gerard stevenson
Membre depuis le 2 décembre 2020
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N'ayant pas lu l'oeuvre de Tolkien, je ne pourrai dire si ce film de Peter Jackson est fidèle ou pas. Et c'est donc vierge de toutes références que je suis ce film. Ce qui ressort ce sont les superbes décors (naturel, en studio ou de synthèse). En ce qui concerne la synthèse, quelques incrustations ont mal vieillies du fait qu'elles sont un peu trop visibles.
Au niveau du scénario, c'est bien structuré. L'histoire fantastique se suit ...
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Les inconnus accompagnés de Smain et Seymour Brussel : voilà la base de ce film. Dans cette parodie des films noirs américains, les 5 compères apportent leur monde se basant sur l'absurde. Les gags ne volent pas très haut. Mais cela n'a pas empêché des guests (JC Brialy, Michel Galabru, Michel Constantin...) d'y participer.
Film vite vu et qui sera vite oublié.
Film vite vu et qui sera vite oublié.
"Mon meilleur ami" film de Patrice Leconte philosophe sur ce qu'est l'amitié, la vraie. Le film est bien servi par un casting approprié. Daniel Auteuil excellent. Dany boon parfait dans la sobriété (moins sur la partie "qui veut gagner des millions" où il ressort son jeu du gars timide trouillard à fond).
Un divertissement correct.
Un divertissement correct.
Adapter en film la série "Starsky et Hutch" ainsi est irrespectueux. La série avait un aspect cool. Ici, on est sur du potache. Evident quand on voit le casting (Ben Stiller, Owen Wilson, Vince Vaughn, Will Ferrell...)
Etre autant de scénariste pour cela.
Etre autant de scénariste pour cela.
Rien à redire sur la prestations des acteurs (Tom Hanks, Helena Zengel qui joue la petite fille, ....)
Rien à redire sur la réalisation
Rien à redire sur les décors
Quelques petits accrocs au scénario comme lorsque spoiler: lors de la tempête de sable, Hanks et la petite fille rencontre une tribu indienne qui leur donnera un cheval et leur permettant de continuer leur voyage alors qu'ils étaient à pied.
Non ce qui est ...
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Avec "le marginal", Jean-Paul Belmondo endosse une nouvelle fois le rôle du flic solitaire. Qui aime Belmondo retrouvera tout ce que l'on attend de l'acteur : de l'action, des cascades (faîtes par lui), des bagarres montrant son passé de boxeur, des courses poursuites.
Le scénario est simple et déjà vu. Mais comme on ne s'ennuie pas, cela a peu d'importance.
Le scénario est simple et déjà vu. Mais comme on ne s'ennuie pas, cela a peu d'importance.
Une réussite. Avec une caméra qui rappelle un peu le "Amélie Poulain" de Jeunet, Albert Dupontel se créé un style qui sied bien à son monde de burlesque, de poésie, d'humour, d'amour.
Le casting est parfait : un trio principal : Virginie Efira, belle à souhait dans sa quête de son fils; Albert Dupontel, solide dans un rôle de coincé-anar et Nicolas Marié qui pour une fois ne me déçoit pas, sa sobriété d'aveugle clairvoyant se ...
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Film à sketchs à l'esprit corrosif. C'est appréciable d'avoir un film français avec un tel humour noir.
Alors l'argent fait il le bonheur ?
Alors l'argent fait il le bonheur ?
Mélange des visiteurs et Jumanji. Le début est mauvais de chez mauvais. Ils comprennent rapidement, trop rapidement la situation. Le jeu de tous est peu convaincant. La mise en scène est absente : c'est roue libre pour tous (Dubosc, Reno etc). Pas de sourire (sauf les scènes avec Jonathan Lambert).
Tiré de faits réels, "French connection" est un bon policier efficace. Gene Hackman est parfait en policier obstiné, bien dirigé par le réalisateur William Friedkin. Un scénario propre même si certains pourraient reprocher un peu trop de scènes de filature. Du réalisme (sauf pour le sang)
Albert Dupontel, avec son film, met la poésie là-haut. L'écriture, le scénario, les dialogues sont parfaits. La réalisation est juste. Les costumes sont nickel. Bref tout pour faire un grand film.
Mais Niels Arestrup fait du Arestrup : un vieux bourgeois bougon. Dupontel fait du Dupontel : dans ses postures, dans son langage. Laurent Lafitte est trop lisse pour jouer le sale personnage. Nahuel Perez Biscayart est transparent derrière ses ...
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Déjà, il faut arrêter de classer ce genre de film dans le genre épouvante-horreur, ce n'est pas un peu de gore (bien fait) qui le permet.
Cela commence bien avec une bonne critique de l'idiotie des blacks fridays. Après, on suit le film pour savoir qui est le méchant faiseur d'atrocités.
Le scénario et les scènes n'ont rien de novateur.
L'interprétation est lisse même celle de Patrick Dempsey.
Au final, ce n'est pas mauvais mais rien ...
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Bon, cela est tiré d'une histoire vraie. Mais cela n'est pas gage de chef d'oeuvre. Ici, nous n'avons aucune tension alors que les faits relatés pourraient nous le faire espérer. La présence de la jolie Keira Knightley dans le rôle principal n'apporte rien.
Mr Leconte, ce n'est pas parce que vous réunissez Jean-Paul Belmondo et Alain Delon et que vous faîtes quelques allusions à leur vie cinématographique passée que vous ferez un bon film.
Ainsi malgré ces 2 stars et Vanessa Paradis, nous avons droit à une petite comédie. Scénario avec ces truands russes (et colombiens) ridicule.
Le résultat final est une déception et fait tâche dans la filmographie de chacun(e) (réalisateur ou comédiens)
Ainsi malgré ces 2 stars et Vanessa Paradis, nous avons droit à une petite comédie. Scénario avec ces truands russes (et colombiens) ridicule.
Le résultat final est une déception et fait tâche dans la filmographie de chacun(e) (réalisateur ou comédiens)
De part l'image et l'interprétation, ce pseudo thriller-épouvante a tout du téléfilm. Cette histoire de clone n'a rien d'emballant même avec un Robert De Niro. Et cette fin bâclée et expédiée est ennuyeuse.
Joli casting (Dupontel, Lanners, Rabioukine, Rebbot, Abelanski...) pour ce western moderne.
Bouli Lanners a donné à son film une teinte froide, quelques images d'un paysage de morne plaine, un rythme lent, peu de dialogues : certains n'aimeront pas, d'autres apprécieront en disant que cela donne un ton, un monde propre à cette histoire. (La recherche d'un téléphone qui fera se rencontrer multiples personnages sous fond d'une certaine ...
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Comédie romantique qui réunira les fans de Wham et de toutes ces chanteuses midinettes (Britney Spears, Shakira, Miley Cirus et consoeurs). C'est gentillet, prévisible.
Le duo Hugh Grant - Drew Barrymore fonctionne bien : lui dans ce chanteur has been avec ses habituelles mimiques de charmeur, elle dans ce rôle de naive rêveuse.
On retrouve quelques touches d'humour propres à Grant.
Le duo Hugh Grant - Drew Barrymore fonctionne bien : lui dans ce chanteur has been avec ses habituelles mimiques de charmeur, elle dans ce rôle de naive rêveuse.
On retrouve quelques touches d'humour propres à Grant.
Une bonne histoire de scénario qui s'essouffle
Des acteurs,trices bien en place pour ceux qui jouent leur propre rôle, les autres jouant un personnage fictif sont en dessous. Et c'est le cas pour Michel Blanc : bien en Michel Blanc, en roue libre en sosie de Michel Blanc.
Au final, on a une impression que la bonne idée du scénario n'a pas été exploitée à fond par Michel Blanc.
Des acteurs,trices bien en place pour ceux qui jouent leur propre rôle, les autres jouant un personnage fictif sont en dessous. Et c'est le cas pour Michel Blanc : bien en Michel Blanc, en roue libre en sosie de Michel Blanc.
Au final, on a une impression que la bonne idée du scénario n'a pas été exploitée à fond par Michel Blanc.
Ceux qui adorent Elton John, adoreront ce film. Ceux qui détestent Elton John ne visionneront jamais ce film. Les autres seront divisés. Certains apprécieront ce biopic sur le début de carrière d'Elton jusqu'au début des années 80. D'autres regretteront que ce biopic a trop d'une comédie musicale.
Avec son film, Josiane Balasko a raté quelque chose. De part son jeu qui au lieu d'attendrir, devient lourd. De part un scénario léger et convenu. Michel Blanc est bien en place dans son rôle de pharmacien bougon. Mais une fois spoiler: qu'il a pris des ecstasies
, la qualité de son interprétation chute. Cela en devient grotesque.
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C'est une petite victoire pour Mélanie Auffret que son film. Il parle de la désertification des campagnes (ici la costarmoricaine) et l'illettrisme.
C'est plein de bons sentiments et d'émotion.
Bon casting, bonne interprétation de Julia Piaton en maire-institutrice dévouée à son village et de Michel Blanc en vieux gars illettré.
C'est plein de bons sentiments et d'émotion.
Bon casting, bonne interprétation de Julia Piaton en maire-institutrice dévouée à son village et de Michel Blanc en vieux gars illettré.
Ce film d'animation co-créé par en autre Nick Park auteur des Wallace et Gromit est distrayant. Ces poules cherchant à s'échapper de leur poulailler sont plus ou moins bien modélisées. Mais cela nous empêche pas de nous amuser. Les petits spectateurs riront, auront parfois peur face aux chiens de garde. Les grands apprécieront le scénario et la bonne référence de départ au film "la grande évasion".
Voir ce film de 1980 en 2024 n'est pas à son avantage. Car il a mal vieilli étant vraiment ancré années 80. Déjà par son générique avec son écriture rouge grasse des informations. Puis par son image, et par sa musique (de Vladimir Cosma) surtout celle qui est redondante et mielleuse lors des scènes entre Daniel Duval et Valentine Monnier sa compagne dans le film.
L'histoire du "bar du téléphone" est l'affrontement de truands à ...
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Au final, on a moins bien que le premier volet. Ici encore, on nous questionne sur la société, sur la solidarité entre chacun.
Mais c'est brouillon.
Nous avons droit à plus de gore. Une image sale n'aide pas à apprécier.
Enfin comme dans le premier "plateforme", la fin est décevante. Le scénariste semble encore ne pas savoir comment finir son histoire.
Mais c'est brouillon.
Nous avons droit à plus de gore. Une image sale n'aide pas à apprécier.
Enfin comme dans le premier "plateforme", la fin est décevante. Le scénariste semble encore ne pas savoir comment finir son histoire.
Cette seconde réalisation de Gérard Jugnot bénéficie d'un scénario bien structuré. On ne s'ennuie pas devant cette comédie. Niveau casting : jeunes et moins jeunes sont bien en place. On ressent la joie qu'ils ont du avoir de jouer ensemble.
Je suis désolé, mais je n'ai ressenti aucune émotion. Certes, les comédiens, Kad Merad en tête, connaissent leur partition mais ils donnent l'impression de survoler leur rôle sans vouloir y plonger sérieusement.
Et même si c'est tiré d'une histoire vraie, la fin était attendue et a un côté ridicule.
Et même si c'est tiré d'une histoire vraie, la fin était attendue et a un côté ridicule.
Ce second film d'Alan Parker fût un coup de poing à sa sortie. Tirée d'une histoire réelle, la réalisation fait bien ressortir l'ambiance des prisons turques de l'époque avec toute la cruauté qui y régnait. On suit la descente en enfer de Billy Hayes, joué par Brad Davis qui campe bien son personnage.
On peut reprocher la position du scénariste (Oliver Stone) et du réalisateur de mettre tout le côté obscur côté turc, alors qu'à la ...
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A la minute où j'écris ces mots, il m'a été permis de voir (à part sans doute d"il était une fois dans l'ouest") le meilleur western possible. Et ce final mythique. Grandiose.
oui il y a une superbe interprétation de la part de Mia Farrow, oui nous avons une angoisse, un suspens , une intrigue qui monte petit à petit. Mais de là à avoir un grand film, non. C'est quand même assez long et surfait.
Avec un "héros" (sosie de Martin Gore) amorphe comme la majorité du film, il a été difficile d'aller jusqu'au bout.
On est circonspect devant la véracité de l'histoire : l'opposition entre résistants et collaborateurs de l'armée nazie et la chasse aux juifs. Cela fait trop caricatural pour accrocher.
On est circonspect devant la véracité de l'histoire : l'opposition entre résistants et collaborateurs de l'armée nazie et la chasse aux juifs. Cela fait trop caricatural pour accrocher.
Plutôt comédie que thriller, ce film avec le duo Casey Affleck - Matt Damon (qui fonctionne bien) est divertissant. Un scénario bien huilé mais banal, quelques notes d'humour. Quelques actions (soft).
On appréciera mais sans avoir un grand film.
On appréciera mais sans avoir un grand film.
Une comédie gentillette à l'humour léger et quelques situations cocasses. Niveau interprétation c'est acceptable.
Par contre le scénario prévisible et le message simpliste (sur la richesse opposé à la simplicité de la vie) pourraient décevoir qui rechercheraient un film à la critique plus poussée.
Au final, ""pourris gâtés" est un film divertissant permettant de passer du bon temps malgré des personnages un peu trop stéréotypés.
Par contre le scénario prévisible et le message simpliste (sur la richesse opposé à la simplicité de la vie) pourraient décevoir qui rechercheraient un film à la critique plus poussée.
Au final, ""pourris gâtés" est un film divertissant permettant de passer du bon temps malgré des personnages un peu trop stéréotypés.
Encore une comédie sur une réunion d'amis dans une belle maison de campagne. Ici la disparition du chat de Zabou Breitman va être l'élément déclencheur à des malentendus, des quiproquos, des mensonges, des affrontements oraux.
Rien d'original dans le scénario , les interprétations. Un film à voir quand même une fois.
Rien d'original dans le scénario , les interprétations. Un film à voir quand même une fois.
Vu avant "le vieux qui ne voulait pas souhaiter son anniversaire", il est difficile de comprendre au début cette histoire d'argent dépensé. A cela s'ajoute une certaine lenteur (bon pour un personnage de 101 ans, c'est raccord). Tout cela fait qu'il est ardu d'accrocher. La fin plus mouvementée ne permet pas de hausser le niveau de ce road movie à la recherche de la formule d'un soda.
Petite comédie d'aventures avec un Jackie Chan et ses quelques combats mais ici moins emballants, moins bien chorégraphiés que d'habitude; avec Cécile de France et son charme mais c'est peu.
Au final, les jeunes apprécieront, les plus anciens seront déçu cinématographiquement.
Au final, les jeunes apprécieront, les plus anciens seront déçu cinématographiquement.
Un biopic sur Ben Carson neurologue réputé mondialement, interprété par Cuba Gooding Jr. C'est émouvant.
Mais d'un point de vue cinéma est on sur un film ou sur un téléfilm ?
Et puis le besoin de romancé au point de mettre ce fait cinématographique éculé de spoiler: finir l'opération dans les 5 dernières secondes du temps imparti.
, cela dessert.
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