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Cécile Ducrocq, dans son 1er film, s'empare de cette histoire simple et si contemporaine, à travers un personnage de femme forte et attachante, qui refuse d'être une victime, joué avec maestria par Laure Calami.
Cette fable sociétale et familiale, sans tabou, ne sombre jamais dans le pathos ni le misérabilisme
.
Laure Calamy, dans son premier grand rôle dramatique est époustouflante !
Elle est débordante d’enthousiasme et de sincérité : elle aligne énergie, force et fragilité tout à la fois, avec fierté et insolence. Elle inspire une grande compassion et une humanité pour ces vies invisibles, » à la marge » de la société, pleines de souffrances dans le silence.
On en oublierait le personnage d’Adrien, tantôt révolté, tantôt atomisé par la vie et la personnalité de cette mère aimante. Celle qui dure et blessée, fracassée et mordante, endosse définitivement les codes si complexes de ce métier et la beauté rare de l’actrice populaire.
Cette fable sociétale et familiale, sans tabou, ne sombre jamais dans le pathos ni le misérabilisme
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Laure Calamy, dans son premier grand rôle dramatique est époustouflante !
Elle est débordante d’enthousiasme et de sincérité : elle aligne énergie, force et fragilité tout à la fois, avec fierté et insolence. Elle inspire une grande compassion et une humanité pour ces vies invisibles, » à la marge » de la société, pleines de souffrances dans le silence.
On en oublierait le personnage d’Adrien, tantôt révolté, tantôt atomisé par la vie et la personnalité de cette mère aimante. Celle qui dure et blessée, fracassée et mordante, endosse définitivement les codes si complexes de ce métier et la beauté rare de l’actrice populaire.