 200.000 ?
La visite de la ville au tout début est juste sidérante. Ville ...
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Après le bon Victoria ce film ressemble à une decente aux enfers avec une Effira peu crédible, il y a là manifestement une erreur de casting. Ne tirons pas sur les ambulances, il n'y a plus qu'à espérer que ce ne soit qu'une simple sortie de route en attendant la suitr.
Attention chef d'oeuvre noir et baroque mais chef d'oeuvre à la ruscoff, âpre, dur et terriblement humain dans la démeusure.
spoiler: Un père qui ne sait plus quoi penser de son fils accusé de traitrise. Un fils qui comprend que son père a été assassiné et qui décide qu'il est aburde de croire au rachat de son tortionnaire. Un homme persuadé d'avoir dénoncé sa femme et qui préfère se pendre
. Les portraits se succèdent ...
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Je retiendrai une seue image de ce film foutraque, l'instant furtif où la silhouette de l'âne se fond dans les étoiles. Trop court pour s'en souvenir, demain je l'aurais oublié.
Quel regret de ne pas avoir apprécié d'avantage ce film mais le scénario n'est malheureusement pas crédible et la fin strictement incompréhensible sans explication sur le sens du dernier échange avec le cheik aveugle.
Et quel rapport avec le film le Nom de la rose ? je n'en vois aucun excepté que l'histoire se déroule dans un lieu religieux, c'est un peu faible.
Et quel rapport avec le film le Nom de la rose ? je n'en vois aucun excepté que l'histoire se déroule dans un lieu religieux, c'est un peu faible.
Ce film est chinois mais il aurait pu tout aussi bien être filmé aileurs, au Pérou par exemple, pays visité recemment et où la situtation des paysans est au moins aussi rude. Ce qui permet de rappeler que la Chine, malgré ce que son gouvernement voudrait occulter, reste un pays essentiellement rural aux conditions de travail précaires où le moindre handicape peut être fatal.
Un autre sujet très présent est celui de l'argent, ...
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Certainement le film le plus abouti sur la vie de la princesse Diana. Musique extraordinaire et très beaux effets de caméra. Pablo Larrain est un maitre en la matière, je prends le pari que dans quelques années son film sera adulé par les cinéphiles, il faut juste qu'il trouve son public.