Mcg ses critiques films

C’est un bon film, très intrigant et sombre. L’épilogue est un peu surprenant parce qu’il ne suit pas la même dynamique que le reste du film.

C'est un film intéressant et réussi parce qu'il ne se limite pas à un portrait moral du « héros » Bob Dylan, mais se concentre sur des enjeux esthétiques qui mêlent des questions politiques et économiques - l'évolution du mouvement folk et l'émergence d'une société de masse dans l'industrie musicale. Tout cela montre les relations intimes entre la culture populaire américaine et les bouleversements sociaux de l'époque. Les seuls ...
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C'est dommage. C'est un bon film, ce n’est pas un film déshonnête, mais l'ensemble de la mise en scène en dit plus sur son auteur que sur le monde auquel il tente de donner une voix. La réflexion sur la transition de genre finit par être trop allégorique, peu ancrée dans l’histoire de violence du Mexique. À la fin, cette manière allégorique de raconter les choses semble étouffer toute possibilité politique de les changer.

Le film tente de montrer la banalité du mal mais finit par montrer la banalité de l'art cinématographique. Le mimétisme entre la froideur morale des personnages et la froideur de la mise en scène ne fonctionne tout simplement pas. C'est un film qui ne sait pas trancher entre symbolisme et réalisme : c'est cette hésitation qui fait son échec.

Le film a du mérite car il réussit à problématiser l’Église catholique en montrant son aspect terrenal et politique (très éloigné du divin) sans pour autant manquer du respect à la foi et croyance catholiques.

C’est un film vitaliste, et très beau. Les yeux des comédiennes y brillent. Les personnages s’y battent sans haine.

Vu en Espagne. Le film est « potable », les attentes étaient très faibles après le film catastrophique sur Berlusconi. Les acteurs s'améliorent au fur et à mesure que le film avance. La structure narrative ressemble beaucoup (trop) à l’Amica geniale d'Elena Ferrante. Quelques références à Fellini pour filmer sa ville natale mais au final ce sont trop de clichés sur Naples qui n'approfondissent rien (comme toujours, Sorrentino ne ...
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