Juliette Lf ses critiques films

J'ai découvert ce film en avant-première dans le cadre du festival rennais 'Travelling' et, si j'ignorais à quoi m'attendre, je dois dire que j'ai finalement été très agréablement surprise. Les premiers pas dans le récit sont un peu lents, mais on se laisse ensuite porter par l'intrigue, grâce à un scénario original, une photographie remarquable, et une interprétation si juste de la pudeur des sentiments. Dans les décors d'une ville ...
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Pas mal. C’est tout ce que m’a inspiré ce film. Très beaux paysages irlandais certes, mais c’est un peu facile de se reposer uniquement sur ça pour faire un bon film. Je n’ai tout simplement pas trop aimé l’histoire, que je trouve peu crédible. Il y a certes des sujets intéressants qui sont abordés, mais ça manque clairement de pep’s. La belle place laissée aux animaux (de véritables protagonistes) a en revanche réchauffé mon p’tit cœur.

Un film avec des jolis plans et scènes naturelles, lent, très sobre en dialogue, qui nous oblige à réfléchir pour comprendre ce qui est en jeu, ainsi que la nature des émotions vécues par les protaganistes. En surface on pense avoir tout compris, mais dans le fond, à moins de vivre dans leur peau, on se demande ce que ressentent et pensent réellement Margaret, Joe et les autres. Eux-même ne le savent peut-être pas vraiment. Comme ...
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J’ai adoré l’expérience immersive procurée par Bird et permise par une réalisation originale (caméra embarquée, subjectivité du scénario, flash-back express, sons « in situ »). Les lieux et le casting savamment choisis rendent d’autant plus authentique l’histoire. Émouvant et poétique, ce film m’aura même fait rire à plusieurs reprises, et ce malgré la dureté des épreuves vécues par Bailey.
Chapeau a l’actrice pour son premier film !

Au bout de 10 minutes de film, j’ai compris que la réalisation avait été bâclée. C’est dommage parce qu’avec Kate Winslet comme premier rôle, je partais plutôt confiante. Mais les scènes s’enchaînent et n’ont aucun sens. La bande son est pauvre et clichée. Tout est assez mal amené, les dialogues sont creux, et au mieux sont « pratiques » (descriptifs). En fait, j’ai trouvé ça mal joué et/ou surjoué, le casting ...
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This is America. Ou plutôt this is what America allows for. Ali Abassi nous plonge dans le New York des années 70-80, où Trump aspire à son ascension. En quête de reconnaissance et de grandeur, et alors qu’il fait encore preuve d’un minimum de décence morale, il trouve auprès de Roy Cohn un mentor qualifié et sans pitié. Le bien, le mal ? Qu’est-ce, si ce n’est qu’une construction sociale ? Ce biopic bien rythmé nous montre ...
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Je n'ai pas osé voir ce film au cinéma, car j'ai avais eu très peur de me sentir mal à l'aise, étant une femme, d'assister à des souffrances que je pourrais trop bien connaître ou comprendre. Disponible quelques jours sur France TV et au vu de la note globale du film, je me suis lancée, et je ne regrette pas ! "Une grossesse non désirée, voilà ce que c'est, voilà la souffrance (psychique, physique) des femmes qu'on dépossède de ...
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Un des films les plus lents qui m’ait été donné de voir. Je commence à comprendre que c’est une des marques de fabrique du cinéma d’auteur taiwanais. Le temps, la flânerie, le silence, les sous-entendus, l’incitation à la libre-interprétation des spectateurs et spectatrices, malgré quelques indices laissés par ci par là par le réalisateur. Dans Goodbye Dragon Inn, attendez vous à un dialogue tous les 40 minutes (cela fait 2 ...
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Ce préquel relève le niveau des deux derniers de la série. Je crois même l'avoir préféré au 1 et 2. J'ai apprécié la maturité, les décors et les costumes plus sombres tout en restant créatifs et fidèles à l'univers des Hunger games. Je salue la qualité de l'acting de Tom Blyth et Rachel Zegler, ainsi que le reste du casting qui ont rendu ce film très crédible dans l'ensemble. Certains scènes m'ont tout de même paru ...
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Le scénario « vengeance » de la facilité, des dialogues hyper clichés et très paternalistes « le père protège la famille », et americanisés « yes, sir ! » pour répondre à son père… l’éducation des Sully ne s’imprègne pas du tout de la culture omatikaya et c’est vraiment décevant. Bien sûr, c’est beau, mais ça on s’y attendait. Après 13 ans d’attente pour une fan inconditionnelle du premier Avatar, ...
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