Alex Motamots
Membre depuis le 30 août 2020
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Un film très lent dans une région de l'Inde loin du rythme trépident des grandes villes.
Le personnage de Santosh m'est resté assez distant : je ne savais pas lire ce qu'elle pensait, ce qu'elle ressentait.
Le personnage de sa cheffe, en revanche, m'a été plus lisible.
La scène de torture est un moment difficile.
Je suis ressortie toutefois déçue de ne pas voir pu lire ce personnage.
Le personnage de Santosh m'est resté assez distant : je ne savais pas lire ce qu'elle pensait, ce qu'elle ressentait.
Le personnage de sa cheffe, en revanche, m'a été plus lisible.
La scène de torture est un moment difficile.
Je suis ressortie toutefois déçue de ne pas voir pu lire ce personnage.
J'ai été choquée par la scène du corps du défunt dans l'ambulance.
Ensuite,c'est un film très classique sur des luttes de pouvoir pour se faire élire pape.
J'ai aimé que le film se place du point de vue du doyen aux yeux larmoyants qui découvre les "affaires".
J'ai adoré Bellini qui soutient qu'il ne veut pas accéder à la fonction suprême mais travail en sous-main pour y accéder.
Je me suis posé des questions sur le fameux doyen : ...
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Comme je m'en doutais, un film plein de bons sentiments : un homme malade, de l'amour, de la musique, un plan social, un peu d'humour.
J'ai toutefois aimé le personnage bougon de Jimmy et son envie de bien faire.
J'ai aimé sa grand-mère au coeur sur la main.
J'ai revu des majorettes (il y a longtemps qu'il n'y en a plus chez moi).
J'ai détesté le morceau créé par le frère.
Un film qui se laisse voir, sans plus.
J'ai toutefois aimé le personnage bougon de Jimmy et son envie de bien faire.
J'ai aimé sa grand-mère au coeur sur la main.
J'ai revu des majorettes (il y a longtemps qu'il n'y en a plus chez moi).
J'ai détesté le morceau créé par le frère.
Un film qui se laisse voir, sans plus.
Une suite sympathique où chacun joue sa partition.
Mention spéciale au personnage de Jean Reno et son détachement froid.
J'ai également aimé Barbie jouée par Amanda Lear.
le scenario se tient, même si le personnage des méchants sont un peu caricaturaux, mais ça passe.
Un bon moment de divertissement au bon coeur.
Mention spéciale au personnage de Jean Reno et son détachement froid.
J'ai également aimé Barbie jouée par Amanda Lear.
le scenario se tient, même si le personnage des méchants sont un peu caricaturaux, mais ça passe.
Un bon moment de divertissement au bon coeur.
Un bon film de divertissement, pas trop manichéen et qui joue avec les codes du chasseur et du parisien.
J'ai aimé le personnage de Benjamin qui cache bien son jeu.
Aucune scène ne m'a paru lourde, le scenario évite cet écueil.
J'ai aimé cette famille avec les parents un peu dépassé par l'énergie de leurs enfants et qui veulent faire au mieux.
J'ai adoré l'éleveur de poules qui leur donne des noms de chorégraphes.
J'ai aimé le personnage de Benjamin qui cache bien son jeu.
Aucune scène ne m'a paru lourde, le scenario évite cet écueil.
J'ai aimé cette famille avec les parents un peu dépassé par l'énergie de leurs enfants et qui veulent faire au mieux.
J'ai adoré l'éleveur de poules qui leur donne des noms de chorégraphes.
Un film rapide qui se laisse regarder.
De bons effets spéciaux, des décors et costumes travaillés.
Le gros bémol : les règles du jeu ne sont pas explicitement détaillées au début du film. Pour qui n'a jamais joué au Loup-Garou, certains personnages sont difficiles à saisir.
De bons effets spéciaux, des décors et costumes travaillés.
Le gros bémol : les règles du jeu ne sont pas explicitement détaillées au début du film. Pour qui n'a jamais joué au Loup-Garou, certains personnages sont difficiles à saisir.
Je n'attendais rien de ce film, et c'est tant mieux.
J'ai aimé que me soit raconter une partie de la vie de cette photographe féministe.
J'ai aimé la suivre au début de son périple en France lors du débarquement américain.
Bien sûr, on n'échappe pas aux camps et aux émotions soulevées lors de ce moment.
Un film honnête sur une femme complexe.
J'ai aimé que me soit raconter une partie de la vie de cette photographe féministe.
J'ai aimé la suivre au début de son périple en France lors du débarquement américain.
Bien sûr, on n'échappe pas aux camps et aux émotions soulevées lors de ce moment.
Un film honnête sur une femme complexe.
Quand on regarde un film de Sofia Coppola, on sait que l'on va regarder un film très esthétique avec de la bonne musique.
cela n'a pas manqué pour ce film dont j'ai adoré les toilettes de Priscilla.
J'ai aimé suivre la transformation de l'adolescente en femme adulte.
J'ai détesté qu'elle ressemble à une vieille rombière seule dans cette grande maison qui n'était même pas la sienne.
Mais comme dans tous les films de la réalisatrice, il ...
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Un peu long au démarrage : le réalisateur prend le temps d'installer notre découverte d'une petite famille normale dans le temps.
Et puis l'amie de l'aînée est blessée alors qu'elle manifestait pour plus de liberté, la mère l'aide malgré elle car elle désapprouve ces manifs.
J'ai eu de la peine pour cette mère tiraillée entre son amour inconditionnelle pour ses filles qu'elle veut élever dans le droit chemin, et son attachement à ...
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Quel plaisir de voir cette première version : le personnage féminin est tellement plus pétillant et ironique.
Le personnage masculin est tellement plus vivant.
Certes, les décors et les costumes sont moins travaillés mais le jeu des acteurs rattrapent tout.
Quel choc cela a été de voir la première partie du film comme la réplique exact de celui qui sera réalisé plus tard. La suite diverge un peu mais tout y est.
La musique est plus ...
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Un film sympathique au final, que j'ai trouvé un peu pénible au début à cause de la stagiaire mythomane.
J'ai eu du mal au début avec le personnage principal que j'ai trouvé très froid tout au long du film.
Le gimmick du bain n'est pas trop surexploité.
J'ai adoré ce jeune ouvrier qui ne souhaite pas sortir de sa classe sociale, sa simplicité, sa timidité.
Un film à voir une fois pour ce qu'il dit du monde des enchères d'art.
J'ai eu du mal au début avec le personnage principal que j'ai trouvé très froid tout au long du film.
Le gimmick du bain n'est pas trop surexploité.
J'ai adoré ce jeune ouvrier qui ne souhaite pas sortir de sa classe sociale, sa simplicité, sa timidité.
Un film à voir une fois pour ce qu'il dit du monde des enchères d'art.
Un huis-clos court et passionnant.
J'ai aimé les deux enquêteurs des frontières qui ne laissent pas de temps pour réfléchir et qui pousse le couple dans ses retranchements.
J'ai aimé sentir chaque personne du couple douter, pas pour les mêmes raisons.
J'ai eu de la peine pour Miss Pamies lorsqu'elle découvre l'ancienne vie de son compagnon.
J'ai aimé que les enquêteurs posent les bonnes questions.
Et la fin m'a laissé pantoise.
J'ai aimé les deux enquêteurs des frontières qui ne laissent pas de temps pour réfléchir et qui pousse le couple dans ses retranchements.
J'ai aimé sentir chaque personne du couple douter, pas pour les mêmes raisons.
J'ai eu de la peine pour Miss Pamies lorsqu'elle découvre l'ancienne vie de son compagnon.
J'ai aimé que les enquêteurs posent les bonnes questions.
Et la fin m'a laissé pantoise.
Ingrid Bergamn dans son meilleur rôle sans doute, à la fois jeune femme amoureuse, puis femme doutant mais désirant parler avec son tortionnaire.
Dommage que les gros plans soient flous, mais les jeux des ombres est passionnant.
Charles Boyer est inquiétant au possible sous une façade lisse.
L'enquêteur est plus commun.
J'ai aimé sentir la tension monter.
J'ai aimé la vieille voisine un peu envahissante et la vieille bonne un peu ...
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Un film très émouvant sur l'arrivée d'enfants réfugiés tchèques au début de la seconde guerre mondiale.
J'ai aimé ce couple discret très anglais.
J'ai aimé voir reconstitué le pourquoi de ce sauvetage et l’organisation familiale mise en place.
J'ai eu de la peine pour cet homme distant qui ne veut pas se laisser envahir par ses émotions et qui garde la blessure du dernier train.
J'ai aimé que ces événements raisonnent avec les ...
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Un film lent, à la mode japonaise dans lequel le vent et le pluie ont beaucoup d'importance.
J'ai vraiment aimé Rye, la mère qui se marie et devient veuve, l'amour qu'elle porte à son fils, sa volonté d'avoir une famille aimante.
J'ai aimé le personnage de l'avocat enquêteur qui est coréen et qui se prend chaque jour des remarques racistes.
Un film sur l'identité : celle qui nous vient de nos parents, et celle que l'on se ...
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Quel homme manipulateur, cet accusé, mais qui a trouvé plus manipulateur que lui;
J'ai adoré me faire moi aussi manipuler et chercher si oui ou non cet homme d'affaire si lisse disait la vérité.
Un film aux décors sobres et classieux, posant le personnage principal dans une vie de richesses.
Un homme qui parait intouchable et accusé injustement.
Le tout est de savoir à quels moments il ment pour sauver sa vie.
Un film intelligent.
J'ai adoré me faire moi aussi manipuler et chercher si oui ou non cet homme d'affaire si lisse disait la vérité.
Un film aux décors sobres et classieux, posant le personnage principal dans une vie de richesses.
Un homme qui parait intouchable et accusé injustement.
Le tout est de savoir à quels moments il ment pour sauver sa vie.
Un film intelligent.
Un film très mal joué par l’actrice principal dont les paroles sonnent faux. Certes, l’actrice a un visage poupin qui passe bien à l’écran, mais cela ne m'a pas suffit.
Au début du film, et même après, il m’a semblé que le réalisateur voulait seulement de jolies vues de Paris.
Beaucoup trop de musique mal placée et des dialogues qui sonnent creux.
Un film complètement passé de mode. Même ce grand réalisateur n’a pas fait ...
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Je ne pensais pas adorer ce film, et pourtant. J'ai été plus qu'agréablement surprise.
D'abord par les décors te costumes, le style stem-punk assumé. Et bien sûr les meubles art-déco ne pouvaient que me plaire.
J’ai aimé la maison étrange pleine d’objets et de peintures.
J’ai souri chaque fois que l’on voyait les dents bien blanches de personnages voulant dévorer la vie.
J’ai adoré la note au début du film prévenant que ...
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J'avais hâte de découvrir ce documentaire filmé par Sonia Kronlund qui réalise si bien l'émission Les pieds sur terre dur France Culture.
Si j'ai aimé écouter ces femmes parler de l'homme qui les a séduite et comment elles se sont rendu compte de sa supercherie, j'ai été déçue que la réalisatrice (elle le dit elle-même) cherche en ces femmes un point commun avec elle.
Le documentaire devient alors auto-centré et perd de sa ...
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Un film très lent qui se déroule dans un milieu aisé et feutré.
L'histoire d'un couple de taiseux devant faire face à une catastrophe. Le mari surtout, mais sa femme lui ressemble.
Beaucoup de cheveux dans le vent, ce qui m'a fait sourire.
Une fin ouverte qui m'a plu.
Le récit d'une culpabilité et d'une fuite.
L'histoire d'un couple de taiseux devant faire face à une catastrophe. Le mari surtout, mais sa femme lui ressemble.
Beaucoup de cheveux dans le vent, ce qui m'a fait sourire.
Une fin ouverte qui m'a plu.
Le récit d'une culpabilité et d'une fuite.
Un film très lent, avec beaucoup de silences.
J'ai aimé Kim Sohee, jeune fille qui aime danser et sortir avec ses amies.
J'ai eu de la peine pour son amie qui se filme en train de manger pour faire des vues et gagner de l'argent.
J'ai été surprise par la violence des commentaires sur ses lives et par la violence des usagers au téléphone (Kim Sohee travaille dans un centre d'appel).
J'ai été étonnée par le nombre de papiers à signer, ...
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Un film très didactique à la photographie léchée.
Un film qui alterne des tableaux de situations ubuesques avec la vie d'une famille de nomades.
J'ai aimé la mère et son regard sur son mari et sa fille.
J'ai aimé sa fille si pleine de vie. J'ai aimé cette famille qui prend le temps de vivre avec le peu qu'ils ont.
J'ai aimé la prêtresse vaudou aux vêtements plein de couleurs avec son coq sur l'épaule et sa longue traine noire.
J'ai ...
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Proposé sur Netflix, je me suis dit pourquoi pas.
Le début était prometteur, avec de bons acteurs et une intrigue classique.
Mais les scènes de voitures ont eu raison de ma patience : pourquoi filmer pendant des dizaines de minutes une voiture (quelconque) sur une route américaine où il ne se passe rien ?
J'ai fini par passer ses interminables scènes en avance rapide.
Et puis j'ai trouvé un peu légère la façon de traiter l'erreur ...
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Il faut attendre la fin pour vraiment apprécier le propos, les tenants et aboutissants du film.
J'ai trouvé les premières scènes très-trop sombres, puis la présence du garçon vient éclairer les scènes suivantes.
J'ai eu un peu de mal avec le personnage principal qui ne se soigne pas. Mais j'ai fini par comprendre sa névrose.
Un film qui tourne autour du personnage de La Mère (tous les garçons et les hommes du groupe ont été ...
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Il faut aller jusqu'au bout du film pour comprendre la duplicité du personnage.
Et j'ai aimé que le voisin trop présent, coupable idéal, ne soit pas celui qu'il paraît être.
Le flic alcoolique m'a déplu, mais je dois avouer que la performance d'acteur est excellente.
De même que pour le voisin coincé.
Il me semblait avoir déjà vu ce film, mais en fait j'avais lu le roman bien avant.
Et j'ai aimé que le voisin trop présent, coupable idéal, ne soit pas celui qu'il paraît être.
Le flic alcoolique m'a déplu, mais je dois avouer que la performance d'acteur est excellente.
De même que pour le voisin coincé.
Il me semblait avoir déjà vu ce film, mais en fait j'avais lu le roman bien avant.
Je m'attendais à un peu plus de suspens, j'ai été déçu. Certes, le visage du bourreau ne se dévoile que peu à peu (effet de style un brin trop long), certes ce film raconte l'impossible reconstruction d'un homme-mari et père après les tortures qu'il a subit, certes le film évite le voyeurisme et tout n'est que remis à l'imagination du spectateur.
Mais quelques invraisemblances ont eu raison de mon enthousiasme : le probable bourreau ne ...
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Un bon film pour adolescents. Malheureusement, j'ai passé l'âge.
Des histories d'amour entre ados qui croient être les plus forts du monde. Des parents dilettantes qui ne parlent jamais de choses qui fâchent. Tout doit se dérouler dans le feutré, sauf les fêtes extraordinaires.
Quelques scènes gores ou osées qui apportent un peu au personnage principal du rejeté de classe. Jusqu'à ce que l'on découvre la vérité.
Un personnage ...
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Je n'aime pas les westerns, mais j'ai eu la chance de pouvoir regarder celui-ci sur grand écran et en VO.
J'ai été étonné que la VO soit en italien alors que clairement les acteurs parlent américains. Mais passons.
J'ai adoré la bande-son : le bruit des chevaux, du rasoir sur les joues.
Peu de dialogue, mais ce n'est pas grave.
Un détail m'a fait sourire : tous les gentils ont les yeux bleus.
Un film plein d'humour et sa bande-son aussi.
J'ai été étonné que la VO soit en italien alors que clairement les acteurs parlent américains. Mais passons.
J'ai adoré la bande-son : le bruit des chevaux, du rasoir sur les joues.
Peu de dialogue, mais ce n'est pas grave.
Un détail m'a fait sourire : tous les gentils ont les yeux bleus.
Un film plein d'humour et sa bande-son aussi.
Mis à part les tons gris, j'ai aimé ce film.
Certes, c'est une bluette, mais une bluette qui m'a plongé dans les années 50 avec ces vêtements si caractéristiques.
Bon, les décors sont en carton-pâte et ça se voit, mais ça fait partie du charme surannée de ce film.
On n'évite pas les 2 enfants noirs qui dansent et les femmes mariées qui restent à la maison. De nos jours, s'en est risible tant c'est gros.
J'ai aimé l'humour du début ...
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Je commence par la petit incohérence au début du film lors de l'emprisonnement d'Edmond Dantès : son voisin de cellule a des bouts de bougies (et donc des allumettes), pas lui. Et puis comment imaginer qu'il puisse faire des pompes et son jogging alors qu'il a peu à manger.
Ces bémols passés, le reste du film est magnifique : décors et costumes donnent envie de vivre à cette époque dans laquelle tout n'est que calme et luxe.
J'ai eu une ...
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Si j'ai eu un peu de mal au début du film avec le procédé utilisé : documentaire ou fiction ? Témoignages de la famille entrecoupés de scènes de reconstitution, j'ai fini par me laisser glisser dans ce film qui m'a parlé de la Tunisie au début du 21e siècle.
Une mère qui éduque ses filles comme elle a été éduquée avec le déni de son corps de femme.
Des filles qui se cherchent à l'adolescence avec une période gothique pour ...
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Je n'ai pas boudé mon plaisir en regardant ce film humoristique.
Mais j'ai été déçue par les dernières scènes qui se terminent un peu abruptement, comme si le scenario n'avait pas été pensé jusqu'au bout.
J'ai aimé l'humour, jamais lourd, les personnages riant d'eux-mêmes.
J'ai aimé l'humanité des personnages et le regard du réalisateur sur le handicap.
Mention spécial aux déguisements d'un des personnage.
Mais j'ai été déçue par les dernières scènes qui se terminent un peu abruptement, comme si le scenario n'avait pas été pensé jusqu'au bout.
J'ai aimé l'humour, jamais lourd, les personnages riant d'eux-mêmes.
J'ai aimé l'humanité des personnages et le regard du réalisateur sur le handicap.
Mention spécial aux déguisements d'un des personnage.
Le film fait le job : il raconte la vie de celui qui se fait appeler l'Abbé Pierre dans toute la complexité de sa personnalité.
C'est filmé de façon classique (un peu trop), la chronologie est suivie avec quelques ellipses.
Bref, c'est un peu long parfois, un peu larmoyant aussi (mais ça, on s'y attend).
Un personnage qui a compté et qui aurait mérité un plus grand film.
C'est filmé de façon classique (un peu trop), la chronologie est suivie avec quelques ellipses.
Bref, c'est un peu long parfois, un peu larmoyant aussi (mais ça, on s'y attend).
Un personnage qui a compté et qui aurait mérité un plus grand film.
Il y avait pourtant une belle distribution d'acteurs.
Le pitch était sympathique et promettait de passer un bon moment.
Mais les dialogues sans piments et les situations stéréotypées ne m'ont pas amusées.
Le pitch était sympathique et promettait de passer un bon moment.
Mais les dialogues sans piments et les situations stéréotypées ne m'ont pas amusées.
J'ai eu un peu de mal au départ avec ce documentaire monté comme un clip vidéo : des images qui se suivent sur une musique rythmé rock.
Jusqu'à la rencontre de Kimi avec la drogue : le montage devient plus linéaire, moins fun.
On suit la descente de Kimi entre HP et mensonges à sa famille, prise de poids dû au traitement, crises de larmes.
Dommage que l'extérieur, pour le peu qu'il apparait, ne nous parle pas plus de la Russie de ...
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Dans le huis-clos d'une voiture qui roule et qui passe des check-points, nous découvrons des vies brisées, des femmes et des enfants en fuite.
Chacun raconte un peu sa vie, ses espoirs;
J'ai aimé l'arrière-plan militaire, le son des bombes parfois : la guerre n'est jamais loin.
J'ai aimé le dernier plan du film : la voiture fait aussi la route à vide.
Des témoignages poignants.
Chacun raconte un peu sa vie, ses espoirs;
J'ai aimé l'arrière-plan militaire, le son des bombes parfois : la guerre n'est jamais loin.
J'ai aimé le dernier plan du film : la voiture fait aussi la route à vide.
Des témoignages poignants.