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À défaut de voir un bon remake, j'attendais, au moins de cette nouvelle version un plaisir coupable.
Face au spectacle proposé, nous comprenons rapidement qu'il n'en sera rien. Entre des situations téléphonées qui ne servent qu'à faire avancer le récit et des enjeux peu clairs (le méchant, c'est qui ? en quoi constitue-t-il une menace ?) , The Crow 2024 se brise les ailes. D'ailleurs, où est le corbeau ? Rarement, il est question de ...
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Soufflant le chaud et le froid, Romulus permet une transition entre Alien et Prometheus en siphonnant ici ou là, des idées vues précédemment dans les autres épisodes. Si le fan service est appréciable, il est parfois "too much"...inutile le deep fake d'un comédien disparu du film original, tout comme les "punch lines" tirés d'autres volets dont la cohérence contextuelle est ridicule au possible. Reste de beaux décors et l'impression ...
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Etrange paradoxe que ce film, visuellement accrocheur mais dans lequel tout est laid : les acteurs, l'histoire, les personnages (avec lesquels nous n'avons aucune empathie. Pour paraphraser ce que j'ai lu ailleurs : an ugly film for ugly times.
Retour inattendu pour La Malédiction, presque 20 ans après un remake dispensable et plusieurs suites (et une série) discutables, la saga semble courir éternellement vers l'oeuvre originale de Donner et quoi de mieux qu'un préquel pour raccrocher directement à ce film culte.
Arkasha Stevenson fait preuve d'audace avec de vraies idées de mise en scène et des fulgurances horrifiques mais englué dans un rythme pantouflard et peu aidé par ...
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Plaisir coupable par excellence, ce Godzilla x Kong n'apporte hélas pas grand chose à la franchise.
Au-delà d'une abondance de CGI digne d'une PS5, les enjeux arrivent bien trop tard et le scénario semble vouloir meubler jusqu'au dénouement avec des sous-intrigues navrantes spoiler: (Kong a une rage de dent, la fillette retrouve sa tribu, Godzilla fait le "plein"...)
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Si le film déborde de moyens, il semble avoir peu d'envies ...
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Un épisode "too much" qui suit une sorte de mode qui tend à la marvelisation des franchises : plein de persos (ça peut servir), de sous-intrigues (du coup mal développées), une écriture expédiée (Venkman qui revient comme un cheveu dans la soupe, un ennemi tardif...) qui recycle les mêmes thématiques et qui étire inutilement le film, un produit trop familial : des mini mashamallow qui font des conneries comme les...petits gremlins 40 ...
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Arrivé au bon vieux temps des suites qui s'enchainaient en direct to video pour le plaisir des vidéo clubs, Best of the best 3 est un produit d'exploitation très scolaire et sans lumière. Premier film de "LA" star de la franchise, Philipe Rhee, ce troisième opus bénéficie étonnamment d'une mise en scène bien plus cohérente que l'opus précédent (pourtant sorti au ciné).
Malgré son scénario complètement inepte (des nazis qui ...
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Voilà un moment que l'on a pas vu un petit thriller à la Seven : sombre et angoissant. Pas de bol, ce n'est pas Damaged qui va nous rassasier.
Se déroulant au Royaume-Uni, le film rappelle tout autant les séries britanniques diffusées sur France 3. Le réalisateur, Terry Mc Donough n'ayant bossé que pour la télévision, cela transpire dans son style : photographie terme, plans très télévisuels et réalisation mollassonne.
Pire, comme ...
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La Nonne a-t-il fait des émules au point de motiver les producteurs à relancer les films de genre clérical ?
Portée par l'actrice en vogue du moment, Sydney Sweeney, plutôt convaincante, l'oeuvre se place comme un film modeste dont le reste du casting est relativement méconnu et dont l'empreinte visuelle se place vers les productions génériques type Netflix. Au-delà de ses problèmes de rythme, le long-métrage souffre d'une écriture ...
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Généreuse série B, vantant le soft power américain mais de façon (un peu) moins manichéenne et naïve que beaucoup d'autres films hollywoodiens (les ricains ne gagnent pas à la fin), Best of the best reste un excellent souvenir de la fin des années 80. On espérait que sa suite soit du même acabit et marque sympathiquement le début des années 90.
Dès le départ, ça part mal : un générique ringard qui reprend les images du film ...
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Premier rôle de Brandon Lee en tant qu'interprète principal d'un long-métrage, Rapid Fire est l'une de ces séries B qui sent bon le début des années 90 mais que le temps à effacer abruptement des mémoires.
Réalisé par Dwight H.Little, real' souvent moqué et dont la filmographie est quelque peu semblable à celle d'un "Yes man" (de Halloween 4 à...Sauvez Willy 2 en passant par Tekken), il a néanmoins oeuvré efficacement dans le ...
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Que reste-t-il de l'énorme classique kitchouille des années 80 ?
C'est la question que l'on se pose après avoir regardé ce nouveau massacre cuvée XXIème siècle.
L'original ne racontait pas grand chose, mais il avait le bon goût d'être fun et avait pour lui une ENORME côte de sympathie.
Ici, on ne s'attache guère aux protagonistes, tous aseptisés, peu ou mal développés (le MMA, ça sert à quoi ?). Evidemment, on est en 2024, alors ...
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Un sujet sulfureux, casse-gueule pour un film maîtrisé qui ose l'immontrable.
Jean-Paul Rouve sort de ses rôles quelconques et livre une prestation "césarisable" (pourquoi aucune nomination?), au même titre que le reste du casting qui nivèle vers le haut. Traînant peut-être en longueur, le long-métrage n'en est pas moins un uppercut, violent et contrôlé.
Jean-Paul Rouve sort de ses rôles quelconques et livre une prestation "césarisable" (pourquoi aucune nomination?), au même titre que le reste du casting qui nivèle vers le haut. Traînant peut-être en longueur, le long-métrage n'en est pas moins un uppercut, violent et contrôlé.
Un film sur la vie, ses hauts, ses bas, ses malheurs, ses douleurs. Poignant, inoubliable et magnifiquement interprété.
Une promesse intéressante, une photographie élégante puis...rien.
Une distribution woke sans cohérence, une satire sociale peu pertinente, un rythme bâtard et lassant.
Reste Keira Knightley...mais ça ne fait pas un bon film.
Une distribution woke sans cohérence, une satire sociale peu pertinente, un rythme bâtard et lassant.
Reste Keira Knightley...mais ça ne fait pas un bon film.
Bâtiment 5 est un choc...malsain !
Durant près d'1h40, le malaise est permanent : entre un fond idéologique douteux, des personnages caricaturaux et une histoire éculée, le film s'enfonce dans un manichéisme faussement pertinent. En outre, la qualité globale de la réalisation ne parvient guère à relever le fond, la mise en scène se révélant souvent boiteuse et la photographie digne d'un téléfilm de France 3.
Durant près d'1h40, le malaise est permanent : entre un fond idéologique douteux, des personnages caricaturaux et une histoire éculée, le film s'enfonce dans un manichéisme faussement pertinent. En outre, la qualité globale de la réalisation ne parvient guère à relever le fond, la mise en scène se révélant souvent boiteuse et la photographie digne d'un téléfilm de France 3.
Soyons bref : encore un thriller qui veut se la jouer à la Nolan. Avec un beau budget (70 millions), un casting potable et des effets visuels à gogo, le long-métrage plonge dans un récit faussement sophistiqué. On s'ennuie beaucoup, et on a l'impression d'avoir déjà vu cette oeuvre au dénouement hélas prévisible. Un "Robert Rodriguez" décevant, qui, lorsqu'il n'a pas Cameron pour l'épauler peine dans la SF...
Formule éculée et perte de vitesse au box-office depuis plusieurs épisodes, la franchises SAW revient à ses fondements : Jingsaw. En humanisant son personnage et en lui donnant une origine story intéressante et développée, la saga s'offre un épisode plus intéressant que précédemment. Tobin Bell n'a jamais eu un temps de présence aussi conséquent.
Malgré tout, l'intrigue retombe dans sa seconde partie et s'offre des rebondissements ...
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Sorti dans une certaine indifférence et défoncé par la critique, ce quatrième opus n'est pourtant qu'à peine pire des autres épisodes de la saga. Le scénario tient sur une ligne, les nombreux personnages secondaires ne sont là que pour mettre en valeur les 2/3 têtes d'affiche et les scènes d'actions sont toujours aussi frustrantes car expédiées à la va-vite. Mais, qu'importe, "Expend4bles" est un spectacle coupable et régressif. ...
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Devenu le "Yes man" de la saga Conjuring, Michael Chaves revient à la barque de la franchise pour s'attaquer à la La Nonne 2. Personnage à haut potentiel mais misérablement exploité dans un premier film médiocre.
Dès lors, on pouvait craindre le pire pour cette suite, d'autant que Chaves ne s'est pas illustré précédemment avec d'excellents métrages.
Les craintes se confirment vite tant l'écriture se révèle calamiteuse. Les ...
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Après des décennies d'emprise de Dimensions pictures et des frères Weinstein, Hellraiser ait parvenu à s'extirper de cet enfer pour se loger chez Disney (via sa plate-forme Hulu). Retour à zéro et dépoussiérage complet pour la saga qui repart de zéro et se destine autant aux habitués qu'aux nouveaux venus.
Hélas, comme jadis, les américains ne semblent guère comprendre ou vouloir entretenir l'héritage de Clive Barker. Exit donc ...
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Voilà trop longtemps que le diable se joue de la franchise The Exorcist. Après avoir délivré un chef d'oeuvre absolu en 1974, la saga peine a recréé un continuum avec des suites inutiles à un film qui se suffit à lui-même.
En confiance, depuis sa suite reboot d’Halloween en 2018, David Gordon Green se voit confier le droit de mettre en chantier la « nouvelle » suite directe du film de Friedkin.
Hélas, passé le premier quart ...
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Après un remake tiédasse, la Paramount lance une nouvelle suite, sans passer par la case ciné.
Alors qu'il doit quitter sa vile natale, Jud Crandall et sa douce passent, par hasard, chez un ancien ami tout juste revenu du Vietnam. Mais celui-ci semble avoir changé...
Se voulant être une préquelle aux évènements de son prédécesseur, ce nouveau film est aussi long et difficile que la route nous menant au fameux "simetierre". L'histoire ...
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Une histoire originale qui, sombre vite dans l'abracadabrant.
En effet, progressivement, on peine à croire à cet "homme de la cave", terré et vivant comme un ermite.
Plus inquiétant, la malveillance gagne les personnes principaux : le couple, le frère, les avocats, tous veulent faire payer le semi-clochard du sous sol : violence, coup-bas, stratagèmes douteux. Au final, le spectateur a presque plus d'empathie pour le personne qu'il devrait ...
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Une histoire intéressante malmenée par une mise en scène soporifique digne d'un téléfilm du samedi soir sur France 3.
Dommage, pour une fois qu'un film français proposait un sujet original et un...angle fantastique.
Dommage, pour une fois qu'un film français proposait un sujet original et un...angle fantastique.
Inspiré du récit autobiographique du même nom de Sylvain tesson, le film de Denis Imbert est une ode à la simplicité. Un histoire "ordinaire", pas d'effets grandiloquents et la nature, belle et dense, pour décor naturel. Un chemin qui appelle à la sobriété et à l'introspection dans lequel chacun trouvera une grille de compréhension personnelle. Même si l'ouvrage est sans doute un meilleur guide, son adaptation filmique est plus qu'honnête.
Flash, l'homme le plus rapide au monde, est le symbole parfait pour résumer le DCU.
Voilà près de dix ans que DC et Warner courent après le succès de Marvel. Pour rattraper le train en marche, les scénaristes ont fait intervenir une multitude de personnages afin de créer un univers à vitesse grand V en faisant fi, parfois d'une certaine cohérence et en abusant volontiers de raccourcis scénaristiques.
Avec des résultats commerciaux ...
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Un titre prometteur qui cache un film plus que quelconque.
La distribution n'est guère à la hauteur d'une telle histoire. Difficile d'apporter une quelconque tension sexuelle quand on voit des noms comme ceux de Ramzi, Denis Podalydès ou Jean-Paul Rouve...
Heureusement, le casting féminin sauve les meubles mais les couples formés à l'écran ne sont pas crédibles pour un sou.
Les metteurs en scène qui se succèdent ne semble jamais croire ...
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A l'image de beaucoup de franchises qui s'éternisent, Transformers enchaine les épisodes sans grand logique scénaristique.
Ce dernier film consomme encore un nouveau casting, exit Shia Laboeuf et Mark Wahlberg,et place à des têtes d'affiche moins connues et 100% inclusives, histoire de se convenir au cahier des charges woke des temps modernes (d'où le bide au box office ?). Le reste est sans surprise, un spectacle régressif, ponctué des ...
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Le temps passe et n'affecte pas l'adaptation de Jean-Jacques Annaud malgré les décennies.
Le cinéaste parvient, le temps d'un film, à figer le temps et à retranscrire l'atmosphère de l'Indochine française. Car, de beauTé esthétique, il en est bien question dans ce long métrage qui magnifie la relation amoureuse.
Toutefois, Annaud peine avec le reste de l'intrigue, du rythme et ne parvient jamais à insuffler à son film un second ...
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Un postulat de départ intéressant et puis...que dalle !
Une réalisation fade, des acteurs poussifs, des clichés navrants sur la banlieue et surtout, de l'ennui, des longueurs, des bâillements...
Bref, le cinéma français se rate encore dans le domaine du fantastique. Triste.
Une réalisation fade, des acteurs poussifs, des clichés navrants sur la banlieue et surtout, de l'ennui, des longueurs, des bâillements...
Bref, le cinéma français se rate encore dans le domaine du fantastique. Triste.
Cette volonté de Disney d'adapter ses classiques en prises réelles atteint ici ses limites.
Au-delà de l'intérêt...limité de la chose (déjà-vu), le film se rate dans le fond comme dans la forme.
D'une part, pourquoi cette citation (tirée du conte) et cette ouverture plus "sombre et mature" si c'est pour nous offrir la même mièvrerie que celle du dessin-animé? Une indécision qui s'exprime à l'écran à travers la photographie qui, ...
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Film intimiste entre le drame et le film d'épouvante, l'oeuvre de Kavanagh est une petite surprise qui revisite avec un regard intéressant le film de zombie. Toutefois, le metteur en scène peine à maîtriser sa narration, et le film s'étale dans la longueur. En outre, difficile de ne pas penser à un certain The Omen de Richard Donner dans sa conclusion. Des imperfections certaines qui empêchent sans doute le film de tenir ses promesses ...
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C'est un fait, cette trilogie Halloween a les mêmes défauts que la dernière salve dérivée de Star Wars. Un rachat en grande pompe (par Blumhouse), une production rapide, mais aucune idée directrice. Si le deuxième opus partait dans tous les sens, cette ultime volet surprend par sa direction. "The shape" rôde mais n'est que rarement présent, et il est difficile de ne pas faire un parallèle avec Halloween 5, 6 ou Vendredi 13 chapitre 5. ...
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Vingt minutes prometteuses, un générique des grandes heures et puis...le bordel !
D'une part les protagonistes. Entre la nostalgie qui pousse à faire revenir des personnages passés, et l'envie de donner au spectateur ce qu'il veut (3x plus de victimes), le film enchaîne comme jamais les victimes. Le hic, c'est que ceux-ci n'apportent rien à l'histoire, ils sont là pour accumuler le bilan comptable de Myers, nous n'avons guère le temps de ...
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Adapter le roman autobiographique de Tesson est une excellente idée mais il est, selon moi, regrettable que le long-métrage n'ait que l'ambition visuelle d'un téléfilm. Sans être laide, la photographie n'est hélas jamais à la hauteur d'un tel spectacle et les photos promo sont souvent plus convaincantes que le film lui-même (au cachet visuel très "france 3").
Dommage. Pour le reste, une belle histoire, pour laquelle on préfèrera quand ...
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