Films
SériesEmissions
"Oeuvre" qui tord le coup à la vérité historique en faisant preuve d'un manichéisme que l'on aurait pensé disparu. Mais qu'importe, semble-t-il, puisque nombre de spectateurs n'ont aucune connaissance de l'histoire de notre pays et, de plus, ne sont pas disposés à remettre en question un film ou un roman qui va à l'encontre de leurs convictions.
Mais plus grave encore, cette "oeuvre" peut difficilement se rattacher au véritable cinéma ...
Lire plus
Lire plus
Peut-on parler encore de cinéma à propos de ce film insupportable et profondément ennuyeux ? Je n'avais pas vu le premier mais pour celui-ci, que je suis allé voir pour accompagner une personne handicapée, le visionnage de la bande annonce était largement suffisant ! Parenthèse, la personne que j'accompagnais a été déçue car elle s'attendait à quelque chose de drôle et sympa. Tirez le rideau !
Après Baccalureat et surtout l'extraordinaire Quatre semaines, on attendait beaucoup de R.M.N précédé d'une critique élogieuse. Pour moi, ce film est extrêmement décevant. On retrouve la patte cinématographique de Christian Mungu avec de magnifiques plans d'intérieurs et aussi de paysages. Le fameux plan séquence de 17 minutes est très surfait. Ce qui ne va pas, c'est l'écriture du scénario ou "qui trop embrasse mal étreint". Les ...
Lire plus
Lire plus
Bon, que dire ? S'agissant d'un biopic sur Simone Veil, j'aurais aimé dire des choses positives. Hélas ! Là, il n'y rien à sauver de ce monument d'ennui consternant. Scénario médiocre avec des retours en arrière innoportuns. Elsa Zylberstein est complètement passée à côté de son sujet. Le reste de la distribution est pareil, sans relief, à part Torreton. La mise en scène de Dahan, qui se fait donc une spécialité des biopics, est ...
Lire plus
Lire plus
Vu hier soir sur Netflix. Je suis habitué aux séries et aux films indiens dont certains sont extrêmement bien faits. Si, et si seulement, on est habitué à ce que révèlent ces films de la société indienne, hyperhierarchisee et hypercorrompue, et aussi au style toujours un peu boursouflé de leurs dialogues et de leur mise en scène, CBI 5 n'est pas désagréable quoique un peu long. Ah, la VO est en malayam, la langue parlée au Kerala ...
Lire plus
Lire plus
Au départ un sujet en or : en 1940, la découverte fortuite par un négociant japonais en voyage en Mandchourie, occupée par le Japon, des horreurs perpétrées par l'unité 731 de l'armée impériale et la volonté de ce négociant de faire passer aux Américains les preuves de ces crimes de guerre. A l'arrivée un ratage complet donnant l'impression que Kurozawa se debarassait vite faite de son film, qui sera pourtant primé à Venise. Ce qui ...
Lire plus
Lire plus